Le kon a surtout besoin de longues vacances. Il souffre ici, à supporter la ( soit disant ) bêtise incommensurable de certains membres. Et comme l'ironie et la moquerie, ça ne fonctionne pas éternellement, ses piques deviennent lourdes, nauséeuses, un acharnement obscène qui s'entasse, comme autant de charbons ardents sur sa tête de kon.