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Clandestin = migrant = réfugié = sans-abri ou l'art du glissement sémantique.
Les décolonialistes patentés se font discrets. Ils estiment certainement naturel que le descendant du méchant colon prenne en charge, matériellement, financièrement et éducativement, leurs frères africains.
Des réfugiés installent 250 tentes devant la mairie de Paris.
Jeudi soir, des réfugiés sans-abri et leurs soutiens ont installé des tentes pour réclamer une solution d’hébergement.
"Nous demandons qu’une prise en charge des familles puisse être réalisée dans les meilleurs délais", alerte Ian Brossat, l’adjoint au Logement.Des réfugiés sans-abri et leurs soutiens ont installé jeudi soir environ 250 tentes sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris, pour réclamer une solution d’hébergement. Ces personnes, pour l’essentiel des familles originaires d’Afrique subsaharienne ou des mineurs, ont déployé les tentes pour s’y installer au moment où les cloches de la mairie sonnaient 20 heures.
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Deux éminentes scientifiques discutant de la loi de la gravitation universelle de Newton.
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Diabaté Bandiaba, une Ivoirienne de 29 ans installée dans une tente avec sa fille de deux ans, explique vouloir sortir du cycle d’hébergement pour une nuit "avant d’être remise dehors", qu’elle vit depuis six mois et le rejet de sa demande d’asile.
Toutes les subsahariennes portent le voile islamique. Surprenant.