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dadais

Regarde les commentaires sur le sujet  de la presse en ligne. Cela fait des années que les partisans de la mise à mort de Vincent réagisse avec une violence inouïe en insultant les parents de Vincent et surtout sa mère.

Je ne nie pas que pouvait se poser la question de maintenir ou non Vincent en vie. Ce que je trouve horrible, c'est le refus opposé à ses parents, son frère, sa soeur, de le transférer dans un service spécialisé d'handicapés en état peauci-relationel où il aurait pu recevoir les meilleurs soins. Vincent n'était pas en fin de vie et n'avait rien à faire dans le service de soins palliatif de cet hôpital.
Ses parents s'étaient même proposés de le prendre chez eux. Ce qui leur a toujours été refusé.

@raphaëlle#4192276 Ce que je trouve horrible, c'est le refus opposé à ses parents, son frère, sa soeur, de le transférer dans un service spécialisé d'handicapés en état peauci-relationel où il aurait pu recevoir les meilleurs soins. Vincent n'était pas en fin de vie et n'avait rien à faire dans le service de soins palliatif de cet hôpital.
Ses parents s'étaient même proposés de le prendre chez eux. Ce qui leur a toujours été refusé.

Je ne trouve pas qu'il soit horrible de faire confiance à des médecins et au tuteur d'un patient plutôt qu'à d'autres dont le jugement est altéré par leur rêve, ni plutôt qu'à des inconnus qui ne connaissent pas la situation médicale de l'intéressé.

    @raphaëlle#4192271 surtout il n'interagissait qu'avec des personnes avec qui il était en confiance.

    C'est ce qu'ils prétendent, sans preuve.

    @raphaëlle#4192276 Je ne nie pas que pouvait se poser la question de maintenir ou non Vincent en vie. Ce que je trouve horrible, c'est le refus opposé à ses parents, son frère, sa soeur, de le transférer dans un service spécialisé d'handicapés en état peauci-relationel où il aurait pu recevoir les meilleurs soins. Vincent n'était pas en fin de vie et n'avait rien à faire dans le service de soins palliatif de cet hôpital.
    Ses parents s'étaient même proposés de le prendre chez eux. Ce qui leur a toujours été refusé.

    Donc pour toi, qu'importe l'état de V Lambert,, qu'importe les souhaits qu'il a manifesté devant divers témoins (c'est vrai ça ne va pas dans le sens des pro-life donc il faut ignorer) l'important c'est l'avis des parents...
    Je ne savais pas que Houellebecq était un professeur de médecine spécialisé tétraplégique...mais on pourrait citer des sommités disant le contraire, ceux là bien sur on ne veut pas les entendre.
    Je répète simplement:
    Je peux comprendre que tous ceux, qui, s'il leurs arrivait le même accident qu'à V Lambert, préfèreraient végéter des décennies dans un lit d'hôpital plutôt que de partir, soient dépités par la décision prise par le Dr Sanchez...

    Et tu n'as pas justifié ton affirmation: Il fallait qu’il meure afin de pouvoir justifier l’élimination future des handicapés
    qui reste une diffamation ou une médisance gratuite.

    Je note que pour le moment il n'y a pas eu massacre de masse chez les handicapés!

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      dadais

      Les médecins successifs qui ont dirigé ce service n'étaient pas spécialisés dans les patients en état pauci-relationnel mais dans les patients en fin de vie. Les médecins qui souhaitaient le prendre dans leur établissement étaient des neurologues spécialisés dans ce type de patients à la conscience altérée.

      Rachel a été nommée tutrice par le tribunal alors que dans ce genre de situation familiale, il est d'usage que le tuteur nommé soit extérieur à la famille.
      Rachel depuis 10 ans veut que son mari meurt. Elle a ses raisons et personne ne peut se mettre à sa place. Un neveu depuis 10 ans milite pour qu'il meurt. Il a aussi ses raisons qui ne sont pas les mêmes.
      Ses parents, un frère, une soeur, voulaient qu'il vive et qu'il bénéficie des soins que réclamait son état. Ils ne sont pour autant des monstres.

      Il faut bien se dire que le fait de refuser à Vincent Lambert les soins qu'il aurait dû avoir est idéologique. Il fallait faire de son cas une jurisprudence pour pouvoir par la suite appliquer la même chose à d'autres cas similaires.

        @raphaëlle#4192306 Rachel a été nommée tutrice par le tribunal alors que dans ce genre de situation familiale, il est d'usage que le tuteur nommé soit extérieur à la famille.

        Oui car il y avait conflit.

          @raphaëlle#4192306 Les médecins successifs qui ont dirigé ce service n'étaient pas spécialisés dans les patients en état pauci-relationnel mais dans les patients en fin de vie. Les médecins qui souhaitaient le prendre dans leur établissement étaient des neurologues spécialisés dans ce type de patients à la conscience altérée.

          Ces seconds médecins ont-ils seulement été dans la même pièce que ce mr Lambert (note, je n'en sait rien) ?

          @raphaëlle#4192306 Ses parents, un frère, une soeur, voulaient qu'il vive et qu'il bénéficie des soins que réclamait son état. Ils ne sont pour autant des monstres.

          Je ne prétend pas en faire des monstres. Simplement, leur refus de la situation de mr Lambert ne les rendait pas objectif sur son état, loin de là. Ce qu'on ne peut guère reprocher sans a priori aux médecins qui l'ont suivit ces dix ans, amenant à la décision de cesser le maintien artificiel de la vie (procédure choisie semble-t-il).

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            dadais

            On ne peut pas parler de maintien artificiel en vie quand un patient a juste besoin d'un apport d'eau et de nourriture par sonde.
            Vincent n'était branché sur aucune machine.
            De plus, il avait survécu à un mois de privation de nourriture avec une hydratation minimum. S'il n'avait pas eu envie de vivre, il serait mort lors de cette première tentative de le tuer.

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            Je n'aimerais pas être son conjoint

            katou

            Il y a de l'argent à trouver pour rembourser PMA et GPA pour les capricieux.
            Et les Lambert coûtent cher, maintenant que le truc est passé une fois, ils vont pouvoir multiplier l'acte et économiser un paquet de pognon.

            Logique libérale implacable soutenue par des gens se disant de gauche comme Cramos et Jean666 qui ne comprennent pas ce qui se met en place et qui geulent parce que les Chrétiens s'y opposent.
            Mais les Chrétiens ne sont pas les seuls à luter contre cette marchandisation de la vie.

            Et pour faire bugger nos deux actionnaires, il existe une association decathos de gauche, les poissons roses, particulièrement actifs dans ce combat.

            jean88 Donc pour toi, qu'importe l'état de V Lambert,, qu'importe les souhaits qu'il a manifesté devant divers témoins (c'est vrai ça ne va pas dans le sens des pro-life donc il faut ignorer) l'important c'est l'avis des parents...

            Ils sont où ces "nombreux" témoins ?

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              merl1

              Témoins qui n'ont fait part que cinq ans après l'accident du soi-disant souhait de Vincent.

              katou @raphaëlle#4192306 Rachel a été nommée tutrice par le tribunal alors que dans ce genre de situation familiale, il est d'usage que le tuteur nommé soit extérieur à la famille.

              Oui car il y avait conflit.

              De mieux en mieux:

              Euthanasie au Luxembourg : le décès sera considéré comme « mort de cause naturelle »

              Ce jeudi, le Conseil de gouvernement a donc clarifié le statut du décès en adoptant un projet de loi modifiant le texte initial. « Le projet de loi propose d’assimiler la mort d’une personne décédée à la suite d’une euthanasie ou d’une assistance au suicide à une mort naturelle. Ainsi, les conséquences du décès seront clarifiées, notamment en ce qui concerne les circonstances de la mort, particulièrement dans le cadre d’une assurance-vie que le patient décédé a éventuellement souscrit », a détaillé le ministre de la Santé Étienne Schneider, dans un communiqué.

              https://www.lequotidien.lu/politique-et-societe/euthanasie-au-luxembourg-le-deces-sera-considere-comme-mort-de-cause-naturelle/

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                merl1

                Difficile de nier que tout cela relève d'une même politique : favoriser l'euthanasie et l'assistance au suicide pour réduire le coût pour la société des malades lourds. Bientôt, pour avoir le droit de vivre après 65 ans, il faudra présenter un certificat médical attestant de sa bonne santé.

                @raphaëlle#4192427 On ne peut pas parler de maintien artificiel en vie quand un patient a juste besoin d'un apport d'eau et de nourriture par sonde.

                C'est le cadre retenu par les médecins, non ?
                Sincèrement, ce n'est pas nouveau que les médecins proposent aux proches de débrancher des futurs légumes. J'imagine que cette notion aura été invoqué en l'absence de conscience diagnostiquée.

                De plus, il avait survécu à un mois de privation de nourriture avec une hydratation minimum. S'il n'avait pas eu envie de vivre, il serait mort lors de cette première tentative de le tuer.

                Rien à voir ?

                Il faut voir le "bon côté" des choses, désormais il suffira de nommer les serial killers, ou les terroristes (même simplement potentiels terroristes, comme les fichés S) par un nom de légume pour les trucider en les laissant crever mais pas la gueule forcément ouverte (on est pas des sauvages). Pour le légume, je propose le "pas né"!

                  merl1 Ils sont où ces "nombreux" témoins ?

                  Alzheimer? mémoire de poisson rouge? il y a eu différents liens sur ces témoignages....

                  Merdalors qu'est ce qu'ils attendent, le grand massacre des handicapés annoncé par les pro-life n'a pas encore commencé.....je précise pour les simplets, c'est juste de l'humour....

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                  https://www.causeur.fr/vincent-lambert-la-fausse-neutralite-de-nos-medias-sur-leuthanasie-163434

                  Vincent Lambert: la fausse neutralité de nos médias sur l'euthanasie

                  Le traitement fait par les journaux de la mort de Vincent Lambert est emblématique du progressisme mou de nos médias. Illustrations de leur petites hypocrisies.
                  L’affaire Vincent Lambert aura parfaitement illustré le progressisme mou des médias d’autorité.

                  Depuis des mois, nos journalistes avaient choisi leur camp, celui des bons, de ceux, donc qui voulaient « laisser partir Vincent », doux euphémisme qui évitait de prononcer le mot qui fâche. Que ledit Vincent ne fût pas mourant importait peu; on laissait planer des doutes, des confusions. Recevait-il des « soins » ? On parlait de « traitements ». Jusqu’au bout, on a savamment fait alterner dans le discours médiatique « arrêt des soins » et « arrêt des traitements », comme s’il s’agissait de deux expressions équivalentes. La seconde est pourtant spécifiquement médicale; elle suppose une démarche thérapeutique et donne l’impression que, ne pouvant obtenir la guérison du patient, on renonce à combattre son mal; ce qui ne correspondait pas à la situation de Vincent Lambert.

                  On posait la question de savoir s’il fallait « débrancher Vincent Lambert », qui n’était pourtant relié à aucune machine. Les guillemets dans ce titre sont très hypocrites, puisqu’ils empêchent d’affirmer que le journaliste assume pleinement le mot qui, de fait, est inadéquat.

                  Il est vrai que cette expression est de plus en plus métaphorique. A peine Vincent Lambert avait-il rendu l’âme qu’on se demandait s’il fallait « débrancher François de Rugy » !

                  Mais le décès de ce patient a rebattu les cartes. Soudain, le journalistes se sont désolidarisés des partisans de la mise à mort de Vincent Lambert. Deux catégories de personnes ont affirmé qu’il était mort dans des conditions horribles.

                  1. Bien entendu, les gens qui souhaitaient son maintien en vie et affirmaient depuis des mois que sa mort serait une agonie atroce.
                    Notons que ce point de vue était présenté comme une propagande de fanatiques, tant par les partisans de l’euthanasie que par les médias.

                  2. Et les militants de l’euthanasie dite active, par injection létale. Jean-Luc Romero l’affirme : « ces neuf jours de sédation posent problème ».