et tes affirmations (justice favorables aux non blancs ? Ah bon ?), il faudrait les appuyer un peu.

Dixit le mec qui balance du "racisme institutionnel" dans les grandes écoles, comme ça, au pifomètre.

La logique de Jabar est connue, c'est une inversion des responsabilités.

Si les africains ne sont pas présents dans les grandes écoles, ce n'est absolument pas parce que leur niveau d'éducation est plus faible, que chaque lycée où ils sont majoritaires deviennent des ZEP bordéliques et au taux d'échec scolaire record, non non, c'est simplement parce que les méchants blancs discriminent.

C'est la posture de la victimisation, de la non remise en question. Une façon bien pratique de rejeter la faute sur autrui.

D'ailleurs voyez la proposition de Jabar. Il n'est même pas dans le combat, il est dans la supplication, la corruption morale.

Au lieu d'appeler les arabes à monter des entreprises, s'entre aider, retourner au bled pour aider leur pays, il supplie sa petite place au soleil sans rien branler au côté des blancs, grâce à des quotas.

En soit, la mentalité introduite par les anti racistes est splendide. S'ils avaient voulu réduire les africains au rang de peuple ouvrier sans faire de lois raciales, ils n'auraient pas fait autrement.

Les dominés rejettent souvent la faute sur autrui. La nouveauté, c'est surtout l'ambiguïté du régime qui soutient cette version alors même qu'il se présente comme étant du groupe majoritaire, ce qui est donc vu comme un aveu "officiel" de celui ci.

Sauf que la classe dirigeante n'appartient qu'à la classe dirigeante, avec ses objectifs propres, sa culture propre.

D'habitude les régimes préfèrent allumer une minorité ou plus généralement, un pays étranger afin de donner un semblant de cohésion nationale. Là ils jouent sur l'inverse, une destructuration de la société, donc ils s'attaquent au groupe majoritaire.

Enfin, soutien à Greensov pour ses réseaux.

Mais …. Que racontes tu ? Le propos de Greensov est intéressant mais un peu à côté du sujet. Parler d’un état de fait n’est pas un constat de pessimisme ou une demande quelconque. Parler de la météo ne veut pas dire réclamer le soleil. Cette logique de réseaux est une évidence, moi-même travaillant depuis plusieurs années dans la finance je sais ce que c’est.

Je suis conscient qu’on ne partage pas du tout l’avis de cet article, c’est même plutôt rassurant, mais présenter les mécanismes sociaux sous un angle particulier, visant à rendre visible ses rouages est une manière de créer de la vigilance et combattre le défaitisme de certaines minorités.

Et, le bled c’est ici pour moi, ce n’est pas le Qatar ou que sais-je. Donc c’est ici que les progrès faits m’intéressent, d’ailleurs tu sais comme je l’ai dit dans d’autres fils que je suis plutôt optimiste sue le sujet.

Je suis conscient qu’on ne partage pas du tout l’avis de cet article, c’est même plutôt rassurant, mais présenter les mécanismes sociaux sous un angle particulier, visant à rendre visible ses rouages est une manière de créer de la vigilance et combattre le défaitisme de certaines minorités.

Et, le bled c’est ici pour moi, ce n’est pas le Qatar ou que sais-je. Donc c’est ici que les progrès faits m’intéressent, d’ailleurs tu sais comme je l’ai dit dans d’autres fils que je suis plutôt optimiste sue le sujet.

Le défaitisme de certaines minorités est compréhensible. Il s'agit de communautés détachées du substrat social de leurs pays d'origine et ne faisant pas pleinement parti du réseau du pays d'accueil. Moralement c'est a ceux qui les ont fait venir de les prendre en charge mais, je vous le donne dans le mille, ceux qui les ont fait venir n'ont aucune envie de les intégrer à leur réseau. Ils sont utilisés pour casser les réseaux de solidarités en place, rendre la majorité aussi défaitiste que la minorité et rendre tout le monde malléable et corvéable à souhait.

Les solutions naturelles pour les minorités sont :

- de reconstruire leur propre réseau et ils ont beaucoup de chance, la France n’empêche pas les minorités de posséder un commerce, une industrie ou de gérer une exploitation agricole.

- d'intégrer le réseau du "peuples de France", ce qui demande pas mal de concession ce qui peut comprendre le fait raser la barbe et troquer contre une chemise et surtout ne pas traiter tout le monde de raciste. (ce n'est pas la solution la plus facile)

- de devenir une extension de leur réseau d'origine mais cela passe par un gros travail d'investissement et de restructuration dans le pays d'origine.

Le jeu consistant à mordre la main en espérant qu'elle vous donne quelque chose est idiot. Tu mords la main si elle te frappe et non si tu attends quelque chose d'elle. Pour intégrer un réseau il faut lui apporter quelque chose et celui qui se plaint de racisme est dans l'attente. Il n'arrivera à rien et finira dans une cage d'escalier à fumer des pets...

  • [supprimé]

Haaa !!!, en l’occurrence l’auteur de dit absolument pas cela. En découpant les phrases à la machette, on peut faire passer n’importe quel texte pour débile.

J'avais commencé à rédiger une longue réponse, mais tout est dit dans ma réponse courte.

Concision, efficacité, gain de temps.

Il ne dénie pas le racisme anti-blanc (c’est-à-dire par la manifestation d’hostilité envers un groupe donné) mais pour distinguer sa nature ensuite.

Il le dénie.

Si vous vouliez replacer ma citation dans son contexte, c'est son intro qu'il fallait citer.

Les sociologues affirment souvent que le "racisme anti-blanc" n'existe pas : une idée mal comprise, parce que souvent appréhendée avec ce qu'il faut de mauvaise foi pour se lancer dans la fausse indignation contre la "bien-pensance". Derrière cette idée, ce qu'il y a en jeu, c'est la compréhension de ce qu'est le racisme. Le plus souvent, celui-ci est perçu comme un sentiment individuel - en grande partie parce que les mouvements et politiques anti-racistes contribuent largement à le cadrer ainsi. Pourtant, du point de vue sociologique, ce n'est pas cela le racisme. Le racisme, c'est un système. Explications.

Traduction: le racisme anti-blanc n'existe pas si on se place dans le "bon" contexte, puisque si on réfute l'affirmation , c'est que l'on fait preuve de "mauvaise foi" pour ne pas "comprendre ce qu'est le racisme".

C'est à dire le vrai racisme, en opposition avec la définition courante.

Désolé, mais moi je ne parle pas le sociologue, mais le francais.

Je passe sur les deux paragraphes suivant qui sont d'une indicible vacuité, mais qui se résume par ce que je viens d'écrire au-dessus.

Là dessus, vient se coller la citation de Colette Guillaumin, attention, ca décoiffe:

Qui pense que le blanc est une couleur ? Que les chrétiens sont une race ? Qui pense que l'homme se définisse par un sexe ? Les caractères physiques du majoritaire n'ont pas le statut de marque, en effet ils ne sont pas destinés à être des limites ni des spécifications. Par contre quel nègre, quel juif, quelle femme ne sait pas qu'il est tel ? S'il ne le savait pas (et au départ il ne le savait pas plus que le majoritaire ne sait qu'il l'est) la société le lui a appris rapidement, quelque qu'ait été son opinion personnelle sur la question de sa propre définition. Ce qui prend rang de marque est réservé au minoritaire et ne prend son sens que dans son rapport à ce qui n'est pas marqué ; la race prend son sens de ce qui n'est pas racisé (p.108-109).

Vous m'excuserez, mais quel blanc, catholique ou homme ne sait pas qu'il est tel? Et? Qu'est-ce que démontre ce laïus? Aligner des questions constituent-ils un argumentaire convaincant?

Bon, je n'ai pas envie d'écrire un roman, mais plusieurs autres choses dans le texte me sorte par le nez, comme "dark skinned" qui voudrait dire noir (on les appelait nigger), la connerie stupéfiante consistant à dire que tous les blancs ont bénéficié du racisme (dans l'idée, déjà répondu ici), le parallèle idiot entre USA et le reste du monde (un certain nombre de noirs ont été emmenés de force aux USA, alors qu'en Europe, les immigrés sont venus de leur plein gré), etc...

Bref, ce texte brille surtout pas l'absence du moindre élément argumentaire de valeur, émaillé par quelques idioties.

Rien que l'expression "racisme anti-blanc" est d'une connerie sans nom à mes yeux et il essaye un peu de nous faire gober ce qu'on nous a fait gober au sujet de la discrimination: il y aurait un racisme "positif" (aka les minorités opprimées ne peuvent en fait pas faire preuve de racisme) vs un racisme "négatif" (les blancs toussa), comme il y aurait une discrimination "positive" vs une discrimination "négative".

Ben non, désolé: je suis contre le racisme et les discriminations parce que les principes mêmes de ces deux choses sont intrinsèquement mauvais.

j ai le droit d aimé ou pas certaine personnes, et aussi certaines races.

les immigrés sont plus racistes que beaucoup de Français, surtout les musulmans

5 ans plus tard

Je ne me sens pas concerné......j'ai un mentor juif : Zemmour et j'admire m'Bappé

  • [supprimé]

Et t'as le QI d'un aborigène en tant que génial inventeur du boomerang : le mec qui vote macron puis qui vient chouiner que sa retraite a baissé.

Lorsque j'étais ado dans les années 60, il n'y avait aucun racisme, aucune discussion sur le racisme. Ce mot n'existait que lorsque l'on parlait d'histoire ou des Amériques.
Depuis qu'on est pas mieux lotis que les amerloques, avec des vagues migratoires incessantes, le racisme est devenu de plus en plus "commercé" et s'est spécialisé dans les peaux foncées qui bénéficient d'une irresponsabilité totale et qui par contre, accusent tous les blancs des pires maux.
A se demander pourquoi ils viennent chez les blancs !?!

    merl1
    Bonne idée. L'enseignement supérieur et la recherche en France ont bien besoin que l'on gaspille 2 millioins de leurs budgets.

    maryvette

    maryvette Lorsque j'étais ado dans les années 60, il n'y avait aucun racisme, aucune discussion sur le racisme. Ce mot n'existait que lorsque l'on parlait d'histoire ou des Amériques.
    Depuis qu'on est pas mieux lotis que les amerloques, avec des vagues migratoires incessantes, le racisme est devenu de plus en plus "commercé" et s'est spécialisé dans les peaux foncées qui bénéficient d'une irresponsabilité totale et qui par contre, accusent tous les blancs des pires maux.
    A se demander pourquoi ils viennent chez les blancs !?!

    C'est clair.

    C'est comme l'islamisation qui n'existe pas : quand j'étais jeune je n'habitais à Lyon (pas un petit village de cambrousse hein) il n'y avait pas de voilées dans les rues, pas de repas hallal ou sans porc dans les cantines (malgré qu'il y avait déjà 1-2 arabes dans nos classes) etc... et tout le monde s'en portait très bien, pas de revendication, pas pleurnichement, etc...

    • [supprimé]

    • Modifié

    maryvette Lorsque j'étais ado dans les années 60, il n'y avait aucun racisme, aucune discussion sur le racisme.

    Faux ... Ca existait avant, c'était du racisme entre blancs, entre les serviettes et les torchons. Le racisme existera toujours, il change juste de forme, et il rechangera de forme.

    (XVIIe siècle jusqu'au XX)) Les nobles utilisant des serviettes de table et les domestiques des torchons, signifiait alors « mélanger les classes sociales »

    A l'origine, ce proverbe a en fait une forte connotation sociale : les torchons sont pour les pauvres et les domestiques, les serviettes pour les bourgeois et les aristocrates. Autrement dit, les domestiques ne doivent pas avoir la prétention de fréquenter leurs maîtres qui n’ont pas de temps à perdre.

      [supprimé] Gros con? Çà n'a rien à voir avec du racisme entre gens de même culture, c'est juste une séparation des classes et des statuts, Comme il en existe aujourd'hui avec les gilets jaunes et nos élites de la "représentation nationale" et en Inde entre les castes (statuts).
      Le racisme c'est déclarer qu'une race a des droits supérieurs, par exemple les migrants ont des droits supérieurs aux gilets jaunes car eux sont pris en charge à 100% pour tout soin médical, ils touchent en plus des allocations pour être migrants illégaux et des subsides des officines de l'anti-france.
      Par contre tuer une blanche par un jouisseur de droit protégé par l'anti-racisme interdit à cette victime d'être intégrer dans un crime racial....etc....

        • [supprimé]

        • Modifié

        maryvette
        LOL ... Toujours aussi perspicace et courtoise la Maryvette , dès que les discriminations changent de formes, vous êtes perdue ... c'est exactement le même processus de discrimination, le fond est le même seule la forme change (la couleur, ou le genre).

          [supprimé] Racisme = race, crétin.
          Entre une seule race il ne peut y avoir de racisme. Donc d'après toi, les seigneurs du Moyen-age qui se querellaient à propos d'une contrée étaient des racistes entre eux. Mais, va lire un dictionnaire et un livre d'histoire !

            • [supprimé]

            • Modifié

            maryvette ... Le mot on s'en fout c'est interchangeable a volonté, c'est le processus de discrimination qui compte et son effectivité (discrimination = sous race/sous homme/sous fifre/etc ).

            Oh ! Purée on a des cadors, icite....

            • [supprimé]

            ... Voilà ... Maryvette va bientôt tout comprendre, c'est pas le packaging qui compte, c'est ce qu'il y a dedans..

            Karl MArx a bien résussi a faire installer le racisme systématique entre personnes de même race comme base d'un systeme politique

            3 mois plus tard

            Les gauchistes, qui font semblant de combattre le racisme alors qu'ils combattent juste les Blancs, se sont trouvés emmerdés quand, de plus en plus, on leur a demandé de défendre aussi les victimes blanches qui se font violer, tabasser, assassiner, ect. parce qu'elles sont blanches.
            Ils ont vite trouvé la parade, en décrétant que, dorénavant, le seul racisme digne de ce nom serait le racisme "institutionnel" ou "systémique" ou "d'Etat". Et, à l'unisson, comme les braves petits moutons privés de cerveau qu'ils sont, ils se tous mis à réciter le nouveau catéchisme.