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Je retiendrai surtout de cette analyse la 2 ° partie sur le communautarisme et l'école:
La mère au hidjab qui s'est plainte du manque de mixité devrait se poser la question de savoir si les "petits blancs" ont envie de mettre leurs gosses dans une école où, s'ils mangent un pain au chocolat pendant le ramadan, ils vont se faire agresser, où la prof va passer un temps fou à essayer de faire comprendre quelque chose à des gosses au niveau intellectuel très bas, où l'arrogance communautariste va rendre la vie impossible à des blondinets!
Qu'elle commence par enlever son voile!!
Cette nouvelle phase migratoire (1999-nos jours) s’est en outre ouverte au moment où la géopolitique de l’islamisme profitait de la mondialisation des flux (financiers et humains) et du ramollissement civilisationnel européen, où la société française s’enfonçait dans un chômage de masse structurel (et son corollaire de hausse infinie des dépenses sociales), où la délinquance et les trafics explosaient, encouragés par le déni des élus locaux et nationaux, où l’antisémitisme nouvelle formule se répandait dans les banlieues et ailleurs.
Tout cela conjugué a fait disparaître la fameuse «mixité». Et l’école publique, dernier socle sur lequel pouvait reposer cette espérance républicaine d’une vie nationale partagée ayant été détruit, il ne peut y avoir que de l’homogénéité ethno-démographique dans ces quartiers.
Cette mixité-là c’est vivre en minorité, tolérée car soumise, dans un bain ethnoculturel qu’on ne veut pas pour son enfant.
Cette homogénéité est en outre renforcée par un communautarisme, encouragée par les bailleurs sociaux et les élus locaux qui répondent souvent favorablement aux demandes d’installer des gens de mêmes origines dans les mêmes quartiers. Homogénéité renforcée par le fait qu’ici et là, des logements sociaux se transmettent de père en fils.Renforcée par le fait que l’État et les élus locaux ont laissé des enclaves islamistes se développer faisant fuir les non musulmans de toutes origines de ces territoires. Que l’on se souvienne des émeutes de 2005 et de ceux que le président Sarkozy a appelés à sa rescousse pour «calmer les jeunes»: les agents de l’islam politique qu’ils intronisaient au même moment dans son CFCM…
Depuis 2005, la haine de la France n’a cessé de grandir dans ces quartiers, poussée par des collectifs soi-disant antiracistes. Et les habitants de ces quartiers demandent à présent de «la mixité»? De quelle mixité s’agit-il quand dans un quartier, il n’y a plus d’autres commerces que communautaires? Quand le boulanger ou le gérant du bar-tabac est obligé de vendre parce qu’il a été menacé ou braqué dix fois? Quand le boucher-charcutier a plié bagage depuis longtemps? Les élus de ces quartiers qui appellent la mixité de leurs vœux, y vivent-ils? Y scolarisent-ils leurs progénitures?