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Poufpouf On parle des femmes qui avortent, ou sont susceptibles d'avorter un jour, soit 50% de la population. Même une femme hostile à l'IVG sera peut être un jour obligée d'y recourir. Libre à elles de solliciter l'avis du géniteur, si elles le désirent, et libre à elles de ne pas le prendre en compte.
En l'espèce, non. Vous restreignez le sujet à ces femmes. Guère républicain, guère intellectuel non plus.
Pour rappel,
A contrario, que penser également d'une société où l'avortement est devenu un banal moyen de contraception ? Ceci, en dépit des conséquences de celles-ci ?
N'est-ce pas un signe supplémentaire d'une croissance de l'irresponsabilité individuelle ? Est-ce souhaitable ? N'y-a-t-il pas un équilibre à trouver entre excès d'hier et d'aujourd'hui ?
L'autre questionnement proposé par ma personne relevant de l'inégalité sexiste devant la Loi existant ce jour quand à la responsabilité parentale, résultant de ces naissances où la Loi oublia d'évoluer pour considérer et reconnaître ce choix de la femme.
Rien ne vous oblige à être hs ni à me répondre...