Ben voyons!!! Excusez-moi, mais je trouve votre réponse très déroutante s'agissant d'une personne du 21ème siècle!!! Je me pince pour être certaine que je lis bien ce que je lis!! Car en dernier ressort pour vous c'est la femme qui doit tout assumer!! Bravo!!! je vois qu'on a rudement progressé!!!
L'avortement
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Tullia Bon, je m'énerve et je sais que c'est stérile, mais ce que je lis m'a fait monter la moutarde au nez.
Ben oui, le projet d'un enfant, c'est de la responsabilité (avant même la conception et l'acte) ... ce n'est pas qu'une simple tocade d'après coup sur un questionnement binaire (je garde ou pas ?)
Assumer, à contre-coeur? Je ne parle pas des couples mariés ou désireux de se reproduire, mais bien de tous ceux pour qui l'acte sexuel est sa seule finalité. Car ceux-là sont les plus probables candidats à un éventuel avortement.
Assumer matériellement, peut-être, et encore!!! Mais qu'en est-il de l'affectif et du psychologique pour l'enfant? Vous y avez pensé à ça ? Parce que c'est bigrement important pour la construction du gamin et son épanouissement tout au long de sa vie. Et je ne vous parle même pas des gosses abandonnés sous X.
J'avais à ce sujet vu un reportage dans une maternité où des enfants étaient abandonnés à la naissance.... j'en ai chialé, je peux vous dire!!! C'était l'infirmière qui trouvait le prénom, et l'on voyait ce petit être déjà seul, même entouré de personnes. C'était horrible!!!
Ah ? Parce que vous croyez-vous que des adolescents vont se poser ce genre de question ?
Monsieur ou madame Blablabla, je crois que nous ne sommes pas sur la même longueur d'ondes. Je crois que certaines réalités vous échappent vraiment. Notez que c'est plus simple pour tirer des conclusions. malheureusement ce n'est pas si simple que ça dans la vraie vie des gens.
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Tullia mais bien de tous ceux pour qui l'acte sexuel est sa seule finalité. Car ceux-là sont les plus probables candidats à un éventuel avortement.
... Même dans ce cas précis, ça ne doit pas être non plus qu'une simple tocade d'après coup sur un questionnement binaire et irréversible (je garde ou pas ?) ... Ce n'est pas responsable comme comportement.
Sinon le principe de la vie c'est simple, soit on vit, soit on meurt ... le en même temps n'existe pas.
Monsieur ou madame Blabla, je vous présente mes excuses pour m'être emportée et je ne sais pas encore comment éditer mes messages pour les effacer.
Mais en tant que femme comprenez que le sujet est sensible pour moi. Et je ne supporte pas que seules les femmes en général soient mises au pilori. Elles ont trop payé à tous points de vue au cours des siècles.
les adolescents, bon public pour l'avortement, ne se posent pas ce genre de questions!!!!
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Tullia Monsieur ou madame Blabla, je vous présente mes excuses pour m'être emportée et je ne sais pas encore comment éditer mes messages pour les effacer.
Pas de problème ... c'est bien aussi la franchise et le coté direct. C'est même mieux.
Tullia je ne sais pas encore comment éditer mes messages pour les effacer.
Cliquez sur les trois points qui apparaissent sous votre message à droite quand vous passez le pointeur de la souris sur le message.
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Tullia j'en ai ras le bol que le problème de l'avortement retombe toujours sur le dos des femmes!
Il est pourtant la conséquence directe de leur comportement : elles ont fauté.
cheshire-cat Je me disais, avec la gomme, ça marchait pas!
Tullia je ne supporte pas que seules les femmes en général soient mises au pilori
Il me semble que la culture de notre société occidentale contemporaine ne place plus guère la femme au pilori lorsqu'elle se trouve enceinte ? Ce qui est un juste progrès, à n'en point douter ?
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A contrario, que penser d'une justice qui impose à des pères une responsabilité parentale là où leur avis quand à une poursuite de grossesse ne leur fut jamais demandé ?
Là où la femme seule a le choix de donner ou non la vie, retirant de facto ce choix donc cette responsabilité à l'homme ?
Si seul le coït non-protégé suffit à déterminer le choix du mâle, alors n'en est-il pas de même avec la femelle ?
N'y-a-t-il pas là incohérence flagrante ?
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A contrario, que penser également d'une société où l'avortement est devenu un banal moyen de contraception ? Ceci, en dépit des conséquences de celles-ci ?
N'est-ce pas un signe supplémentaire d'une croissance de l'irresponsabilité individuelle ? Est-ce souhaitable ? N'y-a-t-il pas un équilibre à trouver entre excès d'hier et d'aujourd'hui ?
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*termes choisis à fin de dépersonnification.
Neodadais
C'est la femme qui porte l'enfant, qui prend du poids, qui accouche dans la douleur (pour faire plaisir au bon dieu), puis qui subit la dépression post partum. Normal qu'elle décide. Ensuite, s'agissant des droits du père en cas de divorce, on peut en effet discuter. En gros, la femme garde l'enfant, et l'homme paie la pension. Bref, le mieux est sans doute de ne pas faire de gosse. Ca vous laissera une chance d'échapper à l'Ehpad.
Neodadais A contrario, que penser également d'une société où l'avortement est devenu un banal moyen de contraception ? Ceci, en dépit des conséquences de celles-ci ?
Aucune femme n'avorte de gaieté de coeur. Souvent, elle a le choix entre procréer et poursuivre ses études. D'autres hésitent à élever un enfant sans père. La plupart des femmes recourt à la contraception, mais un accident est toujours possible. Il ne faut pas culpabiliser ces femmes pour une faute d'inattention, ou un problème technique. Que celui qui n'a jamais oublié de prendre sa pilule leur jette le premier préservatif.
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Poufpouf Normal qu'elle décide.
Demander l'avis du mâle pour déterminer sa responsabilité propre (mariages et dicorces, c'est hs) donc ses droits et devoirs afférents ne signifie pas retirer le choix à la mère.
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Poufpouf Il ne faut pas culpabiliser ces femmes pour une faute d'inattention
"Ces femmes" ne sont pas "La société". Pas plus que "les hommes".
Neodadais
On parle des femmes qui avortent, ou sont susceptibles d'avorter un jour, soit 50% de la population. Même une femme hostile à l'IVG sera peut être un jour obligée d'y recourir. Libre à elles de solliciter l'avis du géniteur, si elles le désirent, et libre à elles de ne pas le prendre en compte.
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Poufpouf On parle des femmes qui avortent, ou sont susceptibles d'avorter un jour, soit 50% de la population. Même une femme hostile à l'IVG sera peut être un jour obligée d'y recourir. Libre à elles de solliciter l'avis du géniteur, si elles le désirent, et libre à elles de ne pas le prendre en compte.
En l'espèce, non. Vous restreignez le sujet à ces femmes. Guère républicain, guère intellectuel non plus.
Pour rappel,
A contrario, que penser également d'une société où l'avortement est devenu un banal moyen de contraception ? Ceci, en dépit des conséquences de celles-ci ?
N'est-ce pas un signe supplémentaire d'une croissance de l'irresponsabilité individuelle ? Est-ce souhaitable ? N'y-a-t-il pas un équilibre à trouver entre excès d'hier et d'aujourd'hui ?
L'autre questionnement proposé par ma personne relevant de l'inégalité sexiste devant la Loi existant ce jour quand à la responsabilité parentale, résultant de ces naissances où la Loi oublia d'évoluer pour considérer et reconnaître ce choix de la femme.
Rien ne vous oblige à être hs ni à me répondre...