Bravo ! Tout est dit, c'est clair et net. Les nations vont mourir au bénéfice de l’Europe. Le plan Kalergie, génocide des peuples européens ce n’est pas un fantasme. Macron, Ursula leur rêve idéologique va s’avérer un cauchemar pour tous les peuples européens.
Jacques Borrell (ministre des affaires étrangères de l'UE) dans une interview au Financial Times a déclaré que l'UE devrait prendre des mesures contre l'Inde, qui raffine le pétrole de Russie pour le vendre en Europe.
Réponse du ministre des affaires étrangères Indien:
"Je vous exhorte à consulter le règlement 833/2014 du Conseil de l'Union Européenne."
Nous qui avions l'habitude de conseiller, sermonner le reste de la planète, v’là-t’y pas que l'on se prend le boomerang en pleine face.
L'Europe n'existe pas, c'est juste une vaste escroquerie façon communauté de communes, une passoire qui se remplie d'immigrés qui coûtent et n'apportent rien de bon, qui paye le salaire d'Ursula, de son mari chez McKinsey, de socialiste Moscovici ( plus de 24 500 euros. net mensuel ) ets ...
En fait quel est le montant du SMIC net par mois déjà ?
Il va falloir s'interroger sur le rôle de l'Allemagne dans l'affaiblissement de l'UE.
Pourtant, plusieurs problématiques récentes sont venues contredire ces belles promesses. Et à chaque fois, on s'aperçoit que les Allemands sont un facteur d'affaiblissement de l'UE.
1°) Le dossier iranien
Rappelons que les Américains ont, de leur propre chef, décidé que plus aucune entreprise, même européenne, n'avait désormais le droit de commercer avec l'Iran. Que les Américains édictent une telle interdiction pour leurs entreprises, c'est leur problème. Mais au nom de quoi se permettent-ils d'imposer cette interdiction aux entreprises non américaines ? Si l'idée que "les pays européens unis seront plus forts pour lutter contre la Chine et les États-Unis" était vraie, alors les Européens auraient adressé un gros "f*ck" à Trump en lui disant clairement : "si vous sanctionnez nos entreprises, nous ferons pareil avec les vôtres". Rappelons que le marché européen est plus gros que le marché américain : les Américains n'ont pas intérêt à perdre le marché européen, nous devrions être conscients de cette force. Sauf que les Européens se sont finalement couchés devant le diktat américain. Pourquoi donc ? Parce que les Allemands, soucieux de préserver leurs exportations, n'ont pas voulu se fâcher avec les Américains. Donc les Allemands ont privilégié leurs intérêts immédiats, quitte à affaiblir l'UE.
2°) La prise en compte de certaines normes environnementales dans les échanges internationaux
Sur la question écologique, les Européens, sans être parfaits, font plutôt figure de bons élèves par comparaison avec d'autres pays : les Américains et les Chinois émettent beaucoup plus de gaz à effet de serre, les Brésiliens sont en train de défricher la forêt amazonienne, etc. Et les Européens les laissent faire. Bien sûr, il n'est pas question d'envahir militairement les Brésiliens pour les forcer à protéger la forêt amazonienne, il n'est pas non plus question d'envahir militairement les Américains et les Chinois pour les forcer à moins polluer. Alors pourrait-on envisager de conditionner tout accord de libre-échange au respect, par ces pays, de normes environnementales ? Et aurait-on pu dire à Trump "si vous quittez les Accords de Paris, vous n'aurez plus accès au marché européen" ? L'UE, rappelons-le, est plus peuplée que les États-Unis. Son marché intérieur est plus grand que le marché américain, donc les Américains n'ont pas intérêt à perdre le marché européen. Si l'affirmation selon laquelle "les pays européens unis seront plus forts pour lutter contre la Chine et les États-Unis" était vraie, alors les Européens n'auraient pas laissé Trump dénoncer les Accords de Paris, et ils n'hésiteraient pas à conditionner l'accès à leur marché au respect, par les Américains, les Asiatiques ou les Brésiliens, de certaines normes environnementales. Or ils ne font rien de tout cela. Pourquoi donc ? Parce que les Allemands, soucieux de préserver leurs exportations, n'ont pas voulu se fâcher avec des pays qui servent de débouchés à leurs exportations. Donc les Allemands ont privilégié leurs intérêts immédiats, quitte à affaiblir l'UE.
3°) La prise en compte de certaines normes sociales dans les échanges internationaux
Nous savons que de nombreux pays non-européens, notamment asiatiques, n'ont pas les mêmes normes sociales qu'en Europe. Les salaires y sont plus faibles, le droit du travail y est inexistant, etc. Les traités de libre-échange signés avec ces pays ne tiennent pas compte de ces disparités. Résultat : ces pays exercent une concurrence économique déloyale. D'une façon plus générale, en acceptant des importations en provenance de ces pays, les Européens se font les complices des pratiques sociales les plus rétrogrades. Comme sur la question environnementale, on pourrait envisager de conditionner tout accord de libre-échange au respect, par ces pays, de certaines normes sociales. C'est ce que feraient les Européens si l'affirmation selon laquelle "les pays européens unis seront plus forts pour lutter contre la Chine et les États-Unis" était vraie. Or il n'en est rien. Pourquoi donc ? Parce que les Allemands, soucieux de préserver leurs exportations, n'ont pas voulu se fâcher avec d'autres pays, notamment asiatiques, qui constituent des débouchés pour leurs exportations. Donc les Allemands ont privilégié leurs intérêts immédiats, quitte à affaiblir l'UE.
4°) La politique monétaire
C'est une autre question, légèrement différente, car il n'est pas question ici de négociations avec les Américains et les Chinois, mais de négociations internes à la zone euro. Il convient donc de rappeler que les Allemands n'ont pas les mêmes priorités monétaires : pour eux, la priorité est de lutter contre l'inflation. C'est une obsession chez eux, et ça tient à leur histoire. Quand la BCE a été créée, elle a été créée sur le modèle de la Bundesbank, avec pour objectif principal de lutter contre l'inflation, alors que d'autres banques centrales ont pour objectif principal de financer les dettes publiques et de stipuler la croissance économique. Bien sûr, les Allemands ne décident pas de tout, les statuts de la BCE n'interdisent pas formellement le recours à certaines formes de création monétaire, mais comme les Allemands ont une influence très forte, ils retardent le recours à ces formes de création monétaire, la BCE a toujours un train de retard par rapport à d'autres banques centrales, ce qui pénalise de nombreux pays européens qui auraient intérêt à une politique plus souple. Le résultat, c'est que la croissance économique en Europe est inférieure à ce qu'elle est ailleurs.
Voici une déclaration très pertinente de François-Xavier Bellamy :
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On rétorquera que les Allemands ne font guère que défendre leurs intérêts, et qu'on ne peut pas leur en vouloir. Effectivement, on ne peut pas leur en vouloir de défendre leurs intérêts. Mais il apparaît clairement que les intérêts des allemands ne sont pas les intérêts de la France, et qu'ils contredisent également les intérêts de nombreux autres pays européens. Ce constat bat en brèche le mythe du "couple franco-allemand" qui serait nécessaire à la bonne marche de l'UE. Pour de nombreux politiciens français, l'UE ne peut aller bien que si le "couple franco-allemand" va bien, entretenir ce couple devient donc un objectif en soi. Or c'est l'inverse : l'obsession pour le "couple franco-allemand" conduit au contraire l'UE à l'immobilisme.
candidus J'observe que les médias gouvernementaux français parlent de renfort de l'OTAN dépêchés sur place en tant que "forces internationales", comme s'il s'agissait de forces d'interposition, alors qu'il ne s'agit que de soutenir le Zélenski local contre une révolte de la population serbe.
citation:
Quand l’indépendance de l’Etat du Kosovo est proclamée en 2008, des pogroms violents quatre ans plus tôt ont déjà poussé la majorité de la population serbe et chrétienne à fuir cette province qui avait été le berceau de la civilisation serbe orthodoxe. Les Serbes qui y restent continuent à souffrir persécutions et provocations. Pourtant, les pays occidentaux, la France comprise, ont pris fait et cause pour la population albanaise, largement musulmane.
Tribune.
L'Union Européenne est allemande depuis 30 ans. C'est comme ça et ça ne changera plus malheureusement. C'est trop tard. Soit on l'accepte, soit on en sort. Dans tous les cas, la France va continuer de dégringoler, de toute façon.
je me demandais y a-t-il encore en France des français qui réfléchissent ou cette capacité, comme disait Pierre Dac,
est-elle désormais réservée aux miroirs ?
citation:
Pour l'élection présidentielle de 2017, il soutient Alain Juppé jusqu'à sa défaite à la primaire des Républicains, puis Emmanuel Macron, car il juge positif que celui-ci soit « partisan d’une construction européenne avec des abandons de souveraineté ».
Il soutient le projet européen et le traité de Maastricht...
il est Membre de French-American Foundation - France https://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Minc
Les pervers narcissique se reconnaissent entre eux
nombrilist L'UE est un pré-carré allemand sous la tutelle des EU qui ont besoin d'un Président-délégué pour l'Europe.
Macron s'y verrait bien mais les Allemands préfèrent avoir récupéré le poste grâce à Ursule.
Hé les fonctionnaires Français, vous avez fait mauvaise pioche avec 1,5 % d'augmentation, regardés du côté UE.
"Ursula Von Der Leyen exige une augmentation de 15%, soit 4687 euros par mois en plus, après une première augmentation de salaire de 8% en janvier. Elle réclame cette augmentation pour tous les fonctionnaires de l’Union européenne"
Macron dit qu’il est contre l’accord de libre-échange UE-Mercosur !
Mais il oublie un détail, c'est qui n'a pas son mot à dire, les Traités Européens sont de la compétence exclusive de la Commission Européenne, à moins qu'il nous fasse encore un coup de com.
L'UE demande toujours plus de rigueur budgétaire aux pays membres mais pour elle même c'est la fête à la dépense.
Après l'épisode d'augmentation de 8%, puis la demande de 15% (pour les fonctionnaires de l'UE), la fête continue avec la réfection de l'hémicycle du Parlement à Bruxelles, 490 millions d'Euro !
Comme disait Coluche "rigole pas, c'est nous qui paient".
La Banque Mondiale informe sur le PIB des Etats, en valeur constante, on nous dit que les valeurs évoluent ainsi :
1990 :
USA 10 billions,
France : 2 billions,
2021 :
USA : 21 billions,
France : 3 billions.
La France augmente de 50% en 30 ans, les USA font multiplié par deux.
On relève aussi en 2020, selon l'INSEE, que la France a une valeur ajoutée agricole de 1,8 contre 1,7 pour l'Europe, 3,4 pour l'Espagne, 1,8 pour les Pays-Bas, 2,2 pour l'Italie.
Pour l'industrie manufacturière, la France a 10,4 contre 16,2 pour l'UE en moyenne, l'Espagne 16, l'Italie 16,4, les Pays-Bas 12,1, l'Allemagne 20,1, l'Autriche 18,1, le Portugal 13,6 et la Suède 24,1, 10,2 pour la Grèce.
La France est-elle un grand pays industriel et agricole ?
Par ailleurs, nous relevons des informations INSEE sur le commerce 2022 : la balance commerciale des biens, déficitaire depuis 2004 est à -143,6 milliards € pour une balance des services positive.
Parmi les principaux partenaires commerciaux : la balance est positive vis à vis des USA, du RU de la Suisse, mais pas de la Chine. En revanche elle est négative avec l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie, la Belgique, les Pays-Bas, la Pologne qui sont en zone euro. Le déficit commercial de l'Italie pour 2022 est de 31 milliards avec les problèmes énergétiques.
Si la balance commerciale française est déficitaire vis à vis de tous les grands pays de la zone euro, devons-nous considérer que l'euro est trop élevé pour l'économie française ?
En 2021, les prélèvements obligatoires étaient en France de 4,8 points supérieurs à la zone euro.
Par ailleurs, le taux de chômage chez les -25 ans se situe à un niveau élevé en Janvier 2023 : Espagne 29%, Italie 22%, Portugal 20%, France 17%, Zone Euro 14%, Allemagne 5%, USA 8%.
Seule l'Allemagne est au plein emploi, cela traduit-il le fait que l'Europe n'est pas sortie de la crise de 2009 ?
La France augmente de 50% en 30 ans, les USA font multiplié par deux. Faut-il considérer cela comme un déclin induit par l'Europe ?
L'Europe est devenue un continent âgé et puritain, misanthrope, technophobe, effrayé par son ombre, dégoûté de lui-même. Une telle mentalité est incompatible avec l'innovation. Regardez les composition des indices boursiers : que des vieilles entreprises chez nous, à commencer par de l'immobilier. Outre-atlantique en revanche, vous trouverez Amazon, Tesla, Google, Microsoft, Facebook, Apple, ...
En bon continent âgé, puritain et féminisé nous n'aimons pas la puissance : c'est sale. Nous préférons être gentils et obéir. Être aimés que craints. Rester chez soi et faire du tricot. Investir dans l'immobilier car c'est plus sûr. Être polis avec les envahisseurs et ne pas discriminer ces pauvres choux. Pendant ce temps le reste du monde entreprend, bâtit, consomme, innove, dévore, domine.
Le IVè reich a sans aucun doute joué : un illusoire fantasme de puissance paisible assis sur la bureaucratie, la colonisation afro-arabe, l'ouverture des frontières aux quatre vents, et la rente immobilière. Une gigantesque bureaucratie tentaculaire décidant de tout et son contraire, qui a fait de Bruxelles la capitale mondiale du lobbying et de la corruption, ainsi qu'une monnaie inadaptée. Mais ce n'est même pas le fond du problème : un symptôme tout au plus.
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