Thierry Breton, Commissaire au Marché Intérieur se sent pousser des ailes de censeur en chef de l'UE.
Il annonce qu'il va monter une équipe pour "faire des descentes" chez les plateformes de réseaux sociaux.
Il compte même se rendre en Californie pour effectuer un audit chez Twitter.
Il faudrait rappeler à ce monsieur qu'il n'a pas été élu.
L'UE va s'effondrer (comme l'ex URSS) et pour essayer de perdurer, elle n'a pas d'autre choix que de dériver vers toujours plus l'autoritarisme et de totalitarisme. https://lemediaen442.fr/thierry-breton-menace-elon-musk-et-annonce-quil-va-monter-une-equipe-cest-trop-mignon/
geopolis Fluidifiant les transactions, il améliore effectivement nos niveaux de vie
Un euro plus faible, ou un retour au franc (au départ 1franc=1euro puis baisse de 15%) permettrait de mieux vendre, or qui dit hausse des exportations dit baisse du chômage!
Des murs ? Je suis mort de rire, mais quels idiots.
L'UE est effectivement un asile de fous : d'abord on érige des lois pour sanctuariser leur droit à nous coloniser, puis on érige des murs pour qu'ils ne puissent pas en profiter !
Une fois qu'ils ont mis le pied chez nous, c'est foutu. Tout ça parce que des juges ont décidé d'organiser notre colonisation au nom des droits de l'homme.
chevalier-du-temple L'U.E. est née du mouvement européen créé par Jean Monnet et Robert Schuman, deux non-patriotes financés par les USA.
Tu oublies Walter Hallstein, premier président de la Commission Européenne, qui avait conçu l'Europe Nouvelle d'Hitler, et qui a été recyclé par les USA: avec l'idée clef d'un nombre trop nombreux de participants ayant des intérêts trop divergents, pour que ne soit possible un dialogue serein, (exemple d'une copropriété de 30 copropriétaire qui ne peut fonctionner que sous l'autorité d'un syndic), de telle sorte que la seule façon de la gouverner soit sous l'autorité d'un chef unique qui aurait été l'Allemagne dans la première version nazie et qui est la Commission Européenne dans la conception réelle de l'Union Européenne: https://lesbrindherbes.org/2016/05/25/nazi-devenu-president-de-commission-europeenne-preuve/
Norbert2 L'Allemagne s'étant adonnée après-guerre à une démocratie au minimum de façade, n'était plus apte à diriger "l'Europe".
C'est pourquoi a été mise sur pied la Commission, aréopage de technocrates bornés capables d'assurer la conduite de la Dictature sans avoir à se préoccuper des peuples, ou plutôt, selon les Textes Fondateurs, à-même de diriger le Grand Bazar expressément contre les peuples.
Évidemment, derrière la Commission on discerne l'Allemagne, mais pas celle de la RFA avec son Bundestag bavard, la Gross Allemagne, celle de Charlemagne, Charles-Quint et Bismarck appuyés par les corps constitués du Reich.
candidus Évidemment, derrière la Commission on discerne l'Allemagne, mais pas celle de la RFA avec son Bundestag bavard, la Gross Allemagne, celle de Charlemagne, Charles-Quint et Bismarck appuyés par les corps constitués du Reich.
je suis d'accord, mais ce n'est pas ce que voulais dire.
Dans la 1ère conception de l'Europe, voulue par Hitler et mise au point par Walter HALLSTEIN, pour pouvoir faire faire fonctionner la "copropriété", il aurait fallu faire gouverner l’Allemagne. Dans la 2e conception mise au point par Walter HALLSTEIN, ce n'est plus l'Allemagne mais la Commission Européenne qui gouverne (elle même au service des élites transatlantiques).
L'idée de Walter Hallstein est de comprendre qu'un groupe aux intérêts divergents ne peut fonctionner que dictatorialement, d'où l’idée d'associer des pays ayant les intérêts les plus divergents possibles, pour un maximum de dictature.
Van der Lyen, est la représentante de ces élites: au départ industrielles européennes, puis industrielles-américaines, puis financières.
Norbert2 Ben moi ça tombe bien je suis aussi d'accord avec ce que vous vouliez dire. Gouverner contre les peuples en associant, si possible, le plus de peuples antagonistes de façon à assurer la Force de la dictature.
Ce qui est marrant c'est que j'ai le sentiment que Macron fait comme ça à sa petite échelle française : il monte les gens, les associations et les partis les uns contre les autres et dans la chienlit qu'il provoque il rayonne.
candidus Je suis pour une Europe de Brest à l'Oural, sans Chypre qui est une île au large de la Syrie.
Voeu exaucé: il y a une Europe de Brest .... Litovsk à l'Oural, et une Asie de l'Oural à Vladivostok et à Ping-Pong-Yang, à l'Ouest de Brest-Litovsk c'est l'Amérique de los Gringos et la Bidènerie. C'est-y pas beau?
Norbert2
Le pouvoir médiatico-culturel est beaucoup plus puissant que le pouvoir capitalistique en Europe. La raison principale de notre colonisation est morale : "les sales blancs", "les pauvres afro-arabes", l'universalisme, l'expiation du péché colonial par la colonisation, ...
Nous sommes colonisés parce que ceux qui font le beau, le bien, le vrai, ont décidé que la colonisation des sales blancs est belle et bonne.
Et si les USA provoquaient la fin de l'Euro !
Du plus en plus de pays n'utilisent plus de Dollars pour leurs échangent commerciaux, les USA seraient tentés de détruire l'Euro pour que leurs vassaux de la zone Euro utilisent le Dollar et non plus l'Euro.
Et pourquoi pas, ils ont bien provoqués une guerre sur le sol Européen, poussés les Européens à s'appliquer des sanctions, détruit l'accès au gaz bon marché (Russe).
Pour les Ricains, si c'est bon pour le business cela devient éthique !
Bravo ! Tout est dit, c'est clair et net. Les nations vont mourir au bénéfice de l’Europe. Le plan Kalergie, génocide des peuples européens ce n’est pas un fantasme. Macron, Ursula leur rêve idéologique va s’avérer un cauchemar pour tous les peuples européens.
Jacques Borrell (ministre des affaires étrangères de l'UE) dans une interview au Financial Times a déclaré que l'UE devrait prendre des mesures contre l'Inde, qui raffine le pétrole de Russie pour le vendre en Europe.
Réponse du ministre des affaires étrangères Indien:
"Je vous exhorte à consulter le règlement 833/2014 du Conseil de l'Union Européenne."
Nous qui avions l'habitude de conseiller, sermonner le reste de la planète, v’là-t’y pas que l'on se prend le boomerang en pleine face.
L'Europe n'existe pas, c'est juste une vaste escroquerie façon communauté de communes, une passoire qui se remplie d'immigrés qui coûtent et n'apportent rien de bon, qui paye le salaire d'Ursula, de son mari chez McKinsey, de socialiste Moscovici ( plus de 24 500 euros. net mensuel ) ets ...
En fait quel est le montant du SMIC net par mois déjà ?
Il va falloir s'interroger sur le rôle de l'Allemagne dans l'affaiblissement de l'UE.
Pourtant, plusieurs problématiques récentes sont venues contredire ces belles promesses. Et à chaque fois, on s'aperçoit que les Allemands sont un facteur d'affaiblissement de l'UE.
1°) Le dossier iranien
Rappelons que les Américains ont, de leur propre chef, décidé que plus aucune entreprise, même européenne, n'avait désormais le droit de commercer avec l'Iran. Que les Américains édictent une telle interdiction pour leurs entreprises, c'est leur problème. Mais au nom de quoi se permettent-ils d'imposer cette interdiction aux entreprises non américaines ? Si l'idée que "les pays européens unis seront plus forts pour lutter contre la Chine et les États-Unis" était vraie, alors les Européens auraient adressé un gros "f*ck" à Trump en lui disant clairement : "si vous sanctionnez nos entreprises, nous ferons pareil avec les vôtres". Rappelons que le marché européen est plus gros que le marché américain : les Américains n'ont pas intérêt à perdre le marché européen, nous devrions être conscients de cette force. Sauf que les Européens se sont finalement couchés devant le diktat américain. Pourquoi donc ? Parce que les Allemands, soucieux de préserver leurs exportations, n'ont pas voulu se fâcher avec les Américains. Donc les Allemands ont privilégié leurs intérêts immédiats, quitte à affaiblir l'UE.
2°) La prise en compte de certaines normes environnementales dans les échanges internationaux
Sur la question écologique, les Européens, sans être parfaits, font plutôt figure de bons élèves par comparaison avec d'autres pays : les Américains et les Chinois émettent beaucoup plus de gaz à effet de serre, les Brésiliens sont en train de défricher la forêt amazonienne, etc. Et les Européens les laissent faire. Bien sûr, il n'est pas question d'envahir militairement les Brésiliens pour les forcer à protéger la forêt amazonienne, il n'est pas non plus question d'envahir militairement les Américains et les Chinois pour les forcer à moins polluer. Alors pourrait-on envisager de conditionner tout accord de libre-échange au respect, par ces pays, de normes environnementales ? Et aurait-on pu dire à Trump "si vous quittez les Accords de Paris, vous n'aurez plus accès au marché européen" ? L'UE, rappelons-le, est plus peuplée que les États-Unis. Son marché intérieur est plus grand que le marché américain, donc les Américains n'ont pas intérêt à perdre le marché européen. Si l'affirmation selon laquelle "les pays européens unis seront plus forts pour lutter contre la Chine et les États-Unis" était vraie, alors les Européens n'auraient pas laissé Trump dénoncer les Accords de Paris, et ils n'hésiteraient pas à conditionner l'accès à leur marché au respect, par les Américains, les Asiatiques ou les Brésiliens, de certaines normes environnementales. Or ils ne font rien de tout cela. Pourquoi donc ? Parce que les Allemands, soucieux de préserver leurs exportations, n'ont pas voulu se fâcher avec des pays qui servent de débouchés à leurs exportations. Donc les Allemands ont privilégié leurs intérêts immédiats, quitte à affaiblir l'UE.
3°) La prise en compte de certaines normes sociales dans les échanges internationaux
Nous savons que de nombreux pays non-européens, notamment asiatiques, n'ont pas les mêmes normes sociales qu'en Europe. Les salaires y sont plus faibles, le droit du travail y est inexistant, etc. Les traités de libre-échange signés avec ces pays ne tiennent pas compte de ces disparités. Résultat : ces pays exercent une concurrence économique déloyale. D'une façon plus générale, en acceptant des importations en provenance de ces pays, les Européens se font les complices des pratiques sociales les plus rétrogrades. Comme sur la question environnementale, on pourrait envisager de conditionner tout accord de libre-échange au respect, par ces pays, de certaines normes sociales. C'est ce que feraient les Européens si l'affirmation selon laquelle "les pays européens unis seront plus forts pour lutter contre la Chine et les États-Unis" était vraie. Or il n'en est rien. Pourquoi donc ? Parce que les Allemands, soucieux de préserver leurs exportations, n'ont pas voulu se fâcher avec d'autres pays, notamment asiatiques, qui constituent des débouchés pour leurs exportations. Donc les Allemands ont privilégié leurs intérêts immédiats, quitte à affaiblir l'UE.
4°) La politique monétaire
C'est une autre question, légèrement différente, car il n'est pas question ici de négociations avec les Américains et les Chinois, mais de négociations internes à la zone euro. Il convient donc de rappeler que les Allemands n'ont pas les mêmes priorités monétaires : pour eux, la priorité est de lutter contre l'inflation. C'est une obsession chez eux, et ça tient à leur histoire. Quand la BCE a été créée, elle a été créée sur le modèle de la Bundesbank, avec pour objectif principal de lutter contre l'inflation, alors que d'autres banques centrales ont pour objectif principal de financer les dettes publiques et de stipuler la croissance économique. Bien sûr, les Allemands ne décident pas de tout, les statuts de la BCE n'interdisent pas formellement le recours à certaines formes de création monétaire, mais comme les Allemands ont une influence très forte, ils retardent le recours à ces formes de création monétaire, la BCE a toujours un train de retard par rapport à d'autres banques centrales, ce qui pénalise de nombreux pays européens qui auraient intérêt à une politique plus souple. Le résultat, c'est que la croissance économique en Europe est inférieure à ce qu'elle est ailleurs.
Voici une déclaration très pertinente de François-Xavier Bellamy :
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On rétorquera que les Allemands ne font guère que défendre leurs intérêts, et qu'on ne peut pas leur en vouloir. Effectivement, on ne peut pas leur en vouloir de défendre leurs intérêts. Mais il apparaît clairement que les intérêts des allemands ne sont pas les intérêts de la France, et qu'ils contredisent également les intérêts de nombreux autres pays européens. Ce constat bat en brèche le mythe du "couple franco-allemand" qui serait nécessaire à la bonne marche de l'UE. Pour de nombreux politiciens français, l'UE ne peut aller bien que si le "couple franco-allemand" va bien, entretenir ce couple devient donc un objectif en soi. Or c'est l'inverse : l'obsession pour le "couple franco-allemand" conduit au contraire l'UE à l'immobilisme.
candidus J'observe que les médias gouvernementaux français parlent de renfort de l'OTAN dépêchés sur place en tant que "forces internationales", comme s'il s'agissait de forces d'interposition, alors qu'il ne s'agit que de soutenir le Zélenski local contre une révolte de la population serbe.
citation:
Quand l’indépendance de l’Etat du Kosovo est proclamée en 2008, des pogroms violents quatre ans plus tôt ont déjà poussé la majorité de la population serbe et chrétienne à fuir cette province qui avait été le berceau de la civilisation serbe orthodoxe. Les Serbes qui y restent continuent à souffrir persécutions et provocations. Pourtant, les pays occidentaux, la France comprise, ont pris fait et cause pour la population albanaise, largement musulmane.
Tribune.
L'Union Européenne est allemande depuis 30 ans. C'est comme ça et ça ne changera plus malheureusement. C'est trop tard. Soit on l'accepte, soit on en sort. Dans tous les cas, la France va continuer de dégringoler, de toute façon.
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