1) Normal pour le volume 1: il est uniquement là pour décrire les phénomènes et les mécanismes.

2) Près de 300 experts est déjà un nombre important d'autant qu'ils s'appuient souvent sur des laboratoires solides (allez voir la liste sur le site du GIEC) et ils travaillent à partir de plusieurs milliers de contributions.

Oui donc, il y a 300 scientifiques, il n'y a pas des "dizaines de milliers de scientifiques". Si tes arguments étaient solides, tu n'aurais pas eu besoin de mentir et d'exagérer comme un goret, CQFD.

300 experts pour rédiger le rapport qui s'appuient sur plus de 5000 publications qui associent chacune plusieurs chercheurs qui eux mêmes prennent appui sur les personnels de leurs laboratoires. Les 300 sont le seul comité de relecture et de synthèse de milliers de travaux faits par ailleurs!!!!!!!!!

Il n'y a PAS de scientifique dans les rapport 2 et 3 du GIEC, arrête de fantasmer. Sinon, cite un nom, un exemple, un fait au lieu de brasser du vent, encore et encore.

désolé, je suis allé sur le site du WG3 (rapport 3) qui s'occupe du chapitre 3 et je vous ai mis ci dessous les présentations des différents responsables de rédaction. On trouve beaucoup de profils scientifiques et les économistes (dont la contribution est nécessaire pour cette partie du rapport) sont souvent également des scientifiques. Quelques proifls pris un peu au hasard

:

http://www.ipcc-wg3.de/assessment-reports/fifth-assessment-report/Authors

http://www.feem.it/getpage.aspx?id=252&sez=People

http://www.centre-cired.fr/spip.php?article1350

http://www.e-ural.vsu.ru/en/uforms/appforms/view/735

Il y a plusieurs dizaines et on trouve beaucoup de disciplines, mais tous sont indéniablement des gens qui ont une expérience de Recherche importante.

http://www.globalchange.umd.edu/staff/lclarke/

Quels activistes écolos avez vous repéré?

Qu'appelez vous littérature grise? Et sur quel aveu du GIEC vous basez vous?

Des dizaines et dizaines (dont certains sont auteurs principaux des rapports 2 et 3) payés par le WWF, Greenpeace... C'est parfaitement documenté, listé, preuves à l'appui par Donna Laframboise. Et pour les aveux du GIEC sur son utilisation de la littérature grise, il faut 2 secondes de recherche avec grey litterature ipcc, je ne vais pas me taper tout le boulot pour toi hein !

L'ignorance, c'est pas excuse. C'est d'autant plus impardonnable quand tu te poses en donneur de leçon.

Des noms SVP. S'il y en a des dizaines, cela doit être facile à trouver.

Avoir travaillé pour le WWF ou pour Greenpeace ne prouve qu'un chose: ils s'intéressent au sujet! C'est éliminatoire?

La grey lirtterature a l'air d'êtyre un concept fumeux inventé par les anti GIEC pour déconsidérer les scientiques qui travaillent dans ce cadre là, mais en dehors de cela, le concept a l'air très flou!

M. Jouzel est quelqu'un de tout à fait fiable qui n'a rien ni d'un grand prêtre ni d'un vendu.

Je ne vois pas ce qui vous permet de le mettre aussi méchamment en cause!

Tu ne "vois pas" donc ça n'existerait pas. Warff, non mais délire quoi !

De quoi acusez vous M. Jouezl? SVP? Sur quelle base concrète le mettez vous en cause!

Le fait de travailler pour le CEA organisme public ne constitue évidemment pas un élément à charge. Sauf )à ce que vous me prouviez qu'ils ont falsifié le moindre résultat, ce qui m'étonnerait car la moindre remise en cause serait pour eux la fin de leur carrière universitaire.

Quand a ces scientifiques manqué d'objectivité? Merci de me répondre par des faits!

Et de nombreux laboratoires français contribuent comme le laboratoire de météorologie dynamique de paris 6 ou le laboratoire de météo France qui ne sont pas liés à l'industrie nucléaire.

Le LMD fait partie de l'IPSL, un groupement de labos sous tutuelle du CEA. Météo France est dirigé jusqu'en 2014 par François Jacq, un ancien ponte de l'industrie du... nucléaire.

Et alors????????

Mais non, bien sûr, le lobby nucléaire n'est pour rien dans l'hystérie climatique. Mais par contre, le lobby du pétrole, lui est coupable de tout.

Admirez l'objectivité du gars.

en admettant que le lobby nucléaire existe en France et agit dans ce sens, il n'existe pas à ce niveau dans les 130 autres pays qui sont actifs au niveau du GIEC.

Le LMD travaille beaucoup pour l'industrie pétrolière et gazière. Le présenter comme asservi au lobby nucléaire est assez surréaliste.

De toute manière, ils seraient rééquilibrés par tous les labos venus de pays qui n'ont aucun intérêt pour le nucléaire.

Je trouve vos soupçons mal venus.

Je trouve ton ignorance crasse mal venue.

Quel argument!

Je prend cela comme une esquive de votre aprt pour ne pas répondre

Pour la qualité scientifique des experts du GIEC, c'était effectivement vérifiable et c'était faux!

Venant d'un gars qui affirme qu'un économiste serait un scientifique, pouaahhh.

Bien sur qu'un économiste peut être un scientifique!

Une bonne présentation du GIEC:

http://www.manicore.com/documentation/serre/GIEC.html

Janco "remplit son frigo" (selon son expression) avec le catastrophisme climatique et anti-fossile. C'est son fond de commerce même ! Alors, bon, sa "bonne présentation", c'est direct poubelle.

Vous feriez me de me dire où il y a tromperie. Le fonctionnement du GIEC est tout à fait celui là. Le mode de travail également.

Il y a environ 3000 experts qui ont contribué au 4'ème rapport chacun s'appuyant sur des laboratoires dont certaines comptent des dizaines cvoire des centaines de chercheurs. je vous laisse faire le compte.

Et il n'y a toujours pas des "dizaines milliers de scientifiques", arrête de mentir.

????

Ben si! 3000 laboratoires cela fait plusieurs dizaines de milliers. les labos de recherches ne comportent pas qu'un seul scientifique!

M. Pachauri est un ingénieur (PhD "industrial engineering ") ancien directeur d'un centre de recherche sur l'énergie.
Pachauri n'a pas un PhD en "industrial engineering" mais en économie (d'ailleurs, il avait même menti pendant des années, preuves avec les documents officiels, en prétendant qu'il avait DEUX PhD). Et il n'est pas ancien directeur d'un centre de recherche sur l'énergie, il est directeur de son propre centre de recherche sur l'énergie, le TERI, qui lui permet de se faire des millions grâce à l'arnaque climatique.

Mince, ils ont élu du GIEC un directeur d'un centre qui s'intéresse à l'environnement et à l'énergie!!!!! Auraient ils du mettre un spécialiste de la chevalerie médiévale ou un as du laser ou des ultrasons?

Je vous rappelle de toute manière que la mission du directeur du GIEC n'est aucunement scientifique (il n'a aucune responsabilité sur les rapports hormis un éditorial!

Quels inconvénients CONCRETS à moyen et long terme amènent donc les solutions préconisées par le GIEC? Sur le court terme, ils gènent Gazprom et les pétroliers du golfe, maiçs à part ceux là.
Bah si tu ne vois pas d'inconvénient et que des avantages, c'est qu'on a la preuve que tu n'as absolument pas réfléchi sur la question et que tu te contentes de faire le perroquet de la propagande officielle. CQFD.

Quels INCONVENIENTS?????

C'est mal d'économiser l'énergie?
Mais bien sûr que c'est mal, quelle question débile.

Ben non, la preuve vous n'y répondez pas et n'apportez aucun argument!

Question: avez vous lu les rapports ou les notes du GIEC?

Montrez moi alors sur quel point précis vous voyez une erreur en vous basant évidemment sur les rapports et non pas sur ce que certains en racontent sans les avoir lu!

Des exemples de conneries GIECiennes, il y en a à la pelle. Sur les glaciers de l'Himalaya sensés disparaître en 2035.

non 2350 le rapport a été corrigé après que la faute de frappe ait été repérée (il faisait référence d'ailleurs à un article où il était bien écrit 2350).

Sur les projections de températures systématiquement exagérées.

Des fourchettes assez larges sont données.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/04/14/rechauffement-les-dix-points-marquants-du-rapport-du-giec_4399907_3244.html

Les anti GIEC s'excitent sur la relative stagnation des dix dernières années, mais il y a quand même augmentation avec des risques nouveaux comme celui du relargage de méthane à partir du permafrost.

Sur les projections de hausse des mers toujours trop forte et révisées à la baisse après chaque rapport.

Je vais vérifier car je ne suis pas sur que ce que vous dites est vrai.

A lire cet aricle du monde, j'ai l'impression que vous affirmez un peu rapidement:

http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/04/14/rechauffement-les-dix-points-marquants-du-rapport-du-giec_4399907_3244.html

Sur les affirmations mensongères dans le "résumé pour décideurs" (le seul que les journaleux vont reproduire) comme les histoires de "very likely" et qui n'ont jamais été confirmé par le rapport scientifique et encore moins par une étude peer-reviewed. Tu vas les nier peut-être ?

Et je ne parle même pas des déclarations mensongères de Pachauri comme "'IPCC studies only peer-review science"...

Quelles affirmations mensongères?

On peut étriller spitfire toute la journée, il en redemande le bougre ! :

Pas une once d'amour-propre ni de rigueur intellectuelle.

L'affirmation mensongère poussée au niveau de l'art.

On peut étriller spitfire toute la journée, il en redemande le bougre ! :

Pas une once d'amour-propre ni de rigueur intellectuelle.

L'affirmation mensongère poussée au niveau de l'art.

Sur quel point ai je fait une affirmation mensongère?

Merci de me renseigner et BON COURAGE pour en trouver une!

Comme d'habitude, je risque d'attendre longtemps car ceux qui me font de telles accusations oublient souvent de répondre... étrangement.

Sur quel point ai je été étrillé?

Je vois un forumeur qui balance des accusations graves envers des gens qu'il ne connait pas SANS PREUVES ni même aucun élément de preuves.

Il faut dire que le même n''hésite pas à affirmer avec sérieux que l'environnement n'est pas un problème mondial: il faut le faire!

Ben si! 3000 laboratoires cela fait plusieurs dizaines de milliers. les labos de recherches ne comportent pas qu'un seul scientifique

tiens vérifions.. geoazur ( membre du GIEC), la division qui s occupe du climat.. regroupe.. 3 doctorants.. et 3 CDD...

oui oui oui.. vachement nombreux y a pas à dire..

Chez ISTTerre ( ah ben oui membre du GIEC aussi pour le climat tiens..) c est 12 personnes dont.. 7 CDD étudiants.. et 2 détachés..

mouais ok n en jetez plus..

comme qui dirait :

Nous partîîîîîîîmes 300 mais par un prompt renfort..etc etc..

Ben si! 3000 laboratoires cela fait plusieurs dizaines de milliers. les labos de recherches ne comportent pas qu'un seul scientifique!

tiens vérifions.. geoazur ( membre du GIEC), la division qui s occupe du climat.. regroupe.. 3 doctorants.. et 3 CDD...

oui oui oui.. vachement nombreux y a pas à dire..

Chez ISTTerre ( ah ben oui membre du GIEC aussi pour le climat tiens..) c est 12 personnes dont.. 7 CDD étudiants.. et 2 détachés..

mouais ok n en jetez plus..

comme qui dirait :

Nous partîîîîîîîmes 300 mais par un prompt renfort..etc etc..

Il y a parfois de toutes petites structures mais il y a aussi des labos importants:

Le LMD fait un peu plus de 160 personnes dont 120 chercheurs, post docs et doctorants

Le LSCE a près de 300 personnes dont plus de 100 chercheurs permanents plus des doctorants.

Pour le met Office, je n'ai pas compté, mais cela fait du monde: http://www.metoffice.gov.uk/research/our-scientists

L'institut Max Planck pour la météorologie a plus de 300 chercheurs

Vous avez tous les labos du NOAA cela fait plusieurs centaines de personnes si ce n'est plusieurs milleirs...

dans un labo, faut pas compter ceux qui s occupent d un sujet qui n est pas de leur compétence.

dans les exemples précités il s agissait des membres qui s occupaient de la section climat de leur boite.

et c est pas beaucoup de monde du tout.

Toutes ces remarques sont débiles, quelle importance de connaître le nombre exact de chercheurs qui bossent pour le GIEC, 5000 ? 10000 ? moins ? On s'en fou, ce sont des scientifiques dont c'est le métier et qui ne s'attachent pas à défendre des causes stériles et dénuées de tout bon sens.

Les faits sont là, ce ne sont pas quelques aigris de la vie qui vont décrédibiliser les travaux de centaines voire de milliers de scientifiques sous prétexte que ça les fait suer de devoir payer le prix de la vérité.

Vous en payerez une partie çà c'est certain, mais se sont vos gosses qui payeront le prix fort et après eux vos petits-enfants. Toutes vos niaiseries n'y changeront rien.

dans un labo, faut pas compter ceux qui s occupent d un sujet qui n est pas de leur compétence.

dans les exemples précités il s agissait des membres qui s occupaient de la section climat de leur boite.

et c est pas beaucoup de monde du tout.

Dans les laboratoires que j'ai donnés, c'est le cas. Les labos sont dédiés climat ou météo.

Par ailleurs, ces laboratoires s'appuient souvent sur des compétences extérieures qui ne sont pas dans le GIEC. Les laboratoires français ont utilisé par exemple les modélisations d'EDF ou des travaux de l'ONERA. Les labos des grandes sociétés d'énergie ont utilisé leurs centres de recherche pour réagir aux prérapports qui sont diffusés. De toute manière, il ne s'agit pas d'opérer un compte précis du nombre de chercheurs affectés à ces recherches (même si un rapide examen prouve que mon ordre de grandeur est correct) mais de bien voir que ce sont plusieurs communautés scientifiques et de milieux différents qui opèrent sur le sujet.

L’écologie, ce n’est pas réduire sa pollution en Co2

Les Moissons du futur, ce nouveau documentaire de Marie-Monique Robin, réalisatrice entre autres des films Le Monde selon Monsanto et Du Poison dans nos assiettes, est incontournable. Il pose les véritables problèmes et enjeux écologiques planétaires, qui sont ceux de l’agriculture. Il sera diffusé demain, 16 octobre 2012, sur Arte à 20 h.

Ce n’est pas « la planète » qu’il faut sauver, mais l’humanité : si l’être humain dans son ensemble ne parvient pas au XXIIe siècle, ce ne sera pas parce que des prévisions de +4 °C se révèleront exactes ou pas, mais bien parce que la crise alimentaire et agricole en cours aura atteint des sommets inconnus jusque-là.

En réalité, ce documentaire, Les Moissons du futur est une ode à l’espoir : ce voyage à travers la planète, de l’Amérique centrale au Japon, en passant par l’Amérique du Nord, l’Afrique de l’Est et l’Allemagne, démontre que des solutions écologiques, d’agro-écologie, existent et sont déjà appliquées. Ce sont ces solutions qui peuvent nous « sauver » du désastre, et elles sont agricoles.

Parce que les arbres et les plantes cultivés sont la vie, que la pollution humaine n’est pas celle des rejets de CO2 (bien qu’on trouve quelques morceaux de discours « réchauffistes » dans le documentaire, politiquement correct, français oblige) mais bien celle des pesticides et engrais chimiques qui épuisent les terres, tuent la biodiversité et condamnent les êtres humains à terme.

Dans ce documentaire, il y a de l’économie, de « l’écologie véritable, centrée sur les réalités », de la science, des analyses politiques, et des êtres humains qui démontrent que la voie tracée par l’agro-industrie depuis 60 ans n’est pas tenable et doit être abandonnée. Les affirmations totalement fausses sur l’impossibilité de cultiver sans la chimie continuent d’influencer le plus grand nombre alors que c’est l’inverse qui s’avère exact. C’est là que l’écologie doit travailler. Le reste n’est que diversion.

Il faut prendre ces 90 minutes pour regarder ce documentaire, si l’on s’intéresse aux véritables problèmes écologiques mondiaux. Et que l’on est prêt à accepter que l’écologie est autre chose que la simple communication des gouvernements, avec pour but réel le contrôle social desdites populations.

Pendant que les adeptes du Grenelle convainquent les foules de réduire leurs émissions de CO2, les êtres humains et les terres crèvent sous les coups de boutoir de l’agrochimie et du lobby des OGM qui amènent des solutions contre le réchauffement climatique. Y aurait-il comme un paradoxe étrange ? Les « écologistes » français, défenseurs du GIEC et de la politique environnementale, devraient se poser la question.

A2yun7F4a20

L’écologie, ce n’est pas réduire sa pollution en Co2

, ce nouveau documentaire de Marie-Monique Robin, réalisatrice entre autres des films Le Monde selon Monsanto et Du Poison dans nos assiettes, est incontournable. Il pose les véritables problèmes et enjeux écologiques planétaires, qui sont ceux de l’agriculture. Il sera diffusé demain, 16 octobre 2012, sur Arte à 20 h.

Ce n’est pas « la planète » qu’il faut sauver, mais l’humanité : si l’être humain dans son ensemble ne parvient pas au XXIIe siècle, ce ne sera pas parce que des prévisions de +4 °C se révèleront exactes ou pas, mais bien parce que la crise alimentaire et agricole en cours aura atteint des sommets inconnus jusque-là.

En réalité, ce documentaire, Les Moissons du futur est une ode à l’espoir : ce voyage à travers la planète, de l’Amérique centrale au Japon, en passant par l’Amérique du Nord, l’Afrique de l’Est et l’Allemagne, démontre que des solutions écologiques, d’agro-écologie, existent et sont déjà appliquées. Ce sont ces solutions qui peuvent nous « sauver » du désastre, et elles sont agricoles.

Parce que les arbres et les plantes cultivés sont la vie, que la pollution humaine n’est pas celle des rejets de CO2 (bien qu’on trouve quelques morceaux de discours « réchauffistes » dans le documentaire, politiquement correct, français oblige) mais bien celle des pesticides et engrais chimiques qui épuisent les terres, tuent la biodiversité et condamnent les êtres humains à terme.

Dans ce documentaire, il y a de l’économie, de « l’écologie véritable, centrée sur les réalités », de la science, des analyses politiques, et des êtres humains qui démontrent que la voie tracée par l’agro-industrie depuis 60 ans n’est pas tenable et doit être abandonnée. Les affirmations totalement fausses sur l’impossibilité de cultiver sans la chimie continuent d’influencer le plus grand nombre alors que c’est l’inverse qui s’avère exact. C’est là que l’écologie doit travailler. Le reste n’est que diversion.

Il faut prendre ces 90 minutes pour regarder ce documentaire, si l’on s’intéresse aux véritables problèmes écologiques mondiaux. Et que l’on est prêt à accepter que l’écologie est autre chose que la simple communication des gouvernements, avec pour but réel le contrôle social desdites populations.

Pendant que les adeptes du Grenelle convainquent les foules de réduire leurs émissions de CO2, les êtres humains et les terres crèvent sous les coups de boutoir de l’agrochimie et du lobby des OGM qui amènent des solutions contre le réchauffement climatique. Y aurait-il comme un paradoxe étrange ? Les « écologistes » français, défenseurs du GIEC et de la politique environnementale, devraient se poser la question.

A2yun7F4a20

Oui, tout à fait, la mort des sols et la diminution de la biodiversité m'inquiète autrement plus que le réchauffement climatique dont le caractère anthropique est plus que sujet à caution.

De toute manière les énergies fossiles sont vouées à se tarir et avec elle les émissions de CO2. Et quoiqu'on fasse, nous sommes de toute manière à peu près certains que toutes les matières fossiles exploitables seront consommées, et rejetteront dans l'atmosphère le CO2 qu'elles contiennent.

Quand je vois un spitfire, grand défenseur du modèle libéral et libre échangiste, qui est le premier vecteur de pollution par la surproduction et les transport intercontinentaux, je me dis que nous avons affaire là, à un véritable tartuffe. Au moins minitax défend son modèle libéral ubristique jusqu'au bout et de manière cohérente.

L’écologie, ce n’est pas réduire sa pollution en Co2

, ce nouveau documentaire de Marie-Monique Robin, réalisatrice entre autres des films Le Monde selon Monsanto et Du Poison dans nos assiettes, est incontournable. Il pose les véritables problèmes et enjeux écologiques planétaires, qui sont ceux de l’agriculture. Il sera diffusé demain, 16 octobre 2012, sur Arte à 20 h.

Ce n’est pas « la planète » qu’il faut sauver, mais l’humanité : si l’être humain dans son ensemble ne parvient pas au XXIIe siècle, ce ne sera pas parce que des prévisions de +4 °C se révèleront exactes ou pas, mais bien parce que la crise alimentaire et agricole en cours aura atteint des sommets inconnus jusque-là.

En réalité, ce documentaire, Les Moissons du futur est une ode à l’espoir : ce voyage à travers la planète, de l’Amérique centrale au Japon, en passant par l’Amérique du Nord, l’Afrique de l’Est et l’Allemagne, démontre que des solutions écologiques, d’agro-écologie, existent et sont déjà appliquées. Ce sont ces solutions qui peuvent nous « sauver » du désastre, et elles sont agricoles.

Parce que les arbres et les plantes cultivés sont la vie, que la pollution humaine n’est pas celle des rejets de CO2 (bien qu’on trouve quelques morceaux de discours « réchauffistes » dans le documentaire, politiquement correct, français oblige) mais bien celle des pesticides et engrais chimiques qui épuisent les terres, tuent la biodiversité et condamnent les êtres humains à terme.

Dans ce documentaire, il y a de l’économie, de « l’écologie véritable, centrée sur les réalités », de la science, des analyses politiques, et des êtres humains qui démontrent que la voie tracée par l’agro-industrie depuis 60 ans n’est pas tenable et doit être abandonnée. Les affirmations totalement fausses sur l’impossibilité de cultiver sans la chimie continuent d’influencer le plus grand nombre alors que c’est l’inverse qui s’avère exact. C’est là que l’écologie doit travailler. Le reste n’est que diversion.

Il faut prendre ces 90 minutes pour regarder ce documentaire, si l’on s’intéresse aux véritables problèmes écologiques mondiaux. Et que l’on est prêt à accepter que l’écologie est autre chose que la simple communication des gouvernements, avec pour but réel le contrôle social desdites populations.

Pendant que les adeptes du Grenelle convainquent les foules de réduire leurs émissions de CO2, les êtres humains et les terres crèvent sous les coups de boutoir de l’agrochimie et du lobby des OGM qui amènent des solutions contre le réchauffement climatique. Y aurait-il comme un paradoxe étrange ? Les « écologistes » français, défenseurs du GIEC et de la politique environnementale, devraient se poser la question.

A2yun7F4a20

Oui, tout à fait, la mort des sols et la diminution de la biodiversité m'inquiète autrement plus que le réchauffement climatique dont le caractère anthropique est plus que sujet à caution.

De toute manière les énergies fossiles sont vouées à se tarir et avec elle les émissions de CO2. Et quoiqu'on fasse, nous sommes de toute manière à peu près certains que toutes les matières fossiles exploitables seront consommées, et rejetteront dans l'atmosphère le CO2 qu'elles contiennent.

Quand je vois un spitfire, grand défenseur du modèle libéral et libre échangiste, qui est le premier vecteur de pollution par la surproduction et les transport intercontinentaux, je me dis que nous avons affaire là, à un véritable tartuffe. Au moins minitax défend son modèle libéral ubristique jusqu'au bout et de manière cohérente.

Je défends le libéralisme parce qu'il permet la liberté des échanges, mais cela n'exclut pas des règles de bon fonctionnement.

Le transport aérien est libéralisé, ce qui n'empêche pas de mettre en place des règles de sécurité strictes qui ont d'ailleurs permis de diminuer de manière drastique le nombre d'accidents. Le MH 370 est un exception puisqu'aucun crash n'avait eu lieu depuis deux ans.

Les pays d’Europe occidentale qui sont libéraux ont édictés des règles d'économie d'énergie qui fonctionnent bien et qui font qu'un logement d'aujourd'hui consomme 8 fois moins qu'un logement d'il y a 50 ans à surface égale.

Je trouve un peu débile d'attendre de ne plus avoir de ressources fossiles pour commencer à s'en dégager. On a aussi le droit de raisonner à long terme.

Le libéralisme, qui s'appuie sur l'initiative individuelle, fonctionne bien comme règle de base avec trois exceptions:

- à condition qu’il y ait des règles qui combattent des excès ou évitent des catastrophes (rouler du bon côté de la route à une vitesse raisonnable

- en cas de crise ou de pénurie (d'où une légitimité à limiter l'utilisation des ressources fossiles) où les pouvoirs publics doivent veiller à ce que les ressources rares soient bien affectées.

- la création des infrastructures essentielles correspondant à des monopoles naturels (un seul réseau de transport d'électricité est plus efficace et moins cher pour tout le monde par exemple).

Au lieu de traiter les gens de "tartuffe", demandez leur d'expliquer leur position si vous ne la comprenez pas! merci! Vous remarquerez que je pose moi même des questions et que je n'insulte ni ne méprise mes interlocuteurs.

Les faits sont là, ce ne sont pas quelques aigris de la vie qui vont décrédibiliser les travaux de centaines voire de milliers de scientifiques sous prétexte que ça les fait suer de devoir payer le prix de la vérité.

le problème c est que ca fait jamais que 50a que ces 'travaux' prédisent la fin du monde, les températures, l assèchement de ci, l augmentation de ca, les iles englouties..

et ca repousse toujours de 30 ou 40a l'échéance.. afin d'avoir je pense des subventions substantielles pour continuer les travaux..

et quand tu vois les recommandations c est du niveau de la pire des BD.. des thèses excessivement discutables, des conclusions hâtivement brouillonnes..

et des oublis manifestent ( influence solaire sur la terre.. tiens donc aucun mot dis donc.. l augmentation de l activité solaire n a aucun impact sur le climat.. ah ben oui.. le soleil ca se controle pas donc.. )

faites de beaux rêves écologiques j ai mon huile de vidange à foutre dans la rivière encore.. de la 5w50.. merveilleux

Les faits sont là, ce ne sont pas quelques aigris de la vie qui vont décrédibiliser les travaux de centaines voire de milliers de scientifiques sous prétexte que ça les fait suer de devoir payer le prix de la vérité.

le problème c est que ca fait jamais que 50a que ces 'travaux' prédisent la fin du monde, les températures, l assèchement de ci, l augmentation de ca, les iles englouties..

50 ans???????

Les prévisions semblent malheureusement se confirmer avec un hausse du niveau de la mer et une fonte de la banquise!

et ca repousse toujours de 30 ou 40a l'échéance.. afin d'avoir je pense des subventions substantielles pour continuer les travaux..

Pourriez vous eretrouver des documents qui prouvent que l'échéance a été reculée. Pas tant que cela

et quand tu vois les recommandations c est du niveau de la pire des BD.. des thèses excessivement discutables, des conclusions hâtivement brouillonnes..

Quelle recommandation par exemple?

et des oublis manifestent ( influence solaire sur la terre.. tiens donc aucun mot dis donc.. l augmentation de l activité solaire n a aucun impact sur le climat.. ah ben oui.. le soleil ca se controle pas donc.. )

Il l'a pris en compte, mais plusieurs études ont montré que la corrélation entre taches solaires et forçage radiatif était faible, voire minime.

Cela a été au moins discuté dans le groupe de travail 1.

Je trouve un peu fort les gens qui arrivent en disant: arrêtez tout, j'ai l'explication évidente, sauf que les éléments scientifiques sont inexistants pour appuyer cette hypothèse qui ne reste donc qu'une hypothèse.

Le problème de réchauffement se pose de toute manière puisqu'il y a réchauffement, fonte des glaces etc... Donc cela vaut le coup qu'un réseau mondial cherche à comprendre les phénomènes et propose des mesures de précaution qui ont de plus l'avantage de limiter pollution et gaspillages.

Les faits sont là, ce ne sont pas quelques aigris de la vie qui vont décrédibiliser les travaux de centaines voire de milliers de scientifiques sous prétexte que ça les fait suer de devoir payer le prix de la vérité.

le problème c est que ca fait jamais que 50a que ces 'travaux' prédisent la fin du monde, les températures, l assèchement de ci, l augmentation de ca, les iles englouties..

et ca repousse toujours de 30 ou 40a l'échéance.. afin d'avoir je pense des subventions substantielles pour continuer les travaux..

et quand tu vois les recommandations c est du niveau de la pire des BD.. des thèses excessivement discutables, des conclusions hâtivement brouillonnes..

et des oublis manifestent ( influence solaire sur la terre.. tiens donc aucun mot dis donc.. l augmentation de l activité solaire n a aucun impact sur le climat.. ah ben oui.. le soleil ca se controle pas donc.. )

faites de beaux rêves écologiques j ai mon huile de vidange à foutre dans la rivière encore.. de la 5w50.. merveilleux

Le problème c'est que tu réagis comme tous les consuméristes qui tentent de défendre leurs positions, tu confonds fin du monde et fin d'une civilisation.

La terre s'en remettra de toutes nos conneries, ça ne fait aucun doute, mais toi et ta petite famille, pour peu que tu en ais une, elle sera anéanties ou revenue au stade de "Cromagnon", ni plus ni moins que toutes les autres petites familles.

A cet instant, si tu es encore de ce monde, tu tenteras d'expliquer aux survivants qu'au "bon vieux temps, à la belle époque" ton petit plaisir c'était de faire "chier ces cons d'écolos" sur internet en expliquant comment tous les 15 jours tu vidais ton huile de synthèse usagée dans la rivière du coin. Ça les fera certainement marrer ton histoire !

Les pays d’Europe occidentale qui sont libéraux ont édictés des règles d'économie d'énergie qui fonctionnent bien

Ce ne sont plus des libéraux si ils édictent ...

Y a-t-il eu ces 17 dernières années, un réchauffement statistiquement significatif de la température globale oui ou non ?

Un réchauffement climatique d'origine humaine qu'il existe ou pas (le "pas" c'est pour vous faire plaisir) ne se limite pas à une fenêtre de 17 années... Il est a prendre en compte depuis le début de la révolution industrielle. Autrement dit c'est à comparer entre une ligne de base d'avant 1850 (pour faire simple et selon de quand on estime qu'on a commencé à émettre beaucoup de CO2) et les mesures entre 1850 et aujourd'hui.

Une pause fut-elle de 25ans, ne change pas la donne (si ce n'est qu'elle fourni de l'eau au moulin des comiques sur fopo s'imaginant plus compétents que les experts mondiaux en la matière) : on émet des gaz à effets de serre et ceux-ci se répartissent dans divers compartiments (atmosphère, océan, nature) où ils dont diverses influences. Par moment ils vont s'accumuler plus vites dans certains compartiments que d'autres. La hausse des températures peut être stoppée, cela ne remet pas en cause la globalité du problème, à savoir l'accumulation du CO2 dans l'ensemble des compartiments.

Si d’aventure il existait un mécanisme inconnu ayant stoppé définitivement le réchauffement, ben ce serait tant mieux (encore que si c'est pour que ça s'accumule d'avantage dans les océans et provoque une acidification), mais je pense que vous criez victoire trop rapidement. La dynamique d'un système aussi complexe n'agit pas de façon régulière.

La chose certaine, c'est qu'on émet du CO2 en quantité significatives et que celui-ci s'accumule quelque part.

Pendant plus de 10.000 ans, près de 10 milliards de tonnes de CO2 auraient été libérées dans l’atmosphère… annuellement. De quoi causer un important et rapide réchauffement climatique, ce qui explique la montée en température des océans.

C'est un phénomène géologique majeur! 10 milliards de tonnes de CO2 par an. Et ça à causé une augmentation de température de 3degrés dans les océans, faire augmenter la température de l'eau c'est encore d'un autre ordre de grandeur que de faire augmenter la température de l'atmosphère. N'oublies pas que le temps de rémanence moyen du CO2 c'est environ 100ans --> après 100 ans il n'y a plus accumulation de 100% de CO2 supplémentaire, car une partie est réabsorbée et se transforme chimiquement.

L'homme relache annuellement 35 milliards de tonnes de CO2 par an. L'homme émet donc 3.5 fois plus qu'un phénomène volcanique majeur!

Il a fallu 10 milliards d'années pour causer une augmentation de +3 C°

Merci de confirmer le nonsense des alarmistes.

10 000 ans pour 10 milliards de tonnes/an pour 3 degrés dans les océans..

Apprend à lire. Je vais pas répéter ce que j'ai dit plus haut quand même, tu n'as strictement rien compris. Pourtant je ne parle pas chinois et ça me semble aisément compréhensible.

Le GIEC parle de 2-5 degrés dans l'atmosphère pour 2100. On ne compare pas les poires et les pommes.

Ici l'activité humaine émet 3.5 fois cette quantité annuellement

Je me pose donc juste la question, as-t-on une activité significative?????

Se poser la question c'est y répondre, sauf pour pas mal de personne ici visiblement.

L'effet de serre est causé à 95 % par la vapeur d'eau, les 5% restant sont divisés entre les autres Gas à Effet de Serre, dont le CO2. Dans la part de CO2, 96% est naturelle. Dans les 4% d'émissions Humaines, près de la moitié est absorbée par des processus Naturels... MALGRE l'augmentation des émissions Humaines!

Mais c'est pas vrai, tu en est toujours à comparer des pommes et des poires!!!!!!!!!

La vapeur d'eau qui est le gaz a effet de serre majeur ... fait partie du cycle de l'eau (tu me suis jusqu'ici? Je demande parce que ça c'est grave de confondre cycle de l'eau et du carbone...), c'est un cycle essentiellement dynamique et à l'équilibre qui ne fait intervenir qu'un infime partie de la masse totale des molécule d'eau sous forme de stocke piégé (la glace). En gros pour une molécule d'eau qui s'évapore, en moyenne, il y a toujours une molécule d'eau qui se condense. Le cycle du carbone c'est un cycle dynamique (respiration, combustion, photosynthèse) et théoriquement, en moyenne, comme pour le cycle de l'eau, une molécule est émise sous forme de CO2 pendant qu'une autre est enlevée. Le soucis c'est qu'ici on fait intervenir en plus un stocke figé énorme ne participant pas au cycle dynamique. C'est ce stocke qu'on brûle (d'accord ou pas??? On suit toujours???).

En résumé : eau = cycle à 99.9% dynamique avec très très peu de vapeur d'eau potentielle supplémentaire piégée sous forme de glace et participant, comme tu le dis à une grosse partie de l'effet de serre actuel (95% si tu le dis, je te crois) --> l'eau est globalement à son potentiel effet de serre maximal à la température actuelle.

le carbone = sans connaître les chiffres mais en approximation disons: 50% dynamique et 50% stockés. Autrement dit le CO2 est a 50% de son potentiel maximal effet de serre de part sa composante naturelle... Et ne participe qu'à selon toi à moins de 5% de l'effet de serre. le carbone n'est qu'à 50% de son potentiel effet de serre maximal à la température actuelle.

Le stocke on le brule et il rentre dans le processus dynamique. Il y a accumulation de CO2, là où il n'y a plus de potentiel d'accumulation de vapeur d'eau à température constante (car bien entendu si l'on augmente la température, le chic du processus et que je n'ai pas encore expliqué c'est qu'il va y avoir aussi un effet rétroactif sur la quantité de vapeur d'eau (plus chaud --> plus de vapeur d'eau), mais c'est une conséquences de la hausse de température, pas une cause).

A cette étape, ton esprit logique commence-t-il à percevoir pourquoi malgré les quantité en eau bien plus importantes, ce n'est pas cela qui joue aujourd’hui à température constante en l'instant t? L'eau ne jouera que si il y a plus de vapeurs et ça arrive seulement si il fait plus chaud. Or à température constante, le seul facteur qui s'accumule aujourd'hui et est donc en passe de bouleverser l'équilibre, c'est cette toute petite (selon toi) quantité de gaz à effet de serre émis par l'homme.

Les pays d’Europe occidentale qui sont libéraux ont édictés des règles d'économie d'énergie qui fonctionnent bien

Ce ne sont plus des libéraux si ils édictent ...

Le libéralisme a aussi besoin de règles pour bien fonctionner! Pas de trop de règles, mais de règles quand même.

Les pays d’Europe occidentale qui sont libéraux ont édictés des règles d'économie d'énergie qui fonctionnent bien

Ce ne sont plus des libéraux si ils édictent ...

Le libéralisme a aussi besoin de règles pour bien fonctionner! Pas de trop de règles, mais de règles quand même.

Evidemment sinon c'est l'anarchie..

.. à la Besancenot..

... avec son blouson de cuir noir à plus de 1 000 euros !