La politique, c'est servir la France, servir le peuple français.
La démocratie mafieuse, c'est autre chose.
Par curiosité, Quelle est pour vous, la définition de la politique ?
Alex7 la politique, c'est servir la France, servir le peuple français.
Alors en bonne logique :
Servir le régime de Kiev, à coups de milliards vidant le portefeuille des Français, c'est, non pas servir, mais saigner la France.
hubert-de-montcalm
Un peu exagéré peut être Hubert, mais si je ne peux le dire je peux le penser. 
Quand on voit les frères musulmans invités au parlement Français, faut vraiment être plus que tolérant de la part de ce gouvernement et de la gauche et cette présidente donner son accord...
Samantha2
Par mon cap
Ben oui, chère Samantha, la vision ou l'approche politique de la France, pour notre cher président, c'est un ersatz "européophile" (lol), pour employer un néologisme de circonstance !
La France, pour ce "monsieur" passe au second plan, pour pas écrire en dernière position de ses préoccupations, il vient de nouveau d'en faire la démonstration, notre agitateur agité !
Mais c'est toujours de la politique de bâton de chaise, chère à Emmanuel, désordonnée, déréglée, trop agitée, et donc dangereuse, et ce n'était pas par goût de la Bohème ...
Pour parodier un poète célèbre, je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ....
Mon paletot aussi devenait idéal, c'est du Manu dans le texte, le meilleur est toujours à venir en politique, car on est loin d'avoir tout vu, avec notre chef, pas vrai, Samantha, mais est il encore capable de nous étonner ?
Interrogativement
hub'
Une politique est pour moi une pratique de l'exercice du pouvoir sur une société ou en son sein.
On peut faire de belles théories mais une pratique est toujours moi propre.
Alex7 La politique, c'est servir la France, servir le peuple français.
Rien n'est politique alors dans ce pays que tu cites.
Ou alors c'est la politique de l'Algérie qui se sert du peuple français pour servir l'Algérie qui est appliquée depuis tout ce temps
cheshire-cat voilà.
Les affaires de la cité
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hubert-de-montcalm
Addendum
Ben alors, vous me snobez, Samantha ?
Les politiques énonciatives m'ont appris à me méfier du silence, et à toujours, chercher à le rompre, ce que je fais à présent, mais quand il ne se confond pas avec l’absence, le silence, peut parfois constituer une puissante stratégie de résistance, d’une manière de se rendre inaudible à une manière de faire résonner autrement le silence qui nous constitue désormais ce présent, le bruit du silence, en résumé !
Et en résumé aussi, j'eusse aimé connaître votre définition de la politique, ne vous en déplaise, par curiosité perso, chère Samantha !
Amicalement
hub'
Du grec ancien kako (« mal, mauvais ») kratos (« pouvoir »). Cacocratie
Ensuite pour être toujours réélus ils utilisent la propagande.
Quelquefois le peuple arrête d'être con et ça se termine souvent mal
Ensuite cela s'améliore jusqu'au prochain cycle
hubert-de-montcalm vous me snobez, Samantha ?
Les politiques énonciatives m'ont appris à me méfier du silence, et à toujours, chercher à le rompre, ce que je fais à présent, mais quand il ne se confond pas avec l’absence, le silence, peut parfois constituer une puissante stratégie de résistance, d’une manière de se rendre inaudible à une manière de faire résonner autrement le silence qui nous constitue désormais ce présent, le bruit du silence, en résumé !
Mais c'est terrible, Hubert, quelle imagination extrapolative !
Pourquoi vous bouderais-je ? tout simplement samedi et parfois aussi dimanche, j'ai l'habitude de ne pas forumer, ou très peu. Car d'aucuns pourraient penser que j'accapare trop ces fora...
Ma définition de la politique ?
C'est la bonne gestion de la Chose publique (Res publica) au service des intérêts supérieurs du pays, faisant donc taire les tiraillements catégoriels, toujours centrifuges et cherchant à tirer à eux seuls la couverture.
Un bon politicien se reconnait au nombre de micros et de tamtams à son service.
Un très bon politicien se reconnait au nombre d'auditeurs du son du tamtam qui sort des micros.
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Addenda.
Voilà ce qui distingue le vrai homme d'État __ toujours au service de la Patrie __, du petit politicien de basse-cour toujours au service de son misérable parti ou de son petit carnet de clientèle.
tousgauchistesdepuis1974 Votre dessin illustre plutôt l'antipolitique.
C'est-à-dire l'art vicieux de mal gérer la Chose publique, autrement dit, l'art pervers de nuire à l'intérêt commun..
Samantha2 l'art vicieux de mal gérer la Chose publique, autrement dit, l'art pervers de nuire à l'intérêt commun..
Donc aucun rapport en cette bonne définition de Macron que tu viens de donner et la politique ?
Samantha2
Saperlipopette
Point de reproche, donc, élégante Samantha, après "coup", et pardon de vous avoir titillé !
Alors, la politique, tiens, en mode relooké et macronisé, en cherchant un peu.....
Pour lui, le mot "progressisme", prononcé dès la formation d'En marche, reste aujourd'hui le concept sous lequel il se situe, un concept fourre-tout peut-on penser, mais tout à fait dans le style du bonhomme !
Le macronisme (lol) a succédé au socialisme, au communisme, au libéralisme, au féminisme, etc, et avec une saprée réussite, ne lui reste plus qu'à conquérir l'Europe, après la chute de Poutine (lol) !
Pour y arriver, Emmanuel Macron va faire appel à ce qu'il appelle aussi les "hommes de bonne volonté" (selon le titre d'une célèbre série romanesque transmise probablement par sa grand-mère institutrice), il se place sur un plan psychosociologique, c'est son domaine de prédilection, au-dessus de la mêlée grotesque des manants et autres gaulois réfractaires qu'il méprise !
À la France dépressive qui ne croit plus en son talent ni à celui de son chef (quel mépris), le progressisme parle soudain et à rebours de la victimisation et des ressentiments, Macron est dans son élément !
Et en prime, si tu veux la paix, prépare la guerre, c'est son crédo politique (toujours) celui de la terre brûlée !
Au secours, il est devenu fou !
Dangereusement
hub'
Si.
Car tout ce qu'il fait correspond à l'art vicieux de mal gérer la Chose publique, c'est-à-dire l'art pervers de nuire à l'intérêt commun.
C'est la caractéristique du fléau qui nous est infligé à l'Élysée.
hubert-de-montcalm Le macronisme (lol) a succédé au socialisme,
Sans tourner autour du pot, Hubert, on a affaire en fait à un socialiste qui cache avec malice son étiquette.
En un mot : un gauchiste.
Et son fieffé "ni gauche ni droite" et son insolent "en même temps" ne sont que poudre aux yeux pour encore mieux dauber et mener en bateau les veaux et les bulots.
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Il y a un topic sur Macron.
J'y dis que c'est un poisson-pilote du 4ème Reich : axe Stockholm/Francfort/Rome sur lequel il s'efforce de brillantiner dans l'espoir d'être coopté. Ça risque pas d'arriver.
Sur le présent fil, je préfère m'appuyer sur l'étymologie pour affirmer que la politique est l'art et la manière de faire tenir des masses dans des clapiers. C'est pas très élevé.