Max12
Morbleu
C'est une évidence, et c'est pas bien difficile à piger, sauf pour certains "coincés du bulbe" (sans viser personne)
Tout dépendra de la posture du RN, et des arrangements passés en coulisse avec notre grand chef !
Et n'oublions pas l'essentiel, un point rappelé à juste titre par l'un des membres de ce forum : "Le Président de la République nomme le Premier ministre. Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement" (sic)
Et ton avis n'est pas humble, mon cher max, il est bienvenu, encore faut il le prononcer, affaire de personnalité !
Finalement
hub'

    hubert La Petite histoire prétend que De Gaulle prenait soin de faire signer une lettre de démission non datée aux Premiers ministres qu'il nommait.

      candidus
      Fichtre
      J'ignorais ce "détail", mon cher, mais ce n'est point pour me surprendre !
      Mais pour en revenir au présent, l'approche de Macron est bien différente, même si, selon certains, il a laissé les coudées franches à Barnier, ça lui ressemble tout à fait ! (ptdr)
      Evidemment
      hub'

      Ce Retailleau, rien qu'à son physique, ne me paraît pas être de taille à dominer l'Invasion et à la domestiquer.

      Et puis la question se pose : à quel râtelier a-t-il donc mangé toutes ces dernières décennies perdues pour prétendre aujourd'hui disposer d'une "page blanche" juste faite pour lui ?
      Quel que soit son parti d'hier et de naguère, lui et son parti ne sont-ils pas trempés jusqu'aux oreilles dans la responsabilité du Désastre en cours ?

      Qui est issu d'une maison de verre ne peut prétendre lancer de cailloux efficaces. Bref, il me semble que le personnage sera synonyme de "Beaucoup de bruit pour rien". Au stade où c'en est, rien ne peut plus inverser le Désastre en marche accélérée.

        Fichtre
        Retailleau n'a rien à voir avec l'invasion, si du moins, le terme "invasion" est adapté à la situation, hein, samantha !
        C'est l'Europe de schengen qui est chargée de domestiquer, ou de contrôler, voire juguler (ptdr) la poussée immigrationniste, avec les bons résultats obtenus que l'on connait (lol) !
        Cela dit, Retailleau va avoir au moins le mérite d'essayer d'inverser la lourde tendance, mais sans en avoir les moyens, avec, en prime un Migaud, son ennemi intime, que notre grand chef lui a foutu dans les pattes pour rendre son job inopérant !
        Vous vous plantez de cible, en l'occurrence, à croire que vous le fassiez exprès, d'une certaine manière, un humour de circonstance, lequel fonctionne, la preuve !
        Evidemment
        hub'

          Samantha2 Retailleau est un Poitevin et même un Bas-poitevin.
          À ce titre il bénéficie d'une forte présomption positive quant au nécessaire combat contre les wokes parisianistes et les néo-robespierristes.
          Migaud et les Attaliens ont intérêt à bien se tenir, c'est à dire douillettement au chaud.

          hubert

          hubert , si du moins, le terme "invasion" est adapté à la situation, hein
          Une invasion est un arrivée importante en nombre de personnes hostiles.
          Les nombreuses agressions, les attentats, !es nombreuses attaques au couteau, les émeutes auxquels ont participé majoritairement des jeunes issus de l'immigration, donnent à penser que l'immigration subie est aussi une invasion.

            Samantha2 à quel râtelier a-t-il donc mangé toutes ces dernières décennies perdues pour prétendre aujourd'hui disposer d'une "page blanche" juste faite pour lui ?
            Quel que soit son parti d'hier et de naguère, lui et son parti ne sont-ils pas trempés jusqu'aux oreilles dans la responsabilité du Désastre en cours ?

            Tout à fait Retailleau n'est là que pour une donner une illusion de "droite" comme LR depuis Chirac la dite "droite" par ailleurs très modérée pour nourrir la propagande et ses boeufs rouges.

            A part pour la propagande et ceux qui la suivent et se dilatent pour occuper le maximum de place dans le champ visuel et auditif ... pour les autres, ce gouvernement de Barnier est bien un ramassis d'islamogauchistes comme les précédents

              lugrin
              Fichtre
              C'est un mix des deux, mon cher !
              L'invasion est l'entrée hostile de forces armées dans un autre pays, là, en dehors de couteaux, l'arme favorite des p'tits gars, pas de grosse artillerie, en dehors de quelques "canons de beauté" (lol) !
              Mais bon, on espère que Retailleau va être à la hauteur du poste !
              Optimistement
              hub'

                hubert

                hubert on espère que Retailleau va être à la hauteur du poste !
                Je viens d'entendre Retailleau dire que l'"immigration n'est pas une chance pour la France"
                Enfin un homme politique important qui ose dire ce qu'une majorité de français pensent
                On peut dire enfin après plusieurs décennies de déni.

                • [supprimé]

                Il y a au sein de Renaissance, d'Horizons, de LR une forte mouvance opposée à toute hausse d'impôts. Tant mieux, mais cela annonce une grosse bataille à l'AN.

                  hubert

                  hubert L'invasion est l'entrée hostile de forces armées dans un autre pays,
                  il est clair que nous ne sommes pas dans ce cas, mais l'hostilité de nombreux migrants comme les tchétchènes qui ont tué MM Paty et Bernard, ou l'hostilité de très nombreux jeunes issus de l'immigration vis à vis de la France qu'ils détestent , comme le montre les attaques des batiments publics lors des dernière émeutes, indiquent par le nombre de personnes hostiles de l'immigration ou générées par l'immigration que cette immigration est aussi une invasion.

                    [supprimé]
                    Hausse d' impôts les concernant quand il s' agit de taxer les " gens d'en bas" ça passe mieux.

                    lugrin
                    Diantre
                    Pardonnez mon étonnement, mon cher, mais il me semble qu'une erreur de manip' de votre part, ait pour fâcheuse conséquence un mélange des genres, de nature à perturber la bonne compréhension des choses !
                    Pour répondre à la question, c'est vrai que l'on ne doit pas faire d'amalgames, mais admettre qu'une partie de nos hôtes (les indésirables par destination) n'est pas la bienvenue !
                    Il appartient à nos instances de prendre des mesures en adéquation avec ce phénomène, force est de constater que ce n'est pas le cas, et pour en revenir au sujet, il appartiendra au nouveau gouvernement de prendre les mesures ad'hoc, s'il dispose de la majorité requise, dans le cadre d'une éventuelle loi, non retoquée, il va de soi !
                    Evidemment
                    hub'

                    • [supprimé]

                    [supprimé] Et la solidarité dans tout ça ? Faire payer les plus riches est normal, et même salutaire. Surtout à titre exceptionnel.

                    Je parle des vraiment riches, pas des parvenus.

                    En revanche, il faudrait que tous ces ministres et autres gouvernants qui ont échoué dans leurs missions puissent rendre des comptes, car c'est trop facile de faire payer aux Français les erreurs qu'ils ont commises en ne prenant pas à temps les bonnes mesures, pour X raisons, souvent électorales, et parfois par lâcheté devant les colères de la rue.

                      [supprimé]
                      Diantre
                      Tout à fait OK, sans oublier un critère évident, à savoir l'incompétence !
                      Responsable mais pas coupable (air connu et ressassé)
                      Premièrement
                      hub'

                      Fichtre
                      Juste un copié-collé pour ceux qui doutent de l'emprise de la macronie sur ce cher Barnier !
                      Ce n'est qu'un petit morceau du folklore qui entoure ce drôle d'épisode .....
                      'Dans son accord de départ avec Emmanuel Macron figuraient deux points : une vraie liberté pour le choix des ministres ; un soutien des partis qui appartenaient à l’ancienne majorité.
                      Or plus les jours passaient, plus ce soutien devenait conditionnel. Notamment de la part de deux personnes. Son prédécesseur, Gabriel Attal, aujourd’hui président des députés EPR, n’en faisait qu’à sa guise. "Ça a été un peu compliqué avec lui", constate un ami du Savoyard qui a le sens de la litote. Le désormais ex-ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, vient, comme le chef du gouvernement, de la droite. Ils avaient tout pour s’entendre, sauf que politique rime rarement avec logique.
                      Les proches de Michel Barnier le présentent comme "un animal à sang froid" : "En cinquante ans de carrière, il ne s’est pas fait un ennemi !" Le moment est-il arrivé de s’en faire un, et même deux ? Il y a ce qui s’est vu. Une passation de pouvoirs n’est pas le lieu le plus discret pour un règlement de comptes. Et il y a tout le reste. Dès le lendemain, loin des caméras, Michel Barnier retrouve Gabriel Attal. Ils ne sont toujours pas sur la même longueur d’onde. Le premier n’a aucune envie de se lier les mains, le second veut avoir le bras long. Forcément, ça se passe mal. On parle composition du gouvernement. Gabriel Attal pousse Gérald Darmanin pour le portefeuille de ministre de la Défense, Michel Barnier sait déjà qu’il ne veut plus de lui au gouvernement - il mettra huit jours à le recevoir pour ne rien lui proposer. Lucide sur son sort, Gérald Darmanin éventera une discussion avec le chef du gouvernement sur une hausse des impôts. Un cadeau de bienvenue!
                      Les Armées, c’est à Bernard Cazeneuve que Michel Barnier entend les proposer. La discussion tourne court. Qu’Attal évoque d’autres noms et l'hôte de Matignon l’interrompt : "Je t’arrête, on n’est pas sous la IVe République." Attal : "On n’est plus sous la Ve non plus." Entre les deux, une vraie divergence institutionnelle. Un jour de septembre, Agnès Pannier-Runacher sort du bureau de Michel Barnier. Ce dernier, furieux, appelle Gabriel Attal. "Elle m’a dit qu’elle voulait d’abord demander l’autorisation du groupe avant d’accepter d’entrer au gouvernement, c’est très grave." "C’est normal", répond Attal. Qui se demande si son successeur a compris que la majorité absolue, synonyme d’exécutif tout puissant, était morte.
                      Le Savoyard compte exercer ses fonctions de Premier ministre en toute indépendance, malgré l’émiettement de l’Assemblée nationale. Que le député Attal reste à sa place, et tout ira bien ! On n’entre pas à Matignon à 73 ans pour se faire titiller par un jeune homme de 35 ans. Surtout quand on a une certaine estime de soi, et Michel Barnier n’en manque pas. Gabriel Attal et Laurent Wauquiez ont épinglé dans leurs échanges ce drôle de chef de gouvernement, confondant autorité et autoritarisme suranné. On nous vendait le négociateur du Brexit, capable de ramener à la raison le fantasque Boris Johnson ? Voilà le maître d’école, raide comme un piquet.
                      Gérald Darmanin, de son côté, observe que Michel Barnier lui fait le coup du mépris. Aucun coup de fil après sa sortie sur les impôts. Ni pour l’enguirlander, ni pour l’inviter à venir en discuter autour d’un whisky. De coup de fil il n’en a jamais reçu, même pour lui signifier qu’il n’était plus ministre. Michel Barnier ne l’a pas rappelé, pas plus qu’il n’a répondu à venir à sa réunion de Tourcoing. Il n’aurait pas été déçu du voyage…
                      La méthode les oppose tout autant. Gabriel Attal s’étonne du mystère entourant le discours de politique générale, feuille de route du nouveau gouvernement. Le Premier ministre consulte, écoute, mais ne laisse rien percer de ses intentions précises. "Qui gérera le dossier corse, Bruno Retailleau ou Catherine Vautrin ?", demande Gabriel Attal à Michel Barnier au cours d’un échange avec d’autres présidents de groupe de la coalition ? Il attend encore la réponse. Nouvelle divergence institutionnelle. Michel Barnier souhaite garder la main. L’élu des Hauts-de-Seine, à la tête du plus grand groupe de la coalition, veut peser. Le 26 septembre, à la veille d’un séminaire gouvernemental, Attal tient comme un conseil des ministres clandestin, avec les membres du gouvernement adhérents de Renaissance. (sic)
                      On pourrait continuer, mais bon, point trop n'en faut, pour les ceusses qui auraient ou avaient des doutes sur les limites du système Barnier (fin de sic)
                      Une incursion dans une sympathique atmosphère, quoi !
                      Finalement
                      hub'

                        hubert Retailleau n'a rien à voir avec l'invasion, si du moins, le terme "invasion" est adapté à la situation

                        Et puis , il me fait bien rire suavement avec sa prétention à faire un soi-disant "référendum" chose aujourd'hui, maintenant que le "plein" irréversible est fait par naturalisations. Alors qu'il eût fallu le faire il y a au moins trente ans.
                        Se moque-t-il aujourd'hui du monde, avec ce hochet surréaliste de "référendum", juste destiné aux dindons de souche de la farce ?

                        "Référendum", "référendum"... Tous les gauchistes, socialistes, anarchistes, fascistes "antifa" y feront chorus avec les "français" de papier pour dire : "Oui, encore plus d'invasion". Et si le non l'emportait par impossible, là ce sera alors le déclenchement du cataclysme dans les rues et la boîte de Pandore.

                        Assez de sornettes et de poudre aux yeux !
                        Partout, on fait un référendum avant l'irréversible fait accompli. Après, c'est se moquer du monde.

                        J'aimerais bien qu'on injecte 20 millions de Russes ou de Polonais en Algérie, pour voir comment les Barbaresques prendront cela.

                          hubert
                          Et à mon avis il n'a pas fallu grand chose pour cornaquer le docile Barnier.