[supprimé]
Il y a au sein de Renaissance, d'Horizons, de LR une forte mouvance opposée à toute hausse d'impôts. Tant mieux, mais cela annonce une grosse bataille à l'AN.
Il y a au sein de Renaissance, d'Horizons, de LR une forte mouvance opposée à toute hausse d'impôts. Tant mieux, mais cela annonce une grosse bataille à l'AN.
hubert L'invasion est l'entrée hostile de forces armées dans un autre pays,
il est clair que nous ne sommes pas dans ce cas, mais l'hostilité de nombreux migrants comme les tchétchènes qui ont tué MM Paty et Bernard, ou l'hostilité de très nombreux jeunes issus de l'immigration vis à vis de la France qu'ils détestent , comme le montre les attaques des batiments publics lors des dernière émeutes, indiquent par le nombre de personnes hostiles de l'immigration ou générées par l'immigration que cette immigration est aussi une invasion.
[supprimé]
Hausse d' impôts les concernant quand il s' agit de taxer les " gens d'en bas" ça passe mieux.
lugrin
Diantre
Pardonnez mon étonnement, mon cher, mais il me semble qu'une erreur de manip' de votre part, ait pour fâcheuse conséquence un mélange des genres, de nature à perturber la bonne compréhension des choses !
Pour répondre à la question, c'est vrai que l'on ne doit pas faire d'amalgames, mais admettre qu'une partie de nos hôtes (les indésirables par destination) n'est pas la bienvenue !
Il appartient à nos instances de prendre des mesures en adéquation avec ce phénomène, force est de constater que ce n'est pas le cas, et pour en revenir au sujet, il appartiendra au nouveau gouvernement de prendre les mesures ad'hoc, s'il dispose de la majorité requise, dans le cadre d'une éventuelle loi, non retoquée, il va de soi !
Evidemment
hub'
[supprimé] Et la solidarité dans tout ça ? Faire payer les plus riches est normal, et même salutaire. Surtout à titre exceptionnel.
Je parle des vraiment riches, pas des parvenus.
En revanche, il faudrait que tous ces ministres et autres gouvernants qui ont échoué dans leurs missions puissent rendre des comptes, car c'est trop facile de faire payer aux Français les erreurs qu'ils ont commises en ne prenant pas à temps les bonnes mesures, pour X raisons, souvent électorales, et parfois par lâcheté devant les colères de la rue.
[supprimé]
Diantre
Tout à fait OK, sans oublier un critère évident, à savoir l'incompétence !
Responsable mais pas coupable (air connu et ressassé)
Premièrement
hub'
[supprimé]
Responsable mais pas coupable.
Et ça fait la loi.
Fichtre
Juste un copié-collé pour ceux qui doutent de l'emprise de la macronie sur ce cher Barnier !
Ce n'est qu'un petit morceau du folklore qui entoure ce drôle d'épisode .....
'Dans son accord de départ avec Emmanuel Macron figuraient deux points : une vraie liberté pour le choix des ministres ; un soutien des partis qui appartenaient à l’ancienne majorité.
Or plus les jours passaient, plus ce soutien devenait conditionnel. Notamment de la part de deux personnes. Son prédécesseur, Gabriel Attal, aujourd’hui président des députés EPR, n’en faisait qu’à sa guise. "Ça a été un peu compliqué avec lui", constate un ami du Savoyard qui a le sens de la litote. Le désormais ex-ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, vient, comme le chef du gouvernement, de la droite. Ils avaient tout pour s’entendre, sauf que politique rime rarement avec logique.
Les proches de Michel Barnier le présentent comme "un animal à sang froid" : "En cinquante ans de carrière, il ne s’est pas fait un ennemi !" Le moment est-il arrivé de s’en faire un, et même deux ? Il y a ce qui s’est vu. Une passation de pouvoirs n’est pas le lieu le plus discret pour un règlement de comptes. Et il y a tout le reste. Dès le lendemain, loin des caméras, Michel Barnier retrouve Gabriel Attal. Ils ne sont toujours pas sur la même longueur d’onde. Le premier n’a aucune envie de se lier les mains, le second veut avoir le bras long. Forcément, ça se passe mal. On parle composition du gouvernement. Gabriel Attal pousse Gérald Darmanin pour le portefeuille de ministre de la Défense, Michel Barnier sait déjà qu’il ne veut plus de lui au gouvernement - il mettra huit jours à le recevoir pour ne rien lui proposer. Lucide sur son sort, Gérald Darmanin éventera une discussion avec le chef du gouvernement sur une hausse des impôts. Un cadeau de bienvenue!
Les Armées, c’est à Bernard Cazeneuve que Michel Barnier entend les proposer. La discussion tourne court. Qu’Attal évoque d’autres noms et l'hôte de Matignon l’interrompt : "Je t’arrête, on n’est pas sous la IVe République." Attal : "On n’est plus sous la Ve non plus." Entre les deux, une vraie divergence institutionnelle. Un jour de septembre, Agnès Pannier-Runacher sort du bureau de Michel Barnier. Ce dernier, furieux, appelle Gabriel Attal. "Elle m’a dit qu’elle voulait d’abord demander l’autorisation du groupe avant d’accepter d’entrer au gouvernement, c’est très grave." "C’est normal", répond Attal. Qui se demande si son successeur a compris que la majorité absolue, synonyme d’exécutif tout puissant, était morte.
Le Savoyard compte exercer ses fonctions de Premier ministre en toute indépendance, malgré l’émiettement de l’Assemblée nationale. Que le député Attal reste à sa place, et tout ira bien ! On n’entre pas à Matignon à 73 ans pour se faire titiller par un jeune homme de 35 ans. Surtout quand on a une certaine estime de soi, et Michel Barnier n’en manque pas. Gabriel Attal et Laurent Wauquiez ont épinglé dans leurs échanges ce drôle de chef de gouvernement, confondant autorité et autoritarisme suranné. On nous vendait le négociateur du Brexit, capable de ramener à la raison le fantasque Boris Johnson ? Voilà le maître d’école, raide comme un piquet.
Gérald Darmanin, de son côté, observe que Michel Barnier lui fait le coup du mépris. Aucun coup de fil après sa sortie sur les impôts. Ni pour l’enguirlander, ni pour l’inviter à venir en discuter autour d’un whisky. De coup de fil il n’en a jamais reçu, même pour lui signifier qu’il n’était plus ministre. Michel Barnier ne l’a pas rappelé, pas plus qu’il n’a répondu à venir à sa réunion de Tourcoing. Il n’aurait pas été déçu du voyage…
La méthode les oppose tout autant. Gabriel Attal s’étonne du mystère entourant le discours de politique générale, feuille de route du nouveau gouvernement. Le Premier ministre consulte, écoute, mais ne laisse rien percer de ses intentions précises. "Qui gérera le dossier corse, Bruno Retailleau ou Catherine Vautrin ?", demande Gabriel Attal à Michel Barnier au cours d’un échange avec d’autres présidents de groupe de la coalition ? Il attend encore la réponse. Nouvelle divergence institutionnelle. Michel Barnier souhaite garder la main. L’élu des Hauts-de-Seine, à la tête du plus grand groupe de la coalition, veut peser. Le 26 septembre, à la veille d’un séminaire gouvernemental, Attal tient comme un conseil des ministres clandestin, avec les membres du gouvernement adhérents de Renaissance. (sic)
On pourrait continuer, mais bon, point trop n'en faut, pour les ceusses qui auraient ou avaient des doutes sur les limites du système Barnier (fin de sic)
Une incursion dans une sympathique atmosphère, quoi !
Finalement
hub'
hubert Retailleau n'a rien à voir avec l'invasion, si du moins, le terme "invasion" est adapté à la situation
Et puis , il me fait bien rire suavement avec sa prétention à faire un soi-disant "référendum" chose aujourd'hui, maintenant que le "plein" irréversible est fait par naturalisations. Alors qu'il eût fallu le faire il y a au moins trente ans.
Se moque-t-il aujourd'hui du monde, avec ce hochet surréaliste de "référendum", juste destiné aux dindons de souche de la farce ?
"Référendum", "référendum"... Tous les gauchistes, socialistes, anarchistes, fascistes "antifa" y feront chorus avec les "français" de papier pour dire : "Oui, encore plus d'invasion". Et si le non l'emportait par impossible, là ce sera alors le déclenchement du cataclysme dans les rues et la boîte de Pandore.
Assez de sornettes et de poudre aux yeux !
Partout, on fait un référendum avant l'irréversible fait accompli. Après, c'est se moquer du monde.
J'aimerais bien qu'on injecte 20 millions de Russes ou de Polonais en Algérie, pour voir comment les Barbaresques prendront cela.
unechansondouce Tout à fait Retailleau n'est là que pour une donner une illusion de "droite" comme LR depuis Chirac la dite "droite" par ailleurs très modérée pour nourrir la propagande et ses boeufs rouges.
Voilà. Tout est dit. Merci.
Droite et gauche ont collaboré au Désastre en cours. Aujourd'hui, pour qui est lucide et sait voir, la bataille est perdue.
L'invasion est installée et se multipliera sans fin. Quand bien même on en couperait chimériquement le robinet.
La démographie endogène se suffit à elle-même tandis que, dans la "Nef des Fous" en face, on faisait une loi "mariant" une femme avec une femme et un homme avec un homme, et qu'en même temps on avorte, depuis 50 ans, 250 000 petites têtes blondes par an. Faites le compte. L'affaire est terminée.
Un Boumedienne l'avait joyeusement annoncé aux veaux et aux bulots :
"Nous vous conquerrons et aurons la victoire par le ventre de nos femmes." C'est en cours de finalisation.
[supprimé] Faire payer les plus riches est normal, et même salutaire.
Faire payer quoi ? La gabegie que le Gouvernement voudrait poursuivre et amplifier ?
@"Jean-de-Meung Surtout à titre exceptionnel.
Au moins kopeck d'impôt en plus ou même seulement transféré : censurez ! Censurez !
[supprimé] Faire payer les plus riches est normal, et même salutaire. Surtout à titre exceptionnel.
Pourquoi pas? Une légère hausse du ou des taux des tranches d'imposition les plus élevées, à titre exceptionnel (c'est-à-dire strictement limitée à un an dans la loi-budget), ne serait pas mortelle pour les "bénéficiaires" et serait, en outre, un (petit) geste dans le sens de la justice fiscale, "non-écartée" par Barnier.
Je reviens aussi sur mon dada: une petite taxe sur les rachats d'actions par les actionnaires; cela ne ferait mal à personne, pourrait d'ailleurs être facilement évité en s'abstenant, en tout ou en partie, de procéder à un tel rachat.
Dans ce dernier cas, la taxe en question n'aurait pas, ou moins, d'objet et ne rapporterait pas grand'chose à l'Etat.
Mais ce serait une taxe dissuasive et la récolte de fonds n'est pas le seul but d'une telle taxe: les fonds laissés alors dans l'entreprise permettront plus d'investissements, c-à-d plus de bénéfice à terme pour l'entreprise et donc aussi pour l'Etat.
[supprimé] En revanche, il faudrait que tous ces ministres et autres gouvernants qui ont échoué dans leurs missions puissent rendre des comptes, car c'est trop facile de faire payer aux Français les erreurs qu'ils ont commises en ne prenant pas à temps les bonnes mesures, pour X raisons, souvent électorales, et parfois par lâcheté devant les colères de la rue.
C'est un beau rêve, mais ce n'est pratiqué nulle part. Au moins les électeurs attentifs et les partis politiques pourraient-ils écarter les responsables qui se sont montrés particulièrement incompétents et/ou inefficaces.
Vaste programme certes...ça fait du monde...
Bigre
Pas de panique chez Barnier, et pourquoi donc serait il paniqué, ce vieux briscard ?
Parce qu'il ne risque rien, enfin, pas grand chose, dans le bourbier où il a accepté de s'enliser, et dont de surcroit, il ne porte aucune responsabilité !
On aura droit à quelques annonces de circonstance, certains attendaient un rétablissement de l'ISF, mais Macron veille au grain, pour le reste, on aura doit à de la roupie de sansonnet, pour calmer un minimum, les excités habituels !
Donc, wait and see, et sans surprise
Forcément
hub'
Samantha2
Effectivement sauf modifications drastiques des lois sur l'immigration, les français autochtones seront à terme minoritaires dans leur pays.
A terme soit probablement avant la fin de l'actuel siècle, ces français pourraient alors considérer avoir été trahi par leurs dirigeants.