candidus Il y a trop de fonctionnaires productifs pas assez productifs du fait des contraintes qu'on met à l'exercice de leur mission.
Exemple typique des policiers qui n'ont pas le droit de tirer.
Les policiers ont presque toujours à faire aux mêmes délinquants sans cesse relâchés dans la nature.
On pourrait avoir 1 million de policiers, sans places de prison suffisantes, ni peine de mort pour les vider, ils ne servent pratiquement à rien.
En legalisant la vente de cannabis et en le taxant à 500%, non seulement on augmenterait les recettes fiscales, mais en plus on diminuerait les tâches policières.
La France est le 1er pays européen consommateur de cannabis....alors qu,elle l interdit
Kruiss38 Aucun pays ne donne un tel avantage aux fonctionnaires.
Tu as loupé tous les concours que tu as passés ?
candidus Vous pouvez en discuter ; mes propositions sont concrètes,
Ah bon.
Que fait-on des élèves perturbateurs, et en corollaire, que fait-on de leurs familles ? Question subsidiaire : à quel âge considère-t-on qu'un élève devient perturbateur ?
Moins de policiers sur le terrain à une époque où les prisons sont pleines et où les réseaux recrutent... Quand tu parles d'une police à craindre, tu parles d'une police qui tire dans le tas ? Qui met en tôle ? C'est quoi une police qu'on craint ?
[supprimé] C'est quoi une police qu'on craint ?
À définir ensemble si vous voulez. Mais tirer dans les fuyards paraît le minimum syndical.
[supprimé] Que fait-on des élèves perturbateurs, et en corollaire, que fait-on de leurs familles ?
Rien, pourquoi ? Tant que la scolarité est obligatoire, faudra bien que les parents se décarcassent mais c'est pas le boulot de l'État.
Bonjour;
Les Français savent baisser les dépenses qui montent. Pendant des décennies baisser les dépenses c'était essayer de réduire les augmentations .
Cordialement.
candidus
La police que je crains c'est la police qui craint. Celle dont-on a peur qu'elle ne soit plus capable de nous protéger, parce que des lois libertaires l'auront trop affaiblie, parce qu'elle sera en sous effectif lorsqu'il y aura une vraie crise des vocations à cause du précédent problème cité et qui l'affaiblira toujours un peu plus.
candidus Et tu crois que les parents des élèves perturbateurs sont capables de faire l'école à la maison ?
Ne rien faire n'est pas une réponse. Si tu donnes une solution que tu prétends concrète, au-delà de la déclaration ou de la posture, tu dois pouvoir étayer.
Tu n'étayes pas.
[supprimé] Kruiss38 Aucun pays ne donne un tel avantage aux fonctionnaires.
Tu as loupé tous les concours que tu as passés ?
Une insulte ne vaut pas un argument, même un tout petit.
D'où ma question : en dehors de la France, quel autre pays calcule la pension de retraite des fonctionnaires uniquement sur la base des 6 derniers mois de travail ?
Tu as dû rater pas mal de concours, et sur cette question tu as déjà perdu.. La France est unique.
[supprimé] J'étaye parfaitement.
L'obligation scolaire ne porte pas sur l'État mais sur les parents.
S'il apparaît qu'ils sont indignes c'est le procureur qui avisera.
Non mais c'est incroyable cette façon socialiste d'inverser les responsabilités.
Just Je ne suis pas sûr que cela viderait les prisons de rétablir la peine de mort, à moins de l'appliquer au sens large.
Le coût annuel de la prison est estimé à 32 000 € /an par détenu en moyenne. Ainsi, chaque détenu qui prend perpette peut couter environ 1,6 million d’€ à la société.
Le coût de construction d’une cellule de prison en France varie généralement entre 150 000 et 190 000 euros
A moins de construire des prisons low cost, par exemple des pseudos cages… Je suis sûr qu’on aurait moins de récidives.
Ou bien rétablir la guillotine, au moins en miniature pour les zigounettes, ou utiliser la castration chimique, ce qui pourrait être une solution extrèmement efficace, méritée, et très peu couteuse pour calmer l'agressivité des caïds et autres violeurs multi récidivistes. Tout en bloquant leur reproduction...
Il était idiot de supprimer la taxe d'habitation, c'était un impôt large qui touchait toute la population donc rentable et nécessaire pour les communes. S'attaquer à l'immobilier, aux propriétaires, et au secteur du batiment en général, en concentrant un maximum de taxes sur ce secteur, était une parfaite idiotie du mozart ou plutôt tocard de la finance.
Faire construire aujourd'hui c'est prendre un risque.. dans un secteur qui concentre le maximum de faillites.
https://www.batiweb.com/actualites/vie-des-societes/le-construction-face-a-une-hausse-historique-des-defaillances-d-entreprises-en-2023-43582
C'est exact, mais toujours est-il que les pensions des fonctionnaires à la retraite sont en moyenne plus élevées de 21% par rapport au privé.
Si on compare la retraite des agents de la fonction publique territoriale et hospitalière, celle ci dispense d'un montant de pension de 1 322 euros par mois en moyenne, quand dans le privé la pension est de 681 euros auxquels s'ajoute la retraite complémentaire Agirc-Arrco de 479 euros, soit un total de 1 160 euros.
Dans le privé, on peut être plus facilement enclin à travailler au delà de l'âge légal pour réduire la décote.
candidus Il y a trop de fonctionnaires productifs pas assez productifs du fait des contraintes qu'on met à l'exercice de leur mission.
Or quand on souhaite s'adresser à une quelconque administration, il faut désormais passer par internet, (à commencer par les impôts), ou bien se heurter sans succès à des robots téléphoniques (callbots ou voicebots).
Tant de postes semblent avoir été supprimés, et bien non... ils n'ont pas été remplacés par l'IA puisqu'ils sont toujours de plus en plus nombreux sous Macron.
De 100 000 postes qui devaient être supprimés, 178 000 fonctionnaires ont été embauchés par le Mozart du quoi qu'il en coûte, pour atteindre 5.7 millions.
Tandis que Fillon voulait supprimer 500 000 fonctionnaires en 5 ans pour éviter la faillite.
En les faisant travailler 39 heures, comme en Espagne et au Portugal, pays qui se portent mieux que nous aujourd'hui.
candidus Toujours rien de concert, de la posture et le sempiternel blabla sans consistance ; il y a qu'à...
Bref, dispensable, comme d'hab.
