La question n'est pas de se faire des amis, ce n'est pas l'endroit.
Mon-gros-doigt Ce n'est pas qu'une envie de se casser, bien au contraire, j'y travaille, pour me préparer à mon monde d'après en levant bien le pieds, tout en cherchant à me faire taxer le moins possible, en circulant librement sans se faire culpabiliser ou se faisant donner des leçons de moral.
Très bien, n'hésitez pas. Il faut simplement faire attention au fait qu'en payant moins de charges sociales vous aurez moins d'assurances genre médicale ou accident et qu'il faut gagner suffisamment pour pouvoir économiser de façon à avoir un petit matelas pour le jour où la maladie ou l'accident arrive. Il faut être conscient que le système d'assurance chômage français est très (trop) sécurisant et qu'il n'y a guère d'équivalent à l'étranger, et qu'en conséquence le jour où on vous vire il faut trouver un job fissa sinon on perd son permis de travail et de résidence. Il faut être conscient que quand on ne cotise pas à une caisse de retraite obligatoire, il faut cotiser/investir dans d'autres systèmes privés onéreux et à risques.
Mon-gros-doigt Et vous savez quoi ? Je vais sans doute vous choquez, si jamais je tombais gravement malade je reviendrai en France, terre d'asile psychiatrique faire le parasite.
Voilà, vous n'assumez rien et confirmez que vous êtes une larve.
Mon-gros-doigt Le Français est con, il aime se faire enfiler, pourquoi s'en priver, je souhaite personnellement donner du plaisir aux socialistes, aux zélecteurs mono-céphales la main sur le coeur pour défendre la "démocrassie" et la nation qui ne veut plus rien dire, et aussi à un maximum de larves qui se lèvent tôt pour produire des tableurs excel, qui font la serpillère wokiste devant bobonne, qui payent des taxes/impots (pour satisfaire les trusts, les lobbies et les prophètes qui ont bien raison d'en profiter), qui se font collecter pour obtenir à la fin une retraite de merde avec le projet politique d'être le plus diminué physiquement possible, et pour finir en beauté avec une taxe sur l'héritage une fois crevée.
Le français est con comme tous les semblables des démocraties de l'OCDE. La situation de salarié n'est avantageuse que si on des études académiques solides et un plan individuel de gestion de carrière et de ses finances. Dans beaucoup de pays, à 60 ans vous devenez un mendiant.
Mon-gros-doigt Chacun pour moi, est devenue ma devise depuis que je me suis aperçu que je ne vivais quasi qu'avec des citoyens décérébrés avec le révélateur de la Covid.
Vous seul êtes intelligent, c'est connu. Mais la Sécurité Sociale a tout prévu, pour se réinscrire à la Sécurité Sociale et obtenir la carte Vitale, il faut bosser quasiment 6 mois.
Je ne pense pas que ferez grand-chose, je ne sais pas si vous êtes jeune et qui vous êtes. Mais vous parlez/écrivez beaucoup et ne faites sans doute pas grand-chose de bon.
Moi, c'est fait, j'arrive maintenant près de la retraite. J'ai été expatrié et j'en ai bien profité financièrement et sur d'autres plans, mon heure de gloire est passée. Je ne regrette rien, j'aurais pu rester expatrié plus longtemps mais je ne l'ai pas fait.
Dans le monde des expatriés, il y a des catégories mais en fait chaque expatrié est un cas individuel.
- le haut fonctionnaire français: il fait 4 ans et rentre en France ou va dans un autre pays. Pas de surprise, pas non plus trop de profits financiers.
- le salarié d'une multinationale française: les contrats français de siège ne sont plus à la mode, on est dans les contrats "local +" avec paiement d'une assurance médicale privée, d'un logement, et de la retraite de base à la Caisse des Français de l'Etranger. C'est difficile et de plus en plus.
- les anciens banquiers traders qui ont amassé du fric, montent des petits fonds d'investissement et vivent tranquilles à Hong-Kong, Singapore, Dubaï. Gens infects souvent.
- des entrepreneurs un peu aventureux, du restaurateur ou boulanger au producteur de produits de luxe. Il y a de très belles réussites, et beaucoup d'échecs sanglants.
- des aventuriers, notamment chez les jeunes, qui ne réussissent pas grand-chose.
A cela s'ajoute le problème familial, beaucoup de familles d'expatriés sont binationales et bicolores, ce qui fait de chaque expatrié un cas singulier. Difficile d'aller bosser en célibataire et de le rester.