• [supprimé]

  • Modifié

Les prix des marchés publics sont indexés et révisés, donc les entreprises ne perdent pas d'argent même si les paiements traînent.

Une chose est sûre, cependant, c'est que certains fonctionnaires des collectivités ne sont pas des foudres de guerre...

    [supprimé] Il y a une quantité inimaginable de contrôles, vérifications et garde-fous. C'est pas les collectivités qui payent c'est le Trésor public.

    • [supprimé]

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    Entre le décompte présenté par l'entreprise et le virement sur son compte, il y a probablement tout un tas de procédures gérées par la collectivité, ce qui fait que savoir qui paie in fine est un détail.

      [supprimé] Certes. De plus, entre l'ordre de payer envoyé au Trésor par le Président de la collectivité et le paiement par le Comptable, celui-ci va s'employer à vérifier par tous les moyens d'usage que le fournisseur n'est pas en difficulté financière, auquel cas il n'enverrait pas un kopeck.
      Les soupçons du comptable se concentrent forcément sur les TPE qui n'inspirent pas forcément autant confiance qu'une société du CAC40.
      Le grand-public n'a pas forcément en tête que le Comptable public est toujours responsable sur ses propres deniers, comme du temps de Lavoisier.

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      Une société qui répond à un appel d'offre doit démontrer qu'elle est capable d'assurer le marché jusqu'au bout sans faillir. C'est d'ailleurs le rôle du maitre d'ouvrage de s'assurer de ce point-là.

      A Albi ils ont été tellement bons que pour un de leur marché important, la boîte leur a claqué dans les doigts (la passerelle). On est rarement déçus par les collectivités, elles sont souvent capables du pire.

        • [supprimé]

        [supprimé] Le secteur municipal français est assez misérable. Je passe sur la corruption et le trafic d'influence. Le Code des Marchés Publics favorisent les boites petites et moyennes et les groupements contre les gros, c'est idéologique premièrement. Les bureaux d'études sont faibles bien souvent, ils paient mal et sont instables côté personnel. Enfin la bureaucratie défavorise les tentatives de redressement quand l'affaire tourne au vinaigre en cours d'exécution, et c'est souvent le cas des grosses rénovations.

          • [supprimé]

          [supprimé] Le Code des Marchés Publics favorisent les boites petites et moyennes et les groupements contre les gros

          Si tu fais référence aux MAPA, cela n'a rien à voir avec un quelconque favoritisme. Pour le reste, je ne connais pas assez comment fonctionne une collectivité, mais ce que je sais, c'est que ça ne fonctionne par toujours bien.

            [supprimé] Oui mais le Comptable qui aura à payer à la fin n'a pas son mot à dire au moment de la signature du contrat.

            Il y a un siècle les campagnes françaises se sont dépeuplées de ses humbles paysans qui travaillaient la terre de leurs aïeux.

            De nos jours, les villes se sont remplis d’écologistes. Des gens immatures et déracinés qui s’inventent une fibre politique en lien avec la Nature, financée à grands coups de subventions.

              paulau De nos jours, les villes se sont remplis d’écologistes. Des gens immatures et déracinés qui s’inventent une fibre politique en lien avec la Nature, financée à grands coups de subventions.

              Peut-être. Mais les urbains immatures et déracinés sont, de toute évidence, un peu plus conscients des enjeux environnementaux que ceux qui habitent dans les campagnes : enjeux du changement climatique, disparition des insectes, dégâts causés par le remembrement, etc. Le bon sens paysan se perd dans les campagnes.

                paulau Je ne sais pas.

                10 ? 100 ? 1 000 ? 10 000 ?....
                ... encore une fois je ne sais pas.

                si , on ne compte pas les viticulteurs, il reste à peine 300 000 paysans français , réellement producteurs agricoles .
                Comptons 335 000 paysans nourrissant 67 millions de français, cela fait 1 paysan pour 200 habitants .

                Sachant que nous sommes excédentaires en céréales, sucre et lait . Equilibré en viande bovine et déficitaire dans quasiment tout le reste : volailles, porc, mouton et surtout fruits et légumes et bien sûr protéines végétales comme le soja

                  Simon Les urbains ne sont conscients que des pannes de métro.

                  candidus Vos calculs sont mal consolidés, les Français ne bouffent pas de soja.

                  Cache le soja, et le français le mange.
                  67% des français consommateur de soja en 2019

                  La consommation a explosé en 5 ans.

                  Src

                    Neodadais Beurk. Je fais partie des 67 % de Français qui ont bouffé du soja une fois dans leur vie.

                      • [supprimé]

                      [supprimé] Au moins tu l'as dit. Le secteur municipal français est un milieu de délinquants.

                      candidus Beurk. Je fais partie des 67 % de Français qui ont bouffé du soja une fois dans leur vie.

                      bien plus qu''une fois !
                      c'est impossible que tu n 'ais pas mangé des préparations alimentaires complétées avec du soja, sans y faire attention. Il faut par exemple, faire trés attention quand on achète de steacks hachés surgelés 1er prix et même 2ème prix, qu'ils soient bien pur boeuf , car les emballages sont les mêmes: toujours le même steack haché bien rouge en photo (même si d'un coté, il y a 15% de soja mélangé à la viande de boeuf)

                      Par contre, ce que je trouve excellent, ce sont des pousses de soja en salade .

                      de toutes façons, si tu manges de la viande de porc, de la volaille et des produits laitiers, indirectement tu manges du soja . C'est en consommant de la viande rouge à base d'herbe ( du boeuf label rouge et du mouton), que tu consommeras le moins de soja

                      Bonjour,

                      Avec le zonzon écologique l'Occident se fait hara-kiri .

                      Cordialement.

                      Je fais appel aux savants du forum.

                      On me souffle dans l' oreillette que pour avoir du bitume et des huiles pour les rouages des héoliennes, des roues, pour fabriquer des pneus et tout ce qui est issu de la pétrochimie comme la peinture, la colle etc..il faut passer par la création d’essence et de gazole, ce serait obligatoire dans le processus.
                      Donc rouler en électrique ne ferait pas disparaitre l’essence et le gazole.
                      Si cela est exact, je compte sur vous pour me le dire, les pays dit en voie de développement bénéficieront d' un avantage économique indéniable. En effet l' essence ou le diesel non consommés en Occident arriveront sur le marché mondial , faisant baisser les cours pour le plus grand bénéfice des pays dit en voie de développement qui auront tôt fait de nous dépasser.

                        paulau Objection du savant : la pétrochimie peut vivre sans prélèvement de ressources fossiles par la simple réduction du gaz carbonique présent en grande quantité dans l'atmosphère.
                        Pour cela il faut des centrales nucléaires et du coup on n'a plus besoin d'éoliennes.
                        Ce qui n'empêche que la pétrochimie prospérera du fait du grand nombre de produits carbonés nécessaires à la vie de l'Homo smartphonus : plastiques, lubrifiants anatomiques ou plus, caoutchoucs et élastiques, coques de bathyscaphes, viande de poulet synthétique, explosifs pour l'Ukraine, peintures arc-en-ciel, goudron de pistes cyclables inclusives etc...

                        • stm a répondu à ça.