Dans la problématique du climat et de l'interraction avec l'activité humaine, le point le plus critique sera évidemment la question militaire.
Il est désormais établi que l'on peut disperser suffisamment de particules en altitude ou en orbite, pour créer un écran à la lumière solaire avec des conséquences sur la température au sol sans commune mesure avec l'effet du CO2.
Ne mettez pas Gréta au courant.

    france2100
    Certes, mais son intervention se limitait seulement à "ouin, on nous embête alors que le CO2 ne représente qu'un pouième blablabla".
    Vu et revu sur les threads conspi 2 de QI des RS.
    Ces gens-là ne demandent pas des cours de physique-chimie, l'entreprise est bien trop élevée.

      candidus
      Balancer des sulfates dans l'atmosphère aurait pour "léger" inconvénient de détruire la couche d'ozone, dont la disparition serait bien pire que le réchauffement.

        paulau
        Bon, je me dévoue finalement...

        Le CO2 est semi-opaque, contrairement au dioxygène et au diazote. Ajouter un mince film coloré sur une vitre épaisse suffit à en modifier la transparence.

        La vapeur d'eau est toutefois plus opaque et plus concentrée. Mais elle crée des nuages qui, eux, réfléchissent la lumière vers l'espace, si bien que la quantité de vapeur d'eau s'ajuste jusqu'à équilibre. Les gaz à effet de serre déplacent cet équilibre.

        La hausse du CO2 réduit par ailleurs l'évaporation des plantes et donc la couverture nuageuse au-dessus des continents. En effet les plantes ouvrent leurs pores juste assez longtemps pour absorber le CO2 dont elles ont besoin, afin d'économiser l'eau.

        france2100 Bref, l'ingénierie climatique a tout son avenir devant elle et le GIEC c'est des obscurantistes décroissancistes.

          Je me pose quand même une question sur la parole évangélique du GIEC qui nous explique que l'on va bientôt tous mourir.

          Le GIEC parle de 400 PPM de CO2 dans l'atmosphère terrestre soit beaucoup plus qu'auparavant.
          Et en effet, sur les dernières 800 000 années, la teneur en CO2 n'avait jamais dépassé les 300 PPM...

          Mais si on remonte à 200 à 250 millions d'années, c'est à dire à la période des dinosaures, la concentration en CO2 atteignait 2000 ppm, selon les estimations basées à la fois sur des analyses de roches, de carottes de glace et d'autres indicateurs géologiques. Soit 5 fois plus qu'aujourd'hui.

          Alors comment ces grosses bêtes là faisaient elles pour vivre sans climatisation ?...

            Mon-gros-doigt Les arguments d'autorité n'ont jamais porté dans l'opinion publique. Par contre, Gréta venant d'avoir son bac et cessant sa grève du Vendredi, le bon peuple va passer à d'autres lubies médiatiques. A moins de trouver rapidement une autre potiche, le Giec est cuit.

            candidus
            Le GIEC n'est pas décroissantiste. Le discours européen sur le GIEC est décroissantiste.

            Le GIEC insiste sur la nécessité de combiner un large éventail de solutions, et il étudie systématiquement les options de géo-ingénierie. Sauf qu'elles sont loin d'être la panacée que vous imaginez.

            Aujourd'hui deux options de géo-ingénierie semblent demeurer crédibles : un écran solaire géant dans l'espace (bulles transparentes), ou bien la modification génétique des cultures agricoles pour accroître la taille de leurs racines. Les deux posent de sacrées difficultés mais sont étudiées.

              france2100 Et l'armée ? Toute recherche de pointe est forcément dirigée par les militaires. C'est d'ailleurs parce qu'il est présenté avec des objectfs civils que le Giec est vain.

              Kruiss38
              Le GIEC ne prédit pas la fin de l'humanité, il affirme simplement qu'une grande partie des terres deviendra inhabitable. Ne confondez pas le discours public européen, puritain et irrationnel, avec celui du GIEC.

              La température au Jurassique était supérieure de 10°C à celle actuelle. L'essentiel des terres auraient été inhabitables pour nous, et l'étaient sans doute pour les reptiles géants. Mais d'autres régions étaient tempérées.

              Concrètement l'équateur et une partie des tropiques deviendront inhabitables, causant le déplacement de plus d'un milliard d'individus. La France connaîtra plus de pluies et d'aridité, plus de grands froids et de canicules. Une petite partie du territoire pourrait devenir inhabitable. Notre faune et notre flore seront remplacées. La Sibérie va devenir un endroit merveilleux. Les changements pourraient bien sûr être pires si nous échouons à transformer notre économie.

                france2100 La Sibérie va devenir un endroit merveilleux

                Bonne analyse.

                Mais concernant la La Sibérie, celle ci ne semble pas vraiment épargnée. Les climats d’autrefois ne seront bientôt plus d’actualité, à certains endroits, car il semble que les limites géographiques pour un climat donné, deviennent de plus en plus élastiques, faute de régulation thermique efficace.

                Par la fonte du permafrost, la Sibérie libère le méthane piégé jusqu’alors, 20 fois plus dangereux que le CO2, Il s’agit de la fameuse bombe climatique.

                Je ne crois pas au changement climatique « linéaire » car depuis plusieurs années, les phénomènes se potentialisent entre eux. Comme les incendies ravageurs qui réduisent les surface des forêts absorbeurs de CO2, où les mers saturées en CO2 qui pourraient finir par en rejeter.

                .
                Un paysan francais nourrit combien de personnes ?

                Je ne sais pas.

                10 ? 100 ? 1 000 ? 10 000 ?....
                ... encore une fois je ne sais pas.

                .

                .

                .

                 

                Un écolo français nourrit combien de personnes ? 

                Là je sais :

                c' est zéro personne.

                  • [supprimé]

                  • Modifié

                  Les prix des marchés publics sont indexés et révisés, donc les entreprises ne perdent pas d'argent même si les paiements traînent.

                  Une chose est sûre, cependant, c'est que certains fonctionnaires des collectivités ne sont pas des foudres de guerre...

                    [supprimé] Il y a une quantité inimaginable de contrôles, vérifications et garde-fous. C'est pas les collectivités qui payent c'est le Trésor public.

                    • [supprimé]

                    • Modifié

                    Entre le décompte présenté par l'entreprise et le virement sur son compte, il y a probablement tout un tas de procédures gérées par la collectivité, ce qui fait que savoir qui paie in fine est un détail.

                      [supprimé] Certes. De plus, entre l'ordre de payer envoyé au Trésor par le Président de la collectivité et le paiement par le Comptable, celui-ci va s'employer à vérifier par tous les moyens d'usage que le fournisseur n'est pas en difficulté financière, auquel cas il n'enverrait pas un kopeck.
                      Les soupçons du comptable se concentrent forcément sur les TPE qui n'inspirent pas forcément autant confiance qu'une société du CAC40.
                      Le grand-public n'a pas forcément en tête que le Comptable public est toujours responsable sur ses propres deniers, comme du temps de Lavoisier.

                      • [supprimé]

                      • Modifié

                      Une société qui répond à un appel d'offre doit démontrer qu'elle est capable d'assurer le marché jusqu'au bout sans faillir. C'est d'ailleurs le rôle du maitre d'ouvrage de s'assurer de ce point-là.

                      A Albi ils ont été tellement bons que pour un de leur marché important, la boîte leur a claqué dans les doigts (la passerelle). On est rarement déçus par les collectivités, elles sont souvent capables du pire.