filochard C'est quoi le problème ? Je n'ai pas compris ce que le mec en question venait faire chez lui. Il fallait un funambule, ce fut un médecin qui l'obtint.

    candidus j'ai subit une ablation de neurones depuis je suis devenu progressiste alors cessez de m'ofenser avec votre discours de haine transphobe sinon je vous balance au digital service act.

    france2100

    es tu vraiment convaincu de ce que tu écris ? dans ce cas, je te plains , d'avoir des pensées aussi apocalyptiques

    france2100 Il est plus facile pour un chameau de passer par le chas d'une aiguille que pour un sale blanc d'être bon.

    j'avoue que c'est bien formulé

      candidus C'est quoi le problème ? Je n'ai pas compris ce que le mec en question venait faire chez lui.

      il voulait savoir, pourquoi, il n'avait pas de règles douloureuses

        marcopolo Il aurait dû demander à la concierge. Déjà qu'on manque de médecins.

        marcopolo

        es tu vraiment convaincu de ce que tu écris ? dans ce cas, je te plains , d'avoir des pensées aussi apocalyptiques

        Je ne vois rien "d'apocalyptique" (sic) dans cette description du progressisme, hormis à la rigueur le progressisme lui-même, avec ses idées génocidaires.

        Et, oui, c'est sincèrement ainsi que je vois le progressisme : une religion colonialiste, impérialiste, génocidaire, puritaine, arbitraire, obscurantiste. L'éternelle injustice macabre des dominants contre les dominés.

        Dans un siècle leurs enfants à Hollywood feront des films pour expliquer pourquoi leurs grand-papas étaient tellement mauvais, et pourquoi ils leur sont tellement supérieurs.

        un mois plus tard

        Un automne ordinaire sur les écrans français. Le 6 septembre sort Toni en famille, qui met en scène Camille Cottin en mère de famille nombreuse : sur ses cinq enfants, deux s’avéreront homosexuels – un ratio sans nul doute habituel dans les familles françaises… La même semaine nous offre Visions, un thriller de Yann Gozlan sur fond de liaison lesbienne, et deux films étrangers ( le Ciel rouge et le Champ des possibles ) où l’homosexualité joue un rôle central. Le 20 septembre, c’est la Petite, de Guillaume Nicloux, qui tourne autour d’une GPA commandée par le fils homosexuel de Fabrice Luchini. On retrouve l’homoparentalité la semaine suivante, présentée comme la chose la plus naturelle du monde, dans Nouveau Départ, une comédie française où la fille de Karin Viard et Franck Dubosc s’apprête à épouser sa compagne et accoucher de leur premier enfant (le géniteur, quel qu’il soit, n’est même pas évoqué). Bref, aurait dit Rantanplan, “je sens confusément qu’on cherche à me dire quelque chose”…

        https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/wokisme-quand-les-ecrans-reviennent-au-noir-et-blanc

        Non mais qui regarde ces bouses ? médiamétrie qui mesure les audiences a il un concurrent ? Avec les box maintenant le calcul d'audience doit être très précis.

          filochard

          Non mais qui regarde ces bouses ?

          Tous ceux qui veulent se donner l'impression d'être des gens bien regardant en face les péchés de notre société pour mieux les combattre. Par leur consommation ils sont les nouveaux Justes, et ils ont des t-shirts assortis pour le faire savoir.

          Le pouvoir culturel a institutionnalisé un archétype de la rébellion, qu'il décline dans toute sa gamme de produits.

          Guy Debord - La société du spectacle
          Joseph Heath & Andrew Potter - La Révolte consommée

          4 jours plus tard

          Lorsqu'un vers entre dans une pomme ou une famille tout est pourri, le corps et l'esprit, on récupère des fruits pourris. Ne devrait-on reprendre l'offensive Nivelle et considérer les fautes des mauvais chefs ?

          4 mois plus tard

          "Le sociologue macroniste Jean Viard explique les émeutes de juillet 2023 par les violences policières et la «pénurie d’amour» dont souffrent les banlieues. Pour répondre en profondeur à la crise, il appelle à construire davantage de mosquées et à légaliser le cannabis.
          De nos jours, les intellectuels progressistes se divisent en deux catégories : les Philippulus, qui annoncent tambour battant l’apocalypse, et les Pangloss, claironnant que tout va bien dans le meilleur des mondes. Jean Viard appartient sans conteste à la seconde catégorie. "
          https://www.lefigaro.fr/vox/societe/eugenie-bastie-jean-viard-sur-les-emeutes-ou-oui-oui-au-pays-des-racailles-20240131

            katou la «pénurie d’amour» dont souffrent les banlieues.

            Il a raison ce sont des enfants des allocs, pas des enfants de l'amour.
            La solution est de limiter la reproduction dans les banlieues, évidemment! :-)

            On a eu
            le communisme
            Le nazisme
            Puis
            Le progressisme
            Le wokisme.
            Je crains beaucoup de mort pour en guerrir.

            Ah! Et toujours pour le bien de tous.

              Max12
              Vous avez oublié le catholicisme en début de liste. Non seulement c'est la matrice du progressisme, mais aussi le premier à avoir imposé l'emprise des moralistes sur la société, à avoir réécrit la sexualité, la famille et le calendrier, à avoir détruit les clans, les peuples, les nations, les cultures, à avoir promu un grand empire du bien pour gouverner des unités de production interchangeables.

              Quant au communisme et au wokisme, je ne vois là que deux sectes progressistes.

              En revanche le nazisme est moins une doctrine totalitaire pour une société nouvelle, qu'un parti politique apportant une réponse ad hoc à des difficultés matérielles au service d'une ambition de conquête, sur fond d'émancipation radicale du poids des traditions, notamment judéo-christo-progressistes.

              Quoi qu'il en soit ces mouvements avaient tous de bonnes raisons pour sacrifier des peuples au nom d'un grand idéal.

                france2100

                france2100
                La religion catholique est bien apaisée , elle a donc laissé le champ libre à toutes ces nouvelles croyances.
                Qui parle aujourd'hui de fin du monde, d' enfer qui va arriver sur terre si tu ne fais le tri écologique etc?
                Qui parle de destruction nucléaire, de guerre de religion, tous nos nouveaux missionnaires wokistes, gauchistes.
                Bon c'est ce que je constate

                  Max12
                  Nous sommes d'accord, la fille progressiste a pris le relais de la mère catholique : son rôle (journaliste=curé) et ses dogmes (eschatologie, dualisme, péché-expiation des humains/mâles/blancs).

                    Max12
                    Je déconseille d'employer le terme "gauche" comme synonyme de progressisme, car cela laisserait entendre que la droite serait la solution. Or vous savez comme moi que la droite est tout autant progressiste que la gauche, simplement plus modérée, car la quasi-totalité des élites partagent la même religion. Pour moi la gauche n'est que le parti de ceux qui placent la religion au-dessus du reste, le parti du clergé et des bigots.

                    Quant au clergé, oui, ce sont les médias, mais aussi l'université, la culture, les militants : ceux qui fabriquent le beau, le bien, le vrai. Et on peut même y adjoindre la justice dans le rôle de l'inquisition.

                      france2100
                      Pas faux, l' umps?
                      C'est vrai qu' il y a porosité entre la gauche et la droite depuis mastricht.

                        Max12
                        Cela va même au-delà de quelques partis : la quasi-totalité des élites sont d'accord sur l'essentiel. Mélenchon et Le Pen se déclarent tous deux républicains, et affirment qu'un noir peut très bien devenir français, donc qu'un peuple noir peut très bien devenir le peuple français. Au fond, personne ne remet en cause le dogme impérial car, dans la plupart des pays, toutes les élites partagent la même religion d'état, le même logiciel idéologique.

                        Il arrive toutefois qu'il y ait un schisme, comme ce fut le cas avec le communisme. Une fois celui-ci résorbé, ces deux hémisphères élitaires ont pu se réconcilier contre le peuple. On peut aussi faire un parallèle avec les affrontements périodiques entre clergé et aristocratie durant le Moyen-Âge, qui n'en demeuraient pas moins alliés et complémentaires l'un de l'autre : la droite s'identifie plus facilement aux forces viriles, tandis que la gauche s'identifie davantage aux forces cléricales.

                        Et lorsque ces deux camps convolaient dans la paix, généralement sous la domination de l'un ou de l'autre, c'était alors le peuple qui trinquait : guerre avec les aristos, puritanisme et persécution des hérétiques avec le clergé.