Le Macronisme ( 2017...2022 ), ou La République en marche, comme l’incarnation d'une modernité politique qui s’est donné pour but inavoué de réactiver le clivage entre la chose populaire et l’esprit élitaire, provoquant de fait la séparation entre un état aux soubresauts autoritaristes et une société civile frustrée, et entre le citoyen ignorant et l’individu, premier de cordée.
Le Macronisme ( 2022...2027 ), de ce mouvement supposé pourfendeur d’un ancien monde, tout en recyclant les vieux réflexes d'une gouvernance prétendue légitime à imposer le diktat de la puissance publique dans sa forme la plus caricaturale, l'entreprise de startuppers sans bilan de compétences et sans prévisionnel en dehors de réforme inaboutie, réapparut en tant que parti de la Renaissance, à la faveur de nouvelles élections en 2022.
...Une délivrance faussement favorable à la concorde nationale, cherchant des références historiques pour se donner des airs d’acculturé franco-français, ou l’occultation d’un astre intronisé, à une époque révolue, par l’entre soi parisianiste ?
Refondation d’une représentation jupiterienne déconstruite désormais, qui a voulu re-renouer avec le progrès, après ce que le fils de la Foudre et du Tonnerre a laissé de dégénérations sociale et intellectuelle pendant le 1er quinquennat. Le second mandat en aura été la copie conforme ?...
Que laissera ce roi nu, au regard de l'histoire de France et d’ailleurs, convaincu qu’il fut magnifique par son talent de politicien avisé, comme la marque des grands personnages de son temps ?
...Une nation sans état souverain et une dette abyssale...