Pour ceux pour qui brailler n'est pas le seul comburant de l'existence, voici un tableau qui circulait déjà dans les années 80, qui permettait d'intégrer le "windchill", effet éolien, aux températures réelles, et que tous les alpinistes connaissaient et utilisaient.
A noter que tout ceci est bien connu depuis les années 60, et n'a pas été inventé par "on" sur TF1 après le journal de 20h.
Par -5° C sous condition de tempête, le danger est aussi important que par -30°C en calme plat.
Quand Herzog et Lachenal perdent une partie de leurs membres en 1950 à l'Annapurna, c'est en raison des vents de mousson pointés à 120kmh-1.