[supprimé] Je ne sais pas si sous nos latitudes nous sommes confrontés à ces phénomènes climatiques assez extrêmes, je ne crois pas, même.
Et pourtant, nous avons nous aussi connu quelques phénomènes hors norme, comme des anti cyclones offerts par l'arctique, ou une bise polaire très insistante provenant de Scandinavie, ça nous arrive aussi.
Ceci étant, pour le terme technique Blizzard, c'est possible que ce soit propre à l'Amérique du Nord.
[supprimé] - 12° dans l'Aveyron
Il me semble qu'Aurillac ait une bonne habitude des bonnes gelées. J'avais un collègue de ce coin, qui se vantait venir de la ville la plus froide de France. (à voir si Besançon est habituée aux records, aussi)
J'ai parlé du froid de canard US, parce qu'on se moque souvent des aéroports français, bloqués par des températures trop glacées.
L'épisode en question, d'Amérique du Nord, montre exactement les mêmes incidences, même pour les aéroports du canada. (et on ne parle pas de ceux du Royaume Uni)
Diamir Et le caniveau de déborder une fois encore. Arriveras-tu un jour à participer à un débat sans que celui-ci ne reste au niveau de ta ligne de flottaison ?
[supprimé] Mais je ne pense pas que nous puissions comparer ce qui se passe là-bas où ce genre d'évènements climatiques n'est pas rare par chez eux, avec un hiver rigoureux chez nous
Bravo.
A l'orée de la retraite, découverte des notions de climatologie entrevues en sixième. On souligne les termes suivants : océanique dégradé, semi-continental et continental humide.
[supprimé] Moins 20 à Fontainebleau en 1970-71, les tentes gelaient et les lacets cassaient.
Nymo Il me semble qu'Aurillac ait une bonne habitude des bonnes gelées. J'avais un collègue de ce coin, qui se vantait venir de la ville la plus froide de France. (à voir si Besançon est habituée aux records, aussi)
Je te parle de 2012 dans l'Aveyron. Il me semble avoir connu des -20° en Bourgogne dans les années 1990, mais avec le temps, ma mémoire s'étiole un peu.
Je ne me rappelle plus des épisodes dont tu parles, mais c'est très possible vu que l'été c'est le sud qui nous envoie sa chaleur, je ne vois pas pourquoi le Nord ne nous enverrait pas ses froidures.
13 degrés à Toulouse, 17 prévus cet après-midi.
Hiver 1984 j'ai connu (enfin j'avais 2 ans donc raconté ultérieurement) -22 degrés. Montagne héraultaise bien sûr, pas Paris ni Nîmes.
Donc les délestements ce n'était que la propagande pour faire peur aux gens? 
M'en fous je suis sur le même secteur qu'une caserne où il y a le logement de fonction du gendarme le plus haut gradé d'Occitanie, je ne pense pas qu'ils couperont l'élec. 
Mouthe, le jalon.
Sinon, -6° à la Barre des Écrins.
-16° ressentis.
C'est vraiment pas ouf.
white-widow-power -16° ressentis..
Le "ressenti" des températures, c'est comme le "ressenti du genre", de la science au doigt mouillé.
Quand le non-lambda chausse ses crampons, il est content de savoir s'il vente ou pas le long de la course.
Gel, dégel tout ça.
stm Le "ressenti" des températures, c'est comme le "ressenti du genre", de la science au doigt mouillé.
Quand je vous dis qu'on les retrouve tous toujours aux mêmes endroits ; Moreau, vaccin, metéo menteuse, etc.
Une maladie mentale ayant investi des esprits vides, rétifs à toute forme d'apprentissage.
white-widow-power Gel, dégel tout ça.
Tant de truc qui les dépassent.
J'ai eu pris -28°C sur le Dôme du Goûter sans un souffle de vent, on avait envie de tomber le francital.
Avec des amis (profanes), on s'est fait le Coolidge à nouveau l'été dernier (le 3000 abordable initiatique).
Ben j'étais content d'avoir des données météo exhautisves. (Dont la t° ressentie).
Pour ceux pour qui brailler n'est pas le seul comburant de l'existence, voici un tableau qui circulait déjà dans les années 80, qui permettait d'intégrer le "windchill", effet éolien, aux températures réelles, et que tous les alpinistes connaissaient et utilisaient.
A noter que tout ceci est bien connu depuis les années 60, et n'a pas été inventé par "on" sur TF1 après le journal de 20h.
Par -5° C sous condition de tempête, le danger est aussi important que par -30°C en calme plat.
Quand Herzog et Lachenal perdent une partie de leurs membres en 1950 à l'Annapurna, c'est en raison des vents de mousson pointés à 120kmh-1.
white-widow-power on s'est fait le Coolidge à nouveau l'été dernier
T'avais combien au sommet ?
Honnêtement il faisait bon.
Pas de sonde mais je dirais 4/5degrés.
De quoi hâter la redescente.
De plus en plus dangereux.
Et pour les thermodynamiciens qui sont très très nombreux sur le forum, on l'a lu plus haut, le corps humain génère une couche superficielle "amortisseuse" car de température intermédiaire entre le corps et le milieu extérieur. Sorte de double vitrage, pour faire simple.
Le vent a pour effet de supprimer mécaniquement cette couche protectrice.
Et évidemment la déperdition est bien plus importante sur peau mouillée. Toujours se débarrasser de moufles trempées en cas d'attaque du froid. Ce que n'ont pas fait Lachenal et Herzog.
De PD il y a 20 ans on peut passer à AD (les pierriers ont remplacé la glace sur de nombreux segments).
Avec les chutes de pierres qui vont avec.(d'où la cotation)
