Nymo Reste à voir si comme le prétendent certains, le domaine nucléaire français est définitivement enterré, ou si le renouveau est bien inscrit.
De ce que j'en lis, les perspectives sont loin d'être mauvaises

Oui il faut l’espérer.. mais en attendant il n’est pas certain que les PME, et à commencer par le boucher ou le boulanger de votre quartier, résistent à la crise qui se dessine, avec les prix exorbitants de l’électricité.

    Kruiss38
    Bonjour,

    Pourquoi met-on tant de temps à réaliser des centrales au Thorium qui semblent bien plus avantageuse que celles actuelles ?

    Cordialement.

      Bonjour,

      En fait il n'est pas sur que l'option Thorium soit choisie. C'est dommage. De l'énergie à volonté sans risque d'emballement du réacteur ce serait top.

      Cordialement.

      zenon

      Un avis :

      Il y a sans doute plusieurs raisons à cela :
      Les ingénieurs ont tout d’abord déserté le secteur nucléaire ces dernières années, totalement en perdition, grâce à qui vous savez..

      Dans les années 80, on savait construire 6 centrales par an sans problèmes. Le savoir faire était indéniable.
      Les ingénieurs de l’époque sont quasi tous en retraite, et les plans avant cette période n’étaient pas digitalisés. Le démantèlement sera sans doute compliqué et bien plus long que la construction de ces centrales jadis.

      Aujourd’hui on construit des centrales de 1450 MWe et même 1650 MWe pour l’EPR. (Contre 900 MWe dans les années 80)
      Et comme pour toute nouveauté industrielle, avec en plus des normes de sécurité à respecter qui évoluent (dans le bon sens avec l’ANSN) , il est toujours plus long de développer et de fabriquer les premières centrales d’une nouvelle génération, qui serviront néanmoins de prototype avant la série.

      On peut être un peu plus optimiste pour les prochains EPR, même s’il faudra être patient.

        Et évidemment que des poncifs qui trainent dans tous les magazines permettant d'attendre son dentiste, mais pas un mot sur le point technique sollicité : points de friction de la filière Thorium ?

        Kruiss38 Les ingénieurs ont tout d’abord déserté le secteur nucléaire ces dernières années, totalement en perdition, grâce à qui vous savez..

        Pas de bol, Orano MELOX, opérateur du MOX, est sans doute un des seuls groupes du secteur qui a su maintenir une attractivité pour la filière, en première ligne pour la filière Thorium relatée plus haut. Ca se passe à Chusclan (Gard) un centralien (déserteur ?) vient de prendre la direction, mille emplois sont sur site + 20% en quatre années et 100 millions d'euros investis pour les deux années à venir. Données évidemment vérifiables en trois clics.

        Parlez de ce que vous connaissez.

        Kruiss38 Aujourd’hui on construit des centrales de 1450 MWe et même 1650 MWe pour l’EPR. (Contre 900 MWe dans les années 80)

        Et encore une connerie.
        Le palier P4 avec 1320 MWe a été atteint dès 1978 sur Paluel 4 tranches, St Alban 2 tranches et Flamanville 2 tranches.

        Parlez de ce que vous connaissez.

          Elément de turbinage Arabelle. Pour info et pour nos amis kuitres, non non le garçon qui presse le pas ne vient pas voler le plutonium de la turbine.
          Vous pouvez la coupler à la détente de votre cocotte minute. Mais faudra l'aider un peu à surmonter le couple résistant.

            Le nucléaire pour les nuls (suite).

            Comme vous pouvez l'observer et le découvrir, il n'y a rien de "nucléaire" dans la zone de turbinage.
            Le travail des nucléaristes s'arrête au circuit primaire. Après l'échangeur, ce sont des ingénieurs mécaniciens/électrotechniciens qui opèrent.

              Kruiss38 Revendu par GE en Europe et en Turquie..

              Aucun rapport avec le sujet discuté.
              Me demande même si vous comprenez les questions posées à la filière.

              Kruiss38 Quelle source Einstein ?..

              Celle que vous êtes en train de publier, Luminox.

              Le palier P4, c'est en plein dans les années 70/80, contrairement à vos sottises plus haut. Et votre soussource cite à l'unité près les réacteurs dont je vous ai fourni la liste. Remerciez ma mémoire.

              (Contre 900 MWe dans les années 80)

              Vous fabriquez le bâton avant de tendre vos fesses. Et vous veillez à le faire costaud.

                Diamir Comme vous pouvez l'observer et le découvrir, il n'y a rien de "nucléaire" dans la zone de turbinage.

                Personne n'a vraiment dit le contraire. Néanmoins ces turbines équipent les centrales nucléaires françaises, avec un savoir faire tout à fait unique.

                Car si ces turbines étaient banales, le bankster médiocre n'aurait pas racheté l'entreprise 2 fois plus cher qu'il ne l'avait vendue. ceci "au nom de la souveraineté nationale dans le domaine de l'énergie."

                  • [supprimé]

                  • Modifié

                  Ben oui , une centrale nucléaire c'est comme une cocote minute . Le but est de produire de la vapeur afin de l'envoyer sur les ailettes d'une turbine qui fait tourner un axe qui entraine un alternateur qui lui produit du courant . C'est pas plus compliqué que ça !

                    [supprimé] C'est pas plus compliqué que ça !

                    En gros, c'est ça.
                    L'ennui c'est que dès que ça cause nucléaire tous les kuistres de l'endroit rappliquent. Pour expliquer ensuite qu'ils n'ont pas dit ce qu'ils ont dit.

                    Le nucléaire, c'est un peu comme la SNCF ou l'EN, le premier abruti qui passe ne résiste pas, il faut qu'il dise la sienne.

                      Diamir

                      J'ai écrit exactement : Aujourd’hui on construit des centrales de 1450 MWe et même 1650 MWe pour l’EPR.
                      CE QUI EST PARFAITEMENT EXACT, alors que me reprochez vous ?

                      Certes n'ai pas été précis pour les années 80, mais on s'en tape de vos enculades de mouches.

                        Diamir le premier abruti

                        On reconnait le sérial insulator qui renait régulièrement de ses cendres..

                          Kruiss38 Car si ces turbines étaient banales,

                          Et évidemment vous n'avez aucune idée de ce qui les rend particulières : brailler parce qu'il faut brailler.
                          Un rendement d'exception pour des modules d'une telle puissance, mais surtout un taux de fiabilité de 99,90%.
                          Et cela n'a rien à voir avec le "nucléaire".
                          Elles peuvent être couplées aux centrales à lignite de Mutti Merkel qui crachent 4500MW.