France1982 Tu n'avoueras jamais être un non-injecté.
Complètement fumé.
Mon propos était le suivant à votre endroit : si vous aviez une descendance ou un point d'ancrage dans cette existence autre que vos petites marottes de midinette, si vous aviez d'autres préoccupations existentielles que celles imposées par votre ventre, votre bas-ventre, si vous subissiez d'autres impératifs que ceux dictés par votre hubris, alors peut-être votre fixette consternante sur ces coups de seringues, qui partagent selon votre esprit lumineux l'humanité en deux catégories irréconciliables, aurait eu un espoir de rémission.
Mais vous ne comprenez même pas ce que je veux dire et dis, tant vous êtes désespérément contraint par votre solitude qui se lit ligne après ligne. Vos lignes qui sont celles d'un désespéré qui chante faux son bonheur d'exister.
Un pauvre type, sans doute plus à plaindre qu'à blâmer. Mais voilà, je suis plus expéditif que le virus qui vous a tant travaillé le ciboulot, je jette sans hésitation ce que je ne peux consommer, et comme vous êtes imbouffable.
Petit imbécile, je viens d'une famille qui a connu plus de scientifiques et de médecins que vous n'en croiserez jamais même si vous deviez un jour vous faire enfin soigner le bocal, mon patronyme est entré à l'Académie des Sciences du bon Colbert au milieu du siècle dernier : tout le monde a été vacciné, et jamais ce sujet n'en fut un.
C'est dans la populace la plus reculée que le débat ne se terminera jamais, alimenté par des gus qui la connaissent aussi bien qu'ils la manipulent. Elle ne sait rien, n'a jamais rien pu apprendre ni comprendre, alors elle a peur. Comme un animal peut avoir peur, irrationnellement, inévitablement, durablement.
Ne croyez pas que je cherche à vous convaincre, à vrai dire que vous puissiez guérir un jour dérangerait ma vision sociétale, et comme j'aime mes certitudes comme on aime ses raretés, je vous remercie quelque part d'être aussi con.