Neodadais La nationalité n'est pas pour tous qu'un bout de papier offrant divers avantages et quelques tracasseries dans une société mondialisée régie par l'argent.
Elle est pour certains pendante de la nation. De son idéal démocratique (certes bafoué). De son héritage commun. De son destin commun. De ses biens communs.
Bref, elle est pour certains appartenance à la communauté supposée œuvrer au bien de son peuple et de son environnement.
Il est certain que l'on peut acter la fin de la France. Il n'en reste pas moins l'amour perdu de ce qu'européistes, panaméricains ou simplement macronistes détruisent toujours un peu plus, rappelé constamment par le lien à sa terre :
on appartient autant à sa terre qu'elle nous appartient.
Evidemment, je ne vais pas vous rejoindre dans cette présentation.
Je ne crois pas au complot du "grand remplacement"
Par contre, je crois aux intérêts bien réels du monde patronal, qui use et abuse d'une main d'oeuvre de sans papiers, prêts à bosser bien au delà de ce que deux français de souche accepteraient.
Je crois aussi aux réalités démographiques.
A savoir qu'à quelques exceptions près, les bonnes petites familles chrétiennes blanches, n'enfantent plus autant que Zemmour le voudrait.
Par contre, si le français souchien a la contestation et le yakafokon viscéralement ancré dans ses méninges, le reste n'est pas toujours très cohérent.
J'entends certains critiquer la dictature de macron.
A ma connaissance, il existe de vraies dictatures, des vraies de vraies, et c'est pas simple de fuir leur pays.
Alors que là, franchement, c'est une dictature cool, ils peuvent partir quand ils veulent
Tant de belles démocraties blanches, dans lesquelles l'Islam n'existe pas, jamais d'attentat islamiste, jamais de banlieusards d'origine du sud qui foutent le boxon dans les villes. Toutes ces nations seraient ravies d'accueillir ces français de souche, très mécontents.
Mais non, y bougent pas les "de souche" et pourquoi donc?
Parce qu'ils veulent profiter de Maman France, exactement comme les migrants le font, en se faufilant par chez nous.