Les partisans du " transgenrisme " qui veulent faciliter les changements de genre chez les adolescents, ont leurs entrées dans le ministère de l ' éducation nationale. J ' en veux pour preuves les deux liens ci-dessous :

1 )
«Une faute professionnelle grave»: quand un lycée change le genre d’une élève sans en avertir les parents.
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/une-faute-professionnelle-grave-quand-un-lycee-change-le-genre-d-une-eleve-sans-en-avertir-les-parents-20220530

2 )
Syndicat Sud éducation :
"Circulaire relative à l’accueil des élèves trans : un texte nécessaire mais insuffisant ! "

https://www.sudeducation.org/communiques/circulaire-relative-a-laccueil-des-eleves-trans-un-texte-necessaire-mais-insuffisant/

10 jours plus tard

paulau
Pas d'extrême droite, mais d'ultra droite.
Je ne sais pas ce qu'ils vont inventer après l'ultra droite ! l'hyper droite, l'infinie droite ?

Lire ceci, par exemple :

https://eduscol.education.fr/document/1555/download?attachment

C'est un document de travail du Ministère.

Déjà, ce document reprend à son compte à plusieurs reprises le concept de "LGBTphobies" inventé par le lobby gay, et qui est tout à fait discutable.

Ce document évoque (page 3) aussi "les jeunes se définissant comme trans", validant ainsi la pratique du transsexualisme chez les mineurs.

Le message exprimé à plusieurs reprises dans ce document est "tous égaux, tous alliés", or on sait que la revendication d'égalité sert de prétexte, pour le lobby gay, à justifier de nombreuses revendications (le mariage, l'adoption, le transsexualisme, etc.).

Le document parle aussi (page 5) de "promouvoir le « zéro tolérance » à l’égard des injures sexistes et LGBTphobes". Fort bien. Et quelles sont donc les "injures sexistes et LGBTphobes" ? Le document détaille en page 9 les agissements "LGBTphobes" qu'il convient de combattre. Outre quelques exemples tout à fait logiques tels que "outer une personne" ou "faire des commentaires humiliants ou désobligeants fondés sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre de l’élève", on apprend aussi qu'il faut désormais combattre les "normes de genre" et qu'il ne faut pas "refuser le prénom d’usage d’une personne trans et/ou refuser d’utiliser les pronoms/accords correspondant à son identité". Ah bon ? Est-ce si évident ? Si on comprend bien, l'institution scolaire valide le militantisme woke et le transsexualisme chez les mineurs. C'est tout à fait contestable.

Un peu plus loin (page 11), le document nous dit clairement que l'institution scolaire pourra faire intervenir "diverses associations mettent à disposition des collèges et des lycées leur expertise dans l’animation de modules d’intervention sur les questions liées à l’orientation sexuelle, aux identités de genre, au sexisme et à la lutte contre les LGBTphobies. Certaines bénéficient d’un agrément national au titre des activités complémentaires de l’enseignement public, certaines d’un agrément académique."

Ce document invite les jeunes à participer à la Journée internationale de lutte contre l'homophobie et la transphobie. Sur le site internet de ce mouvement, on trouve notamment la promotion de nouvelles formes de familles et la promotion de la maltraitance de la langue française.

On nous dit encore (page 7, toujours), que "les personnes LGBT ne doivent pas seulement être évoquées pour dénoncer les violences dont elles sont victimes : elles peuvent aussi être positivement citées pour leur contribution à la littérature, à l’histoire ou aux arts (par exemple : histoire de la dépénalisation de l’homosexualité ou encore l’étude de la conquête des droits). Car la visibilité est un levier puissant pour faire reculer l’homophobie et la transphobie".

On notera encore (page 17) que l'institution scolaire reprend à son compte et valide clairement la théorie de l'identité de genre chère au lobby LGBT.

Donc il apparaît clairement que, sous prétexte de lutte contre le harcèlement ou les discriminations, l'institution scolaire sert délibérément de relais à l'activisme politique des associations LGBT.

    Simon En même temps, nous apprenons que le "sexisme" est en progression dans la jeunesse. Si le "sexisme" est le fait de penser qu'il y a deux sexes, et non pas 377 genres, c'est plutôt rassurant.

    paulau

    que des hommes se travestissent en femmes, c'est un jeu , éventuellement une compensation psychique pour le déguisé
    Que la sécu paye une mutilation du corps à de personnes de plus en plus jeunes, plutot qu'une thérapie psychique, c'est céder au lobby LGBT, ce n'est plus de l'assurance maladie universelle

    12 jours plus tard

    L' idéologie transgenre pénètre peu à peu toutes les institutions.
    Un exemple récent : l' armée.

    les dragqueens, c'est une vision ludique , soft et enfantine (le jeu du déguisement) du transgenrisme .
    Par contre la propagande trans aux ados et adultes, prétendre que l'on peut changer de sexe, comme on change de chemise, malgré les mutilations de son corps, je trouve cela ignoble . Le pire c'est qu'en faisant rembourser ces mutilations par la sécu, on facilite une décision aussi lourde de conséquences

    Au nom de la diversité, une école catholique de Renfrew a suspendu un élève et l'a fait arrêter pour avoir affirmé qu'il n'y avait que deux sexes.
    "J'ai dit qu'il n'y avait que deux sexes, et que vous étiez né soit un homme, soit une femme, et cela m'a causé des ennuis. Et puis j'ai dit que le genre ne l'emportait pas sur la biologie.
    https://torontosun.com/opinion/columnists/lilley-catholic-high-school-student-suspended-then-arrested-for-saying-there-are-only-two-genders

      13 jours plus tard

      Transgenrisme, exemple : un homme veut faire croire qu' il est une femme. Cela peut poser des problèmes aux femmes, pour l' emploi des toilettes par exemple.

      Un autre exemple également à méditer :

      12 jours plus tard
      un mois plus tard

      Un jour un groupe d’anthropologues discutait d’un fossile humanoïde, en particulier de son appartenance sexuelle.
      Ces anthropologues se sont alors fait interrompre par une personne. Celle-ci leur suggéra que l’on ne pouvait pas dire si c’était un homme ou une femme car, en effet,  l’on ne savait pas comment il se sentait de son vivant.

      Nos chers pro-trans et autres wokistes sont épuisants, mais au moins on peut rire de temps en temps grâce à eux.

      Les labos pharmaceutiques sont tombés sur une mine d'or avec cette idéologie à la con.

      10 jours plus tard
      10 jours plus tard

      Sport
      La Fédération française d’athlétisme autorise Halba Diouf, une femme musulmane transgenre, à concourir jusqu’au niveau départemental
      (Màj : Elle finit première sur 200m d’une compétition open à Nice)

        Bonjour,

        Bof on peut tolérer les anomalies sexuelles mais pas les promouvoir.

        Cordialement.