Lire ceci, par exemple :
https://eduscol.education.fr/document/1555/download?attachment
C'est un document de travail du Ministère.
Déjà, ce document reprend à son compte à plusieurs reprises le concept de "LGBTphobies" inventé par le lobby gay, et qui est tout à fait discutable.
Ce document évoque (page 3) aussi "les jeunes se définissant comme trans", validant ainsi la pratique du transsexualisme chez les mineurs.
Le message exprimé à plusieurs reprises dans ce document est "tous égaux, tous alliés", or on sait que la revendication d'égalité sert de prétexte, pour le lobby gay, à justifier de nombreuses revendications (le mariage, l'adoption, le transsexualisme, etc.).
Le document parle aussi (page 5) de "promouvoir le « zéro tolérance » à l’égard des injures sexistes et LGBTphobes". Fort bien. Et quelles sont donc les "injures sexistes et LGBTphobes" ? Le document détaille en page 9 les agissements "LGBTphobes" qu'il convient de combattre. Outre quelques exemples tout à fait logiques tels que "outer une personne" ou "faire des commentaires humiliants ou désobligeants fondés sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre de l’élève", on apprend aussi qu'il faut désormais combattre les "normes de genre" et qu'il ne faut pas "refuser le prénom d’usage d’une personne trans et/ou refuser d’utiliser les pronoms/accords correspondant à son identité". Ah bon ? Est-ce si évident ? Si on comprend bien, l'institution scolaire valide le militantisme woke et le transsexualisme chez les mineurs. C'est tout à fait contestable.
Un peu plus loin (page 11), le document nous dit clairement que l'institution scolaire pourra faire intervenir "diverses associations mettent à disposition des collèges et des lycées leur expertise dans l’animation de modules d’intervention sur les questions liées à l’orientation sexuelle, aux identités de genre, au sexisme et à la lutte contre les LGBTphobies. Certaines bénéficient d’un agrément national au titre des activités complémentaires de l’enseignement public, certaines d’un agrément académique."
Ce document invite les jeunes à participer à la Journée internationale de lutte contre l'homophobie et la transphobie. Sur le site internet de ce mouvement, on trouve notamment la promotion de nouvelles formes de familles et la promotion de la maltraitance de la langue française.
On nous dit encore (page 7, toujours), que "les personnes LGBT ne doivent pas seulement être évoquées pour dénoncer les violences dont elles sont victimes : elles peuvent aussi être positivement citées pour leur contribution à la littérature, à l’histoire ou aux arts (par exemple : histoire de la dépénalisation de l’homosexualité ou encore l’étude de la conquête des droits). Car la visibilité est un levier puissant pour faire reculer l’homophobie et la transphobie".
On notera encore (page 17) que l'institution scolaire reprend à son compte et valide clairement la théorie de l'identité de genre chère au lobby LGBT.
Donc il apparaît clairement que, sous prétexte de lutte contre le harcèlement ou les discriminations, l'institution scolaire sert délibérément de relais à l'activisme politique des associations LGBT.