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L'apologie du terrorisme et l'antisémitisme ne relèvent pas de la liberté d'expression, c'est des délits.
Si vous défendez l'idée représentative, comment pouvez-vous justifier que des non-élus puissent réduire au silence des élus ? Comment pourrait-il y avoir débat politique si même les élus n'ont pas le droit d'exprimer leurs idées ? Comment les lois pourraient-elles être changées s'il est interdit d'exprimer des idées contraires à ces lois ?
Vous criez "la loi" comme un appel au sacré, mais les lois doivent être interprétées, tout comme les faits jugés. Prétendez-vous ignorer la largesse des interprétations de ces bureaucrates judiciaires ne rendant de compte à personne ? Les mêmes qui estiment que la multiplication des actes de censure est compatible avec la liberté d'expression inscrite dans la constitution et qu'ils sont supposés défendre.
Défendez-vous une idée républicaine ou théocratique ? Le pouvoir des élus, supposés représenter le peuple, ou celui des juges ?