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Un homme averti, en valant deux, l’alter ego de Macron, c’est-à-dire lui-même, saura-t-il faire de son gouvernement
autre chose qu’un nouvel équipage de fonctionnaires toujours prompts à constater que les symboles valent moralement mieux que les citoyens qui en endosseraient la valeur, ou qui la déshonoreraient par des actes inciviques, et que finalement, les faits de société seraient si fortuits qu’on en tombe de l’armoire chaque fois qu’ils apparaissent.
En témoigne l’actualité, toujours la même qui tourne en boucle, et dont la France clivée s’outrage ou s'enorgueillit selon une conception de l’état de droit que l’information traite d’emblée par la question de la condamnation unanime
que les médias soumettraient à ceux des experts officiels chargés d’en faire une exégèse politicienne.
Comme s’il suffisait de mettre à l'index les démolisseurs coupables d’une démocratie déboussolée, face caméra, pour effacer la veulerie et les compromissions que les élus occultent pour eux-même afin de ne pas passer pour des incapables.
Ceux-là se plaignent d’être caricaturés ?...C’est peut-être tout simplement le portrait qu’ils offrent sans vergogne au grand public.
L’état a juste oublié son devoir. celui de l’ordre juste. Mais faut-il qu’il fasse preuve d’autorité.
Ni respect, ni crainte dans un pays où chacun pourrait être désormais la victime d’un autre.
La France...Démocratie ou anarchie ?..Elle est devenue ce que les Français ont décidé qu’elle soit puisque le suffrage universel a légalisé cet état de fait.
Mais légitime ?...L’avenir le dira prochainement.