• [supprimé]

cheshire-cat Le tri complet est impossible. L'UE a un programme législatif qui oblige à très court terme (étapes en 2023, 2025, 2030, etc) à mettre en place des systèmes de collecte ultra-sélectives: consignation (machines qui reprennent les bouteilles PET par exemple dans les supermarchés), augmentation des nombres de points d'apports volontaires et des décheterries, responsabilité étendue du producteur (REP) qui va devoir mettre de l'argent dans la collecte et l'économie circulaire, éco-organismes. Le but est qu'en 2050 il n'y ait plus de déchets urbains et industriels non dangereux.

    [supprimé]

    Ça sent l'usine à gaz politico-administrative tout ça. Ne vaudrait-il pas mieux demander conseil à des sociétés compétentes en logistique et processus industriels pour plus d'efficacité ?

    [supprimé]

    ???

    1. Il n'y a aucune incohérence à ce que la quantité de déchets plastiques sur une année soit supérieure à la production de plastique.

    2. En 2019, toujours dans AE, la production s'élevait à 460 millions de tonnes

      • [supprimé]

      • Modifié

      SagesseLiberale Ces chiffres sont faux. Les chiffres professionnels sont nettement inférieurs pour ces années là au niveau de 360 millions de tonnes et prévoient 512 millions de tonnes en 2030 avec une croissance vigoureuse quand même. Comme une partie de la production de plastiques va dans des matériaux de constructions GC/TP, et des équipements à durées de vie longues, et malgré la production due à la démolition/maintenance et au rebuts divers d'objets, il m'étonnerait que la production de déchets de plastiques soit très supérieures à 360 millions de tonnes actuellement.
      Vos sources sont biaisées et conduisent forcément à des conclusions biaisées.
      Par ailleurs le plastique n'est pas le mal, le mal est dans le gars sale qui jette son paguet de chips vide ou sa bouteille PET par la fenêtre de sa voiture. Je recommande l'amende de 500 € pour ce 1er niveau de délit environnemental, comme à Singapour.

        [supprimé]

        Les stats données par AE proviennent du rapport de l'OCDE intitulé « Perspectives mondiales sur le plastique ».

        Le problème du plastique n'est pas uniquement que madame Michu ne trie pas ces déchets ou les balance n'importe où, c'est la présence de micro et nano particules qui seront émises par les plastiques tout au long de leur cycle de vie.

          • [supprimé]

          SagesseLiberale Sur ce point nous sommes d'accord concernant les microplastiques. Mais les microplastiques proviennent de la malpropreté et du manque de discipline généal, et pour les pays du tiers-monde de l'absence de systèmes de collecte et de gestion des déchets.
          L'écart de quantité s'explique par: premièrement la contamination des emballages jetés par le contenu organique (alimentaire ou autre) ou minéral et deuxièmement l'OCDE est bien incapable d'appréhender finement ce qui ce passe dans les pays du tiers-monde.

          un mois plus tard

          Une nouvelle étude, cette fois-ci effectuée par l'INRAE, montre ce qu'on savait déjà : les produits phytosanitaires ont un impact catastrophique sur la biodiversité.

          25 jours plus tard

          Une nouvelle étude sur les dégâts des pesticides sur la santé humaine. Elle conclut que « l’exposition aux résidus de pesticides par le biais de l’alimentation pourrait annuler l’effet bénéfique de la consommation de fruits et légumes sur la mortalité. »

          https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0160412021006498?via%3Dihub

          Cette étude a été mise en cause par la journaliste/lobbyiste G. Woessner. Voici la réponse du Monde qui a publié un article sur l'étude (ça explose Woessner ! )

            Certainement que les produits chimiques jouent un immense rôle dans la pandémie d'obésité.
            D'ailleurs les données le montrent:

            Ah, en fait, pas du tout.
            Mais évoquons les produits chimiques de l'enfer au lieu d'évoquer le manque d'exercice physique et les apports de sucre colossaux dans la nourriture.

            Et on rappellera à toutes fins utiles que la science ne se fait pas sur la base de bisbilles entre journalistes dont tout le monde se tamponne.
            Mais avec des arguments rationnels basés sur les faits.
            « Les fruits et légumes sont protecteurs, quel que soit leur statut ! »
            Propos de Denis Corpet (*):

            Mais leur étude n'annule pas ce qui a été démontré précédemment, et de façon répétée : que les fruits et légumes sont protecteurs, quel que soit leur statut !
            [...]
            Leurs données montrent que les gens qui mangent un certain type de fruits et légumes (par exemple beaucoup de petits pois et d'oranges) ont moins de cancers et de maladies cardiovasculaires que ceux qui mangent beaucoup de pommes, de fraises et d'épinards. Cela confirme que certains fruits et légumes sont associés à une bien meilleure protection que d'autres. Nous le savions déjà : les oignons par exemple, qui contiennent beaucoup de phyto-nutriments (des composés soufrés), protègent beaucoup mieux que les pommes de terre. On sait également que les oranges protègent réellement contre le cancer de l'estomac, alors que la pomme, pas du tout. Or dans leur enquête, les oranges sont dans le groupe des produits peu contaminés, et les pommes dans celui des produits très contaminés. Mais objectivement, on ignore si l'effet bénéfique observé est lié à la présence moindre de pesticides, ou à la composition du fruit lui-même. L'hypothèse qu'ils formulent n'est absolument pas prouvée.

            Et la conclusion de Corpet:

            Tout en rappelant que les mangeurs de fraises et d'épinards se portent de toute façon beaucoup mieux que les autres, résidus de pesticides ou pas. En France, les normes ne sont pas les mêmes, donc ces résultats ne nous concernent pas.

            A noter que ce soit Corpet ou pas qui le dise n'a pas grande importance, c'était évident pour n'importe quel lecteur de l'étude: il n'y a pas une comparaison entre différentes expositions aux pesticides... mais une comparaison entre différents fruits/légumes ET différentes expositions aux pesticides.
            Il n'y a absolument aucun moyen de savoir si le résultat de l'étude est le résultat de la consommation de différents fruits/légumes, d'une différente exposition aux pesticides, ou les deux.

            (*) Ancien professeur émérite « Hygiène et Nutrition humaine » à l'École nationale vétérinaire, à Toulouse, et ancien directeur de l'équipe Inra « Aliments et Cancers » (laboratoire ToxAlim, Toulouse). Il est l'un des 22 experts internationaux ayant participé en 2015 au Groupe de travail sur « viande et cancer » au Centre international de recherche sur le cancer.

              jack127 C'est le cas littéralement de centaines de millions de personnes depuis des décennies.

              Et on a vu le terrible résultat sur l'espérance de vie! Donne froid dans le dos...

              grishka Certainement que les produits chimiques jouent un immense rôle dans la pandémie d'obésité.

              Remarquons quand-même qu'en augmentant les rendements agricoles, le pesticides permettent aux gens de s'empifrer davantage, ce qui les fait grossir.
              🍔 🍟 🧋

              grishka

              grishka Ah, en fait, pas du tout.
              Mais évoquons les produits chimiques de l'enfer au lieu d'évoquer le manque d'exercice physique et les apports de sucre colossaux dans la nourriture.

              Je ne vois pas vraiment l'utilité de votre graphe. Quant au reste, à aucun moment l'étude citée ne remets en question ces facteurs de risque.

              La critique est intéressante mais reste spéculative. Est-ce que la remarque s'applique à tout le classement ? Est-on sûr que les individus du groupe ayant moins de risques mangent plus d'oranges que les autres ? Les études sur la meilleure protection des oranges ne sont-elles pas biaisées par justement le fait que ces fruits contiennent en moyenne moins de pesticides que les pommes ? Bref, ça ne remet pas en cause la conclusion de l'étude.

              J'ajoute que cette étude est appuyée par d'autres : celle sur l'obésité supra, une sur le lien entre exposition aux pesticides et cancer du sein, sur le lien entre pesticides et diabètes de type 2, sur le lien entre pesticides et certains cancers, sur le lien entre néonicotinoïdes et cancer, une autre sur le lien entre pesticides et cancer du sein, une sur l'impact des pesticides sur le système immunitaire.

              Permettez-moi une remarque. Alors que vous faites preuve de rationalité dans d'autres contextes, je ne comprends pas pourquoi vous vous obstinez à refuser de voir toutes les preuves scientifiques qui convergent vers la conclusion : l'exposition aux pesticides est toxique. La seule explication serait que vous ayez des intérêts dans l'agro-chimie, sinon c'est complètement irrationnel de défendre quelque chose qui vous empoisonne.

                SagesseLiberale Je ne vois pas vraiment l'utilité de votre graphe.

                Je ne suis pas étonné.
                Si l'exposition au produit chimique jouait un rôle majeur dans l'obésité, on devrait voir (1) un taux d'obésité similaire et (2) une croissance similaire dans tous les pays industrialisés.
                Ce qui n'est pas le cas du tout.
                La France a littéralement 40 ans de retard sur les USA concernant son taux de personnes en surpoids. Alors que le taux de personnes en surpoids aux USA croît d'environ 10% par décennie, on peut voir qu'il a cru de 5% en Autriche en 40 ans.
                Conclusion: en admettant que l'exposition aux produits chimiques joue un rôle dans la croissance du taux de surpoids, il est marginal.

                SagesseLiberale La critique est intéressante mais reste spéculative.

                Non.
                Par contre, vous vous souvenez de ce que vous avez écrit le message précédent? Visiblement, non.

                SagesseLiberale « l’exposition aux résidus de pesticides par le biais de l’alimentation POURRAIT annuler l’effet bénéfique de la consommation de fruits et légumes sur la mortalité. »

                Ce que vous nommez la "conclusion" est elle-même "spéculative".
                Vous avez un référentiel à géométrie variable.

                Ceci mis en évidence, je reprends.
                La critique n'est pas spéculative:
                1) On sait que tous les fruits et légumes n'ont pas un effet sur les cancers. C'est un fait établi.
                2) L'étude sur laquelle s'est jeté Le Monde (et surtout Stéphane Foucart...) compare des gens qui ne consomment pas les mêmes fruits et légumes, par construction (pour pouvoir créer des groupes avec des expositions aux pesticides différentes).
                Conclusion: cette étude ne peut pas déterminer si ses résultats sont dus à une différence d'exposition aux pesticides et/ou à une différence de régime alimentaire, par construction.
                Cette conclusion n'a rien de spéculatif: c'est un fait.

                SagesseLiberale J'ajoute que cette étude est appuyée par d'autres

                Youpee, encore le picorage de littérature.

                Si vous vous renseigniez sur l'état de l'art, pour une fois?
                Depuis plusieurs décennies, des cohortes ont été suivies pour déterminer si l'alimentation bio avait un impact bénéfique sur la santé. Et les résultats ont été essentiellement rien.
                Comme Bradbury+14, Organic food consumption and the incidence of cancer in a large prospective study of women in the United Kingdom, avec un échantillon 10 fois plus gros que Nutrinet (étude française à la base de vos deux premiers liens).
                Ces études ne peuvent être qu'aussi bonnes que les données le sont, or sur de vastes échantillons, il faut éliminer des dizaines de facteurs de confusion: statut socio-économique, antécédents familiaux, tabac, alcool, etc.
                Bradbury+14 trouve un excès de cancer du sein chez les consommateurs de bio, ce que personne ne considère comme une preuve de quoi que ce soit.
                Votre deuxième lien trouve un lien statistique entre pesticides et diabète... mais uniquement chez les femmes. Ce qui peut vouloir dire quelque chose, comme ne rien dire.
                Votre troisième lien montre que vous vous foutez du monde puissance 20.000 et que vos liens sont de la pure poudre aux yeux: c'est une étude sur l'alimentation au Nigéria... sur des pesticides interdits en Occident depuis quelque chose comme 20 ans. Même s'ils étaient encore autorisés en Occident, la comparaison n'aurait aucun sens: je ne suis pas un expert, mais je devine que les normes environnementales au Nigéria sont inexistantes... ou pas/peu respectées.

                Bref, s'il existait un impact majeur des pesticides dans l'alimentation sur la santé publique, il serait détecté dans ces études à des niveaux statistiques infiniment plus convaincants.
                Sur cette base, on peut considérer que si effet il y a, de nouveau, il est marginal.

                Et il existe littéralement des dizaines, si ce n'est des centaines, de sujets de préoccupation bien plus majeurs en terme de santé publique et eux, parfaitement établis.
                Corollaire: ce n'est pas la santé publique qui vous intéresse.

                SagesseLiberale Je ne comprends pas pourquoi vous vous obstinez à refuser de voir toutes les preuves scientifiques

                Vous pouvez m'expliquer la différence entre vous et un guignol qui va nier le réchauffement climatique sur la base des "analyses" d'un anthropologiste?
                Je vais vous le dire: il n'y en a aucune.
                Démonstration: vous ne voyez pas le problème à brandir un agronome pour contester le stockage géologique des déchets nucléaires.

                Donc vos leçons sur la science, vous voyez ce que vous pouvez en faire.

                SagesseLiberale La seule explication serait que vous ayez des intérêts dans l'agro-chimie

                Voilà, je fais parti du complot.
                La même rhétorique que les climato-sceptiques, EXACTEMENT la même, étape par étape: c'est un coup monté.

                La différence entre vous et moi, c'est que je suis capable d'identifier les sources nécessaires pour déterminer l'état de l'art dans un domaine de recherche.
                Vous, vous cherchez des colifichets pour conforter vos croyances et justifier de continuer vos homélies.

                Et vous l'avez amplement montré sur le sujet du changement climatique: cela ne vous intéresse que si cela sert votre tropisme anticapitaliste. D'où vos attaques contre les véhicules électriques à base d'infox grossières.

                  grishka réponse rapide

                  grishka Si l'exposition au produit chimique jouait un rôle majeur dans l'obésité, on devrait voir (1) un taux d'obésité similaire et (2) une croissance similaire dans tous les pays industrialisés.
                  Ce qui n'est pas le cas du tout.
                  La France a littéralement 40 ans de retard sur les USA concernant son taux de personnes en surpoids. Alors que le taux de personnes en surpoids aux USA croît d'environ 10% par décennie, on peut voir qu'il a cru de 5% en Autriche en 40 ans.
                  Conclusion: en admettant que l'exposition aux produits chimiques joue un rôle dans la croissance du taux de surpoids, il est marginal.

                  Vous m'avez pas habitué à un argument aussi foireux ! Qu'est-ce qu'il manque pour être valide : uniformité de l'exposition dans tous les pays, uniformité des autres facteurs à risques dans tous les pays, deux choses qui viennent à l'esprit immédiatement !

                  Je passe sur la ridicule accusation de Cherry Picking, j'ai déjà eu l'occasion d'y répondre plusieurs fois. Ca n'a aucun intérêt.

                  Je vous rappelle que l'étude mise en cause par D. Corpet n'est pas focalisée sur les cancers. Autrement dit ça critique si elle reste intéressante, reste marginale sauf à considérer que les fruits dans la catégorie « haute exposition » n'est aucun bénéfices sur la santé, ce qui contredirait ses propos.

                  Le fait qu'une étude montre un impact sur les femmes ne voudraient rien dire, selon vous. Pourquoi pas ? on n'est plus à une ânerie près de votre part. Bientôt vous allez nous sortir la tarte à la crème que d'une corrélation on ne peut déduire une causalité ?

                  Passons maintenant au Nigéria, vous auriez tort de vous en moquer étant donné que nous importons des produits agro-alimentaires de ce pays.

                  Concernant l'agronome, les propos cités sont une vérité qui pourrait être tenue par mme Michu. D'autre part, ses travaux sont en collaboration avec un physicien (j'en ai déjà parlé dans le fil dédié).

                  Vous osez me comparer aux climato-sceptiques alors que c'est vous-même qui usez des mêmes stratagèmes : semez le doute sur des études scientifiques, se servir du fait que toute étude a des limites méthodologiques pour les discréditer, etc.

                  Encore une fois c'est un comportement irrationnel car cela met en jeu votre santé et celle de vos proches.

                    19 jours plus tard

                    SagesseLiberale uniformité de l'exposition dans tous les pays, uniformité des autres facteurs à risques dans tous les pays, deux choses qui viennent à l'esprit immédiatement !

                    Primo, l'essentiel de la production alimentaire post-Seconde Guerre Mondiale provient de l'agriculture intensive qui, partout dans l'hémisphère Occidental, utilise des pesticides de synthèse.
                    Vous tentez donc d'expliquer que les variations de quelques pourcents de certains types de pesticides entre quelques pays pourrait expliquer des écarts gigantesques d'évolution de l'obésité...
                    Grotesque.

                    Secundo, si les autres facteurs noient les effets des pesticides sur l'obésité à une telle échelle, cela confirme donc qu'en "admettant que l'exposition aux produits chimiques joue un rôle dans la croissance du taux de surpoids, il est marginal".
                    Vous produisez donc un argument pour contester mon affirmation... qui en fait soutient mon affirmation.
                    Bravo.

                    SagesseLiberale Je passe sur la ridicule accusation de Cherry Picking

                    C'est tellement "ridicule", que sur le fil d'à côté, où vous avez mis en avant les "travaux" d'un agronome sur le stockage géologique des déchets radioactifs, vous en êtes arrivé au stade où vous voulez faire croire qu'un agronome dont le domaine d'expertise est le goût du pinard, est en fait, expert en géologie.
                    Cela montre bien votre niveau d'honnêteté et que la prétendue assise de vos opinions sur la science relève de la supercherie intégrale.

                    SagesseLiberale Autrement dit ça critique si elle reste intéressante, reste marginale sauf à considérer que les fruits dans la catégorie « haute exposition » n'est aucun bénéfices sur la santé, ce qui contredirait ses propos.

                    Je cite une phrase de Corpet:

                    Cela confirme que certains fruits et légumes sont associés à une bien meilleure protection que d'autres.

                    Donc vous affirmez que Corpet se contredit... tout en ne faisant que redire ce qu'il dit.
                    🤡

                    SagesseLiberale Le fait qu'une étude montre un impact sur les femmes ne voudraient rien dire, selon vous.

                    Le problème n'est pas qu'elle montre un impact sur les femmes. Mais qu'elle montre un effet UNIQUEMENT sur les femmes. Sans raison.
                    Pas trop dur à suivre jusque là?
                    Ce qui tendrait à pointer l'existence de problème d'échantillonage ou d'élimination de facteurs de confusion.

                    SagesseLiberale Passons maintenant au Nigéria, vous auriez tort de vous en moquer étant donné que nous importons des produits agro-alimentaires de ce pays.

                    La France importe plus de produits alimentaires du JAPON (0.2% des importations) que du Nigéria (chiffres 2019).
                    Je m'en moque donc complètement et avec raison.
                    Il n'y a pas un sujet sur lequel je ne vous vois pas vous planter.

                    SagesseLiberale les propos cités sont une vérité qui pourrait être tenue par mme Michu

                    Voilà, montrez votre vrai visage.
                    Le type va prétendre s'appuyer sur la sciÔÔÔÔÔÔnce, pour embrayer sur la "vérité révélée sur laquelle n'importe qui va tomber, ne reposant sur aucune expertise et contradictoire avec toutes les données scientifiques".

                    SagesseLiberale D'autre part, ses travaux sont en collaboration avec un physicien

                    Travaux publiés où déjà?
                    Et le physicien qui trouve des probabilités supérieures à 100%, celui là même?

                    SagesseLiberale Vous osez me comparer aux climato-sceptiques

                    Vous en avez encore donné la preuve avec votre sortie dantesque sur la "vérité" que va nous révéler Mme Michu.
                    C'est le clou final dans votre cercueil, après les deux précédents.
                    La contre-expertise servie par des non-experts, contredisant toute la littérature scientifique, le consensus.
                    L'accusation d'être membre d'un lobby, de faire parti du complot.
                    Pour finir par la "vérité" révélée à tout un chacun, que l'on devine accessible par le simple appel au bon sens.

                    SagesseLiberale semez le doute sur des études scientifiques, se servir du fait que toute étude a des limites méthodologiques pour les discréditer, etc

                    Cuistre puissance 20.000.
                    Sur le fil d'à côté, le même a quand même écrit

                    SagesseLiberale Ca ne remet pas en cause le sérieux de l'étude citée mais pointe ses
                    limites

                    Vu que vous avez pointé les "limites" d'une étude, je dois en conclure que vous l'avez discrédité, c'est bien cela?
                    Ou alors vous, vous avez le droit de pointer les limites d'une étude, mais pas les autres?
                    🤡
                    Et quand j'ai pris les estimations hautes d'une étude estimant l'impact de la pollution atmosphérique sur les cancers du sein en France, et que cela a montré que l'effet était anecdotique, ce n'est pas l'étude qui a été discréditée: c'est vous.

                    SagesseLiberale Encore une fois c'est un comportement irrationnel car cela met en jeu votre santé et celle de vos proches.

                    Vous êtes mal placé pour juger de la rationnalité de qui que ce soit.
                    Et il a été magistralement démontré que vous racontez n'importe quoi sur la santé, les chiffres, et la science en général.

                      • [supprimé]

                      grishka Don't feed the troll.

                      grishka Vous tentez donc d'expliquer que les variations de quelques pourcents de certains types de pesticides entre quelques pays pourrait expliquer des écarts gigantesques d'évolution de l'obésité...

                      D'abord il ne s'agit pas uniquement des pesticides mais des produits chimiques de synthèse.

                      grishka Secundo, si les autres facteurs noient les effets des pesticides sur l'obésité à une telle échelle, cela confirme donc qu'en "admettant que l'exposition aux produits chimiques joue un rôle dans la croissance du taux de surpoids, il est marginal".
                      Vous produisez donc un argument pour contester mon affirmation... qui en fait soutient mon affirmation.
                      Bravo.

                      Vous perdez la tête ! Votre raisonnement serait valable sous l'hypothèse que l'exposition à la mauvaise alimentation manque de sport etc, était constante dans le temps. Hypothèse que vous ne faites pas (vous faites même tout le contraire puisque sinon il n'y aurait pas d'augmentation du taux de surpoids). C'est vous qui vous produisez des raisonnements incohérents en omettant les hypothèses implicites. Encore une fois, manque de rigueur !

                      grishka C'est tellement "ridicule", que sur le fil d'à côté, où vous avez mis en avant les "travaux" d'un agronome sur le stockage géologique des déchets radioactifs, vous en êtes arrivé au stade où vous voulez faire croire qu'un agronome dont le domaine d'expertise est le goût du pinard, est en fait, expert en géologie.

                      J'ai cité les propos d'un agronome qui a travaillé sur le sujet avec un physicien spécialiste du nucléaire, propos que d'ailleurs n'importe qui faisant un minimum de « recherche » pourrait tenir. Autrement dit, des propos assez évidents mais auxquels le directeur de projet se contente de dire « ça n'arrivera pas ».

                      Malheureusement je suis obligé de constater que Corpet se contredit : il dit dans un premier temps qu'on ne peut conclure si l'effet provient de la présence de pesticides ou bien de la composition des catégorie. Ensuite, il nous dit que l'étude confirme que une différence de protection entre les fruits. Autrement dit, d'un côté il dit on ne peut savoir et de l'autre on sait ! c'est contradictoire. J'ajoute que l'étude ne porte pas uniquement sur les cancers contrairement à ce que semble dire Corpet. Ce n'est pas une attaque contre Corpet qui a des intentions louables, il ne veut pas que ce genre d'étude conduise les personnes à moins manger de fruits et légumes en pensant se protéger (ce qui n'est pas la conclusion de l'étude).

                      grishka Sans raison.

                      Visiblement vous n'êtes pas au courant qu'il existe de nombreuses maladies qui vont avoir un effet différent en fonction du sexe alors qu'intuitivement il n'y a aucune raison. Votre conclusion est hâtive (encore une fois manque de rigueur).

                      L'étude sur le Nigéria montre également que les pays développés ont mis sur leur marché, avant de les interdire, des produits extrêmement dangereux, alors que certains étaient présentés comme plus sûr que leur prédécesseurs (tiens c'est toujours le même discours aujourd'hui !)

                      grishka Et le physicien qui trouve des probabilités supérieures à 100%, celui là même?

                      Pouvez-vous expliciter ?

                      grishka Vu que vous avez "pointé les limites d'une étude", je dois en conclure que vous l'avez discrédité, c'est bien cela?
                      Ou alors vous, vous avez le droit de pointer les limites d'une étude, mais pas les autres?

                      Là encore vous surchauffez du citron ! A aucun moment je ne dit que les limites d'une étude la discrédite, je dis que ce sont typiquement les climato-négationnistes qui se servent des limites des études pour les discréditer et que vous faites un peu la même chose.

                        SagesseLiberale D'abord il ne s'agit pas uniquement des pesticides mais des produits chimiques de synthèse.

                        Ce dont on se fout: l'argument est tout aussi valide.
                        Mais vous l'abandonnez en rase campagne.
                        Dont acte.

                        SagesseLiberale Hypothèse que vous ne faites pas

                        🤦‍♂️
                        Mais bien sûr qu'elle est faite: c'est implicite. Et EVIDENT pour n'importe qui de cortiqué correctement.

                        Si je suppose que l'exposition chimique est semblable dans l'hémisphère occidental et que l'évolution de l'obésité est TOTALEMENT différente dans tous les pays de l'hémisphère occidental, c'est donc que l'obésité dépend d'autre(s) chose(s) que l'exposition chimique...
                        Je répète: c'est une EVIDENCE.
                        Et c'est justement ce que j'écris depuis le départ:

                        grishka Conclusion: en admettant que l'exposition aux produits chimiques joue un rôle dans la croissance du taux de surpoids, il est marginal.

                        Je n'avais pas réalisé l'étendue de vos lacunes. C'est vraiment abyssal à ce niveau.

                        SagesseLiberale J'ai cité les propos d'un agronome qui a travaillé sur le sujet avec un physicien spécialiste du nucléaire, propos que d'ailleurs n'importe qui faisant un minimum de « recherche » pourrait tenir. Autrement dit, des propos assez évidents mais auxquels le directeur de projet se contente de dire « ça n'arrivera pas ».

                        Encore une argutie qui montre votre vraie nature, le vrai fond de vos "raisonnements" soi-disant justifiés par la sciÔÔÔÔÔÔÔÔÔnce.
                        On passe de "Attention, suivons les dernières publications, la recherche, les experts" à "vous pourriez le trouver en faisant vos propres recherches". Ben oui, tout le monde il est géologue, ingénieur de structure, tout le monde peut faire ses propres "recherches" (en plus, pas du tout la sortie typique des complotistes).

                        Le directeur de Cigeo n'a pas à répondre autre chose puisqu'il existe des tonnes de publications dans la littérature internationale revue par les pairs pour justifier son avis.
                        Vous savez, la même littérature scientifique que vous brandissez quand cela vous arrange, mais sur laquelle on peut s'assoir en brandissant des "recherches" personnelles pour les mêmes raisons... Dr. Rigoureux.
                        Littérature scientifique à laquelle vous opposez un expert du pinard assisté d'un Polytechnicien qui ne maîtrise pas les probabilités.

                        SagesseLiberale Ensuite, il nous dit que l'étude confirme que une différence de protection entre les fruits.

                        Et si vous lisiez vraiment ce qu'il dit. Pis le comprendre aussi.
                        Car ce n'est pas ce qu'il dit: il dit qu'on savait déjà qu'il y avait une différence de protection entre les fruits.
                        C'est une donnée d'entrée, pas une conclusion de cette étude.
                        Par contre, par construction, cette étude ne peut pas montrer que ses résultats sont dûs aux différences d'exposition aux pesticides OU à un régime de fruits différents. Puisque les différences d'exposition aux pesticides sont dues à des régimes différents.
                        En fait, le problème, c'est que vous ne comprenez rien à rien.

                        Autre limite de cette étude: elle trouve une différence de mortalité mais pas de différence d'incidence. Ce qui est quand même fort étonnant.

                        SagesseLiberale Visiblement vous n'êtes pas au courant qu'il existe de nombreuses maladies qui vont avoir un effet différent en fonction du sexe alors qu'intuitivement il n'y a aucune raison.

                        Essayez encore Dr. Rigueur: il ne s'agit pas de maladies qui vont avoir un "effet différent", mais d'une maladie qui n'apparait pas DU TOUT chez les hommes.
                        Donc argutie complètement à côté de la plaque.
                        Merci, au revoir.

                        SagesseLiberale L'étude sur le Nigéria...

                        On s'en tape, car contrairement à ce que vous racontez, nous ne consommons pas de produits agroalimentaires du Nigéria, et ce qui s'y passe n'a donc absolument aucune incidence sur la santé en France.
                        Vous embrayez très "subtilement" sur un autre sujet pour noyer le poisson.

                        Vous avez dit:
                        "se servir du fait que toute étude a des limites méthodologiques pour les discréditer"
                        Pointer les limites des études, c'est comme la chasse: il y a les bons pointeurs de limite et il y a les mauvais pointeurs de limite.
                        Le bon pointeur, il pointe les limites... mais c'est bien! Et le mauvais pointeur, il pointe les limites... mais c'est mal!
                        Tout est plus clair maintenant.