Independance Day
Ca raconte la guerre entre les ET et les Etats Unis of America, vu que les autres ne comptent pas, ou alors, ils sont trop nuls. Bien sur, le président Coty tente de sauver la Tour Effel, et Staline fils le Kremlin, mais laisse toute espérance. Pas moyen de lutter contre les martiens, surtout si on n’est pas membre de l’élite évangélique.
Ok. C’est une fiction.
On en a confirmation en découvrant le Trump du film, qui n’est pas un vieux prévaricateur obsédé sexuel, ou un vieux bidon usé, mais un Obama jeune, et, de surcroit, blanc et pilote de chasse.
Et pas du genre à dire : « Allez-y les gars, on vous regarde de loin ». Non, lui, il monte en première ligne, même si ce sont un black et un juif qui réalisent l’exploit final : Exploser la tronche de ces bout… d’aliens.
On devine sans peine le fait que le black retrouve ensuite sa basanée (mais un peu plus claire), et le juif sa juive, vu qu’il ne faut quand même pas exagérer. Chacun chez soi, et les vaches hallal seront bien gardées.
Hallal est un mot qui signifie : Egorgé cruellement. Mais c’est pour faire plaisir à Dieu, qui est quand même un peu niais.
C’est bon ? Je me suis fâché avec tout le monde ?
Bref.
Le truc qui me frappe le plus dans ce genre de film, c’est que les américains sont persuadés du fait que toutes les créatures de l’univers raisonnent comme eux, à savoir : Quand on rend visite à son voisin, c’est pour lui exploser la tronche.
Pas ben pertinent, si vous voulez mon avis, vu que des ET aussi nuls que les américains auraient détruit leur planète bien avant de découvrir le voyage interstellaire. Et aussi…Vous vous imaginez voyager cinquante ans avec Trump et Biden ? Je me demande lequel des deux je flinguerais en premier. Les américains se sont posé la même question, il y a peu. Barrabas ou Oui-Oui ? Le vieux satyre ou le vieux tout court ? Quatre ans de tweets débiles (de plus), ou la guerre civile ? Même pas besoin de martiens pour tout péter. Ca fait rêver.