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  • Modifié

Kruiss38 Bonjour,

Je remarque que vous évitez de parler des titres qui se sont effondrés. Sur l'annuaire Morningstar qui regroupe plus de 30 000 fonds internationaux ( obligataires, etc ) l'amplitude des performances affichées se situent entre -50% et 50% dans 99% des cas. Donc parler de profits boursiers uniquement du côté des gains possibles est une vision totalement faussée dont on connait les intentions.

Enfin si vous connaissez un bon broker sur des titres Américains (NASDAQ) n'hésitez pas à me le recommander.

Cordialement.

    • [supprimé]

    katou Bonjour,

    Ca va faîtes monter la mayonnaise. Faut pas pousser tous les pays sont confrontés aux mêmes restrictions.

    Cordialement.

    [supprimé] Bon je ne vais pas m'étendre sur le sujet, mais les marchés financiers mondiaux grimpent majoritairement encore et toujours même si c'est totalement amoral. Ils pèsent aujourd'hui plus de 100 000 milliards de dollar et sont totalement déconnectés de l'économie réelle (depuis Bernanke en 2009), grâce aux injections infinies des banques centrales, prises au piège à leur propre jeu, car elles ne peuvent plus s'arrêter sous peine d'effondrement....
    Ceci dit je serais étonné d'un emballement haussier cette année.
    https://fr.investing.com/indices/msci-world

      [supprimé] Le type est tellement narcissique et imbu de sa petite personne qu'il en devient méprisant et odieux , sa vraie nature .

      Le fascisme c’est le mépris, inversement toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme. (Albert Camus)

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        Kruiss38 les marchés financiers mondiaux grimpent

        Les dividendes nous procurent de la joie.

        Il est clair que les Français font de moins en moins confiance à la gouvernance actuelle.
        Si un autre confinement nous est imposé, ça risque de déraper socialement.
        A Matignon, ça doit cogiter pour prendre la décision.

        katou Un sage, Albert Camus.

        Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde, est la citation la plus souvent citée d’Albert Camus.

          gth Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde, est la citation la plus souvent citée d’Albert Camus.

          Je suis une camusienne depuis le collège.

            • [supprimé]

            katou Je suis une camusienne depuis le collège.

            Ben sincèrement, ça ne se devine pas, au fond de la prod personnelle.

            TU m'aurais dit "je suis une hanounienne" ou "je suis une morandinienne" là je ne disais rien

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              katou Je suis une camusienne depuis le collège.

              Ah tiens, voilà maintenant qu'on étudie Sisyphe enfermé dans le Tartare en collège.

                • [supprimé]

                [supprimé]

                Gianni Drogo n'a jamais poussé de rochers inutilement, tu exagères

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                Et faudrait ne pas se moquer.
                Lulu, interne en SEGPA dans le 44 : je suis nitchéhain.

                La bêtise en l'occurrence est d'imaginer que Camus ou Nietzsche sont des sages...

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                  af90

                  Pour beaucoup, la sagesse se tire de la réflexion.

                  La bourgeoisie a récupéré Camus
                  Le nazisme a tenté de récupérer nietzsche

                  • af90 a répondu à ça.
                    • [supprimé]

                    En plus, oui.
                    Plus barré que Friedrich, tu prescris de la chloroquine.

                    • af90 a répondu à ça.
                      • [supprimé]

                      af90 La bêtise en l'occurrence est d'imaginer que Camus ou Nietzsche sont des sages...

                      Celui qui n'a pas lu est plus libre que celui qui a lu : il peut tout imaginer de l'auteur.

                        • [supprimé]

                        [supprimé]

                        [supprimé] Celui qui n'a pas lu est plus libre

                        A connaissance accrue, souffrance accrue, non?

                        Voilà ce que c'est d'être un pays plein de connaissances, les Français souffrent plus que n'importe qui d'autre!
                        haha

                        [supprimé]
                        La réflexion est le travail de l'intelligence : elle progresse en se posant des questions, en se nourrissant soit de l'expérience, soit des ouvrages lus. Le philosophe est un contemplatif ou spéculatif : face au monde, il s'émerveille de tout, se pose des questions incessamment, et tente d'y répondre. Il est l'homme qui est en perpétuelle recherche du vrai. J'aime bien personnellement comparer le philosophe à un jeune enfant de deux ou trois ans, qui ne cesse de poser la question : "pourquoi". Agaçant à la longue, j'en conviens, mais une tendance à entretenir, à encourager.

                        Je ne retire pas les quelques mérites des deux auteurs en question. Nietzsche par exemple est un excellent critique, à défaut d'être plus : précisons cependant, qu'il y a un gouffre entre un homme qui peut critiquer, même justement, et un homme capable de développer une doctrine intéressante.