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Je pense réellement que les restrictions actuelles nous permettront d'éviter un emballement intenable pour l'hôpital.
C'est le but principal des dispositions de freinage.
Certes nous ne sommes pas à l'abris d'une croissance importante des contaminations, il faut savoir rester humble face à l'inconnu mais ces dispositifs ont l'avantage de nous faire gagner du temps et donc nous laisse plus de temps pour intervenir.
En mars 2020 avec un niveau d'immunité collective très faible et un confinement assez tardif sans restriction auparavant, nous avons pu maitriser les choses, peut être que la saison chaude nous a aidé mais en 3 semaines nous avons enrayé l'épidémie. Et il n'y a pas eu d'apocalypse épidémique.
En octobre 2020 avec un couvre feu à 21 h seulement sur une partie du pays et un confinement très tardif (nous étions au pic), nous avons maitrisez la tension dans les réanimations avec un confinement léger (avec probablement l'aide du couvre feu partiel).
Maintenant que nous sommes à un niveau d'immunité collective probablement autour de 25%, avec les dispositions de freinages et la vaccination, je pense qu'on peu tenter le statu-quo.
Si jamais ça devait être trop tendu dans certains endroits, on peut confiner localement par département.
Nous encaissons tout de même un nombre de contamination autour de 400 à 500 k par semaine.
C'est la stratégie de vivre avec le virus avec une tension hospitalière acceptable en essayant de préserver tant que peu l'économie.