tiresias Sans l'être, il me paraît qu'il suffit de cartographier des génomes sur un échantillon significatif des malades (et les moyens techniques le permettent désormais en quelques jours) puis de comparer avec la BDD des génomes déjà enregistrés, et de croiser cette observation avec les stats de morbidité relevées en permanence par le système hospitalier.
Et les gens meurent du covid en quelques jours aussi.
Problème d'arithmétique aussi. Décidément, toutes les qualités.
Surtout qu'il "suffit" de faire des prélèvements sur des centaines -voire des milliers- de patients dans toute la France, le truc matériellement très simple et rapide, bien sûr.
Puis de rapatrier tout cela, de l'analyser. Pouf, en quelques jours.
Votre position relève de la bêtise stratosphérique.
Et de l'ignorance totale de l'organisation d'une démarche expérimentale, sans parler de la démarche scientifique.
PS: sans compte qu'en plus, ils organisent ce truc simplissime à organiser toutes les 3 semaines.
Il suffisait d'y penser. Je pense qu'il doit y avoir un employé de l'IHU dans chaque établissement hospitalier de France.
PPS: et je ne rentre même pas dans les détails évidents. C'est à dire qu'il faut littéralement des centaines de patients pour pouvoir faire une comparaison sensée de la mortalité, puisqu'il faut comparer des cohortes comparables. Qui dans le cas de maladies/virus avec des létalités/virulence/etc différentes impliquent l'impossibilité de corriger les différences de population. Plus on y réfléchit, plus c'est simple à réaliser.
PPPS: on me dira, le guignol de l'IHU en question à passer des semaines à comparer des taux de mortalité entre régions sans corriger quoi que ce soit...