Au cours de cette pandémie on assiste à un curieux spectacle.
Nous avons le droit de nous faire vacciner ou pas. Mais cette liberté, octroyé par le droit du fait de l ' absence d ' obligation légale de se faire vacciner est contestée car nous avons le devoir de nous faire vacciner. Pour que nous nous soumettions à ce devoir, faute d 'une obligation légale , nous avons subit des pressions dignes des " deux minutes de la haine" décrites dans le roman " 1984 " : le président en personne disant nous emmerder, un de ses sbires affirmant que les non-vaccinés devraient payer leurs frais d 'hospitalisation.
Le fait que les devoirs doivent dans l 'avenir passer avant les droits semble devoir se généraliser .
Le porte parole du gouvernement a déclaré : « Dans l'après-Covid,..............On veut aussi poursuivre la redéfinition de notre contrat social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l'autorité aux prestations sociales. » ( https://amp.lepoint.fr/2462590 ). Emmanuel Macron, celui qui e..... les non-vaccinés , avait déjà abondé en ce sens lors de ses vœux pour 2022 (voir : ).
Jean Quatremer, journaliste à Libération résume le problème : " La gestion de la pandémie par Emmanuel Macron aboutit à la mise en place d’un Etat de plus en plus autoritaire et de moins en moins respectueux des libertés fondamentales qui fait sortir la France du champ des démocraties libérales. Et c’est désormais théorisé et assumé ( https://twitter.com/quatremer ).