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Il y en bien du vrai dans les choses dites.
Et j'ajoute pour ma part, que la délinquance dans la population d'origine étrangère, est l'erreur dans la chaine de fabrication d'un consommateur-électeur idéal parfaitement adapté à l'état providence.
C'est principalement l'idée que la situation résulte de facilités, d'incompétences, d'irresponsabilités, le tout dans le contexte d'une philosophie générale contemporaine qui ne brille pas par ses subtilités.
Car la république socialisante que nous vivons en gros depuis l'ère Mitterrand en avait rêvé, de ce citoyen qui saurait répondre avec ses bulletins aux besoins d'un socle électoral facile à manipuler. Il suffisait de le gaver lui et sa famille de prestations sociales, de logements à bon marché avec prise en charge de tout. En retour il alimentait de ses votes le système qui au quotidien le nourrit et le protège, il procurait cette substantifique partie des voix bien plus facile à convaincre qu'un électorat plus élaboré.
Et pour formater un citoyen-consommateur, quoi de mieux qu'il parte de zéro ? C'est bien plus facile de gérer des citoyens peu gâtés en culture que les descendants de nos lignées historiques qui finissaient par prendre peu trop de bagages philosophiques et un peu trop d'ambitions spirituelles pour satisfaire à la grande planification de l'être humain programmée par les élites.
Le souci est que les élites, n'étaient pas si élites que ça et que cette organisation utopique a produit un modèle de société monstrueux.
Peu importe, l'homme et la femme politique carriéristes n'ont pas été inquiétés pour leur propre destin matériel, bien au contraire ils ont toujours quitté les fonctions avec reconnaissance et subsides garantis jusqu'à la mort. Ils continuent à vivre cela, ces petits et ces grands fonctionnaires, ces politiques aussi, car jamais personne ne leur demandera des comptes au delà d'un certain point, et personne ne saura quantifier exactement leur responsabilité dans ce pathétique bilan.
Finalement, ce n'est pas si difficile que ça que de merder.