James Puisque tu ne fais pas vraiment d'efforts, je remet l'article concerné:

Article 5 En savoir plus sur cet article...

La déclaration de l'état d'urgence donne pouvoir au préfet dont le département se trouve en tout ou partie compris dans une circonscription prévue à l'article 2 :

1° D'interdire la circulation des personnes ou des véhicules dans les lieux et aux heures fixés par arrêté ;

2° D'instituer, par arrêté, des zones de protection ou de sécurité où le séjour des personnes est réglementé ;

3° D'interdire le séjour dans tout ou partie du département à toute personne cherchant à entraver, de quelque manière que ce soit, l'action des pouvoirs publics.
Les préfets et sous-préfets sont sous l'autorité directe du ministre de l'Intérieur et sont les représentants personnels de chacun des ministres.

jack127

Je pense que tu n'as toujours pas compris.
Explique moi ce qui permet au ministre de l'intérieur, chargé de faire respecter les lois, et donc l'état d'urgence, de dire qu'il y a des manifestations permises alors que l'état d'urgence les interdit.
Que l'émotion est plus importante que la loi.

nos héros portent plaintes contre le représentant de la secte des soumis

James Ce n'était pas le reproche de départ qui m'était imputé et je ne voie toujours pas l'intérêt de vouloir minimiser le rôle du ministre de l'intérieur sous prétexte que vous n'aimiez pas Castaner.
Le choix d'autoriser ces manifs est évidemment discutable mais le combat pour l'égalité et la justice nous concerne tous et pas seulement les gens de couleurs mais également les classes populaires au détriment de celles dominantes donc nous devrions nous sentir tous concernés au lieu de nous diviser.

jack127
Ben justement, pourquoi autoriser des manifs de black et interdire les autres sous prétexte sanitaire.
La république est indivisible, si je ne m'abuse.

jack127 le combat pour l'égalité et la justice nous concerne tous et pas seulement les gens de couleurs mais également les classes populaires au détriment de celles dominantes donc nous devrions nous sentir tous concernés au lieu de nous diviser.

Suis pas concerné, mais alors pas du tout...

corsica

Tout ça c'est caduc , depuis l'hallucinant ministre de l'intérieur qui a déclaré que "l'émotion était supérieure au droit ". Le type s'est juste torché les fesses avec l'état de droit , ça légitime même l'expédition punitive des tchétchènes .

[supprimé] ça justifiera sa tête sur une pique… 8-0
Je suis un émotif, c'est comme ça, on n'y peut rien!!!

omega95 Les fils d'esclaves qui gueulent dans les rues en savent autant sur l'esclavagisme que les apprentis djihadistes en savent sur le Coran et l'Islam....

Et que ceux qui votent le Pen en savent sur l'extrême droite.

Vois pas de rapport entre MLP et l'extrême droite. Le discours qu'elle tient n'est pas plus à droite que celui de Pompidou dans les années 70, et même sûrement plus à gauche que ce que faisait De Gaulle.

tiresias Donc vous faites partie des classes privilégiées.

corsica Il a sans doute voulu désamorcer la situation en autorisant ces manifs, calcul politique aussi sans doute.

agri-info-intox
Le sens de l’expression « extrême droite » varie selon celui qui l’utilise.
Comment doit-on définir l’extrême droite ?

Sargon Le sens de l’expression « extrême droite » varie selon celui qui l’utilise.
Comment doit-on définir l’extrême droite ?

Ce petit texte répondra peut-être à tes préoccupations pour définir l’extrême-droite.

Les caractéristiques générales
À partir du cas de la France, Michel Winock (2004) donne les neuf caractéristiques suivantes aux mouvements d’extrême droite qui découlent du discours de la décadence, « vieille chanson que les Français entendent depuis la Révolution » :

• « la haine du présent », considéré comme une période de décadence ;
• « la nostalgie d’un âge d'or » ;
• « l'éloge de l’immobilité », conséquence du refus du changement ;
• « l'anti-individualisme », conséquence des libertés individuelles et du suffrage universel ;
• « l'apologie des sociétés élitaires », l'absence d’élites étant considérée comme une décadence ;
• « la nostalgie du sacré », qu'il soit religieux ou moral ;
• « la peur du métissage génétique et l’effondrement démographique » ;
• « la censure des mœurs », notamment la licence sexuelle et l'homosexualité ;
• « l'anti-intellectualisme », les intellectuels n’ayant « aucun contact avec le monde réel » (Pierre Poujade).