• [supprimé]

  • Modifié

Bonjour,

On pourrait couper la poire en deux. D'un côté les pays du Nord avec l'Euro et de l'autre les pays du Sud avec la Lire ou le Franc. Pour les pays du sud ce serait plus avantageux d'avoir une monnaie faiblarde afin de faciliter l'endettement. A la sauce Italienne un endettement à 4% de taux d'intérêt à l'aide d'une monnaie qui dévalue de 15% par an. Les mirages de Pinocchio.

Cordialement.

Nettoyage de quelques attaques personnelles et autres trollages récents.

Je crois que j'ai touché juste sur l'économie à la façon de nos entrepreneurs fonctionnariaux.
L'économie "administrée" un rêve: il y a de l'administration dans "administré".

    filochard Je crois que j'ai touché juste sur l'économie à la façon de nos entrepreneurs fonctionnariaux.
    L'économie "administrée" un rêve: il y a de l'administration dans "administré".

    Un renard libre dans un poulailler libre n’est pas le nec plus ultra d’une politique économique.

      gth
      Oui oui, la liberté c'est forcément la liberté du renard dans le poulailler.
      Dire ça est un des multiples réflexes de Pavlov typiques de notre conditionnement socialiste, sans offense.
      Oui la Liberté est un risque, un beau risque, maitrisable intelligemment,

      filochard Je crois que j'ai touché juste sur l'économie à la façon de nos entrepreneurs fonctionnariaux.
      L'économie "administrée" un rêve: il y a de l'administration dans "administré".

      On comprend rien à ce que tu bafouilles ...

      https://www.marianne.net/economie/si-un-projet-echoue-il-faut-oser-y-mettre-fin-un-ancien-ministre-neerlandais-prone-la-fin?utm_source=nl_quotidienne&utm_medium=email&utm_campaign=20200526&xtor=EPR-3&_ope=eyJndWlkIjoiOWU0NmZkYjM3YTY4NTAzZWMwMjdmNzM3OTdhM2QyZDcifQ%3D%3D

      Dans cet entretien destiné à promouvoir son nouveau livre sur un "capitalisme sorti des rails", Bert de Vries se prononce publiquement pour la fin de l'euro, et dénonce les impasses de la construction européenne. Un message d'autant plus fort qu'il émane d'un homme qui fut l'un des moteurs du lancement de la monnaie unique lorsqu'il était membre du gouvernement néerlandais entre 1989 et 1994. Aujourd'hui, l'octogénaire regrette que son ancien parti, qu'il accuse d'être devenu "trop peu sensible aux difficultés croissantes de la population", ait abandonné la défense de "l'Etat-providence et d'une économie mixte" au profit du "néolibéralisme".

      "Nous n'obtenons plus d'intérêt sur nos épargnes, nos pensions sont réduites, les entreprises sont encouragées à s'endetter, tout cela pour maintenir les taux à un niveau assez bas pour que la dette publique italienne reste abordable."

      Il y a les filochard et il y a ceux qui connaissent leur sujet et en parle ...

        Le clou de l'article !!! Qui comme nous a bien compris l'utilité d'une monnaie nationale :

        Outre les difficultés posées par l'euro, Bert de Vries évoque également les avantages offerts par un retour aux monnaies nationales : "Vous donnez aux pays des outils financiers entre leurs mains, par exemple les armes de dévaluation et de réévaluation". Il évoque ainsi la possibilité pour les pays du Sud de dévaluer leur monnaie afin de faciliter leurs exportations et d'alléger le poids de leur dette publique, mais aussi les réévaluations auxquelles pourraient procéder les Pays-Bas et l'Allemagne.

        Esscobar On comprend rien à ce que tu bafouilles ...

        inutile - T

        Ton article n'est qu'une opinion pas une vérité. (et tu l'as déjà posté, problème de mémoire ?)
        Je ne conteste pas qu'il se pourrait bien qu'il ai raison: l'euro est un échec, en tout cas pour nous. Mais, et c'est la discussion depuis le début, à cause de nous, de nos mauvais fondamentaux, pas à cause de l'euro en soit. La France aurait été gérée correctement, l'euro nous aurait été profitable à nous aussi.

        Enfin la sortie de l'euro aurait comme conséquence de faire grimper les taux d’intérêts en flèche ce qui rendrait notre état incapable d'emprunter, c'est toujours ça de gagné.
        L'état serait certes capable de fabriquer de la monnaie de singe en masse, comme au Venezuela.

          filochard Ton article n'est qu'une opinion pas une vérité. (et tu l'as déjà posté, problème de mémoire ?)

          Allons, d'un côté nous avons un gusse qui a passé sa scolarité à jouer avec ses crottes de nez et de l'autre un ancien ministre aux pays-bas ... Alors à qui vais-je accorder une crédibilité ?

          filochard Je ne conteste pas qu'il se pourrait bien qu'il ai raison: l'euro est un échec, en tout cas pour nous. Mais, et c'est la discussion depuis le début, à cause de nous, de nos mauvais fondamentaux, pas à cause de l'euro en soit. La France aurait été gérée correctement, l'euro nous aurait été profitable à nous aussi.

          Oui bien sûr le pousse-pallette va encore se croire en position de nous expliquer l'€ et que c'est nous qui l'avait mis à genou ... Mais bien sûr ... Alors que c'est bien l'€ qui nous met à genou comme le dit l'ancien ministre, la politique budgétaire c'est adapté pour maintenir l'€ et cela dès le début !

          filochard Enfin la sortie de l'euro aurait comme conséquence de faire grimper les taux d’intérêts en flèche ce qui rendrait notre état incapable d'emprunter, c'est toujours ça de gagné.

          Tu fais dans la spéculation chimérique, de l'invocation ... Après l'inflation dans une économie saine en suivant le système actuelle est nécessaire, certes en restant modéré !

          filochard L'état serait certes capable de fabriquer de la monnaie de singe en masse, comme au Venezuela.

          Oui c'est bien connu, la France c'est le Vénézuéla ....

            Esscobar On comprend rien à ce que tu bafouilles ...

            Esscobar Allons, d'un côté nous avons un gusse qui a passé sa scolarité à jouer avec ses crottes de nez

            Esscobar Oui bien sûr le pousse-pallette

            C'est un plaisir de discuter avec toi.

              prof Ce forum reste un lieu d'échanges et de convivialité,

              filochard C'est un plaisir de discuter avec toi.

              De rien tu reçois la réciprocité de tes interventions 😉 .

              Maintenant il faut bien que tu comprennes, qu'on se moque de tes gesticulations ou même des miennes, il faut laisser parler ceux qui connaissent leur sujet, et la grande majorité s'accorde à le dire et pour cause, l'€ n'est pas et ne sera jamais viable pour les pays du sud de l'Europe et pour la France ... Et ce constat se pose là dans les faits ! Et l'on comprend aisément la chose lorsque l'on sait pourquoi un pays se doit d'avoir SA propre monnaie !

              Point final, fin du jeu et de la plaisanterie, que la France doivent faire des efforts sur certains points c'est évident, j'ai de la proche famille qui travaille à son compte, donc oui je suis au courant des handicaps qu'ils vivent, notamment les prélèvements, mais qui sont là avant tout pour compenser les traumatismes de l'€ sur notre économie !

              Ou part le pognon ?

              Ainsi, les systèmes de santé d’un côté et de l’autre du Rhin donnent un bon aperçu des stratégies choisies par les deux États européens. L’un comme l’autre y consacrent à peu près la même proportion de leurs revenus (autour de 11,5 % du PIB) mais les résultats sont quelque peu différents : du côté germanique, l’organisation fait la part belle à la subsidiarité et au secteur privé (plus de 90 % des chefs d’établissements hospitaliers sont des entrepreneurs), pendant que le côté français a choisi l’organisation centralisée, jacobinisme oblige, dans lequel l’hôpital est dirigé par un fonctionnaire. Le personnel administratif représente moins d’un quart (24 %) des effectifs en Allemagne, là où plus d’un tiers (35 %) se bouscule en France pour tamponner des petits papiers indispensables à la survie des malades.

              La faute à l'euro certainement.


              40 ans de choix pourris

              ...
              Il est assez manifeste que les indéboulonnables pleurnicheuses syndicalisées et politisées qui nous entretiennent partout des abominables coupes budgétaires dans la santé publique nous enfument très largement, probablement pour cacher l’évidente gabegie de la bureaucratisation galopante de tout le système.
              ...
              Une seconde question vient alors bousculer immédiatement la première. Malgré l’évidence de ces dépenses somptuaires qui n’aboutissent absolument pas à un service de qualité en face, le système en place n’en vaut-il pas la peine ? Est-ce qu’en réformant par-ci, par-là, en nettoyant un peu les tubulures chromées qui vont de tous ces petits portefeuilles de contribuables à toutes ces strates administratives aux odeurs naphtalinées, ne pourrait-on pas améliorer la situation et sauver tout ce qui peut l’être d’un système qui, on nous le répète encore maintenant, fait des envieux partout dans le monde, si, si ?

              Là encore, l’examen des chiffres bruts ramène à la réalité comme un coup de pelle derrière la nuque ramène à plus de pragmatisme.

              En effet, comme l’a fait ce fort intéressant article si l’on examine par exemple le pouvoir d’achat du Français moyen depuis les années 1960, on observe un phénomène troublant : les Trente glorieuses faisaient la part belle à l’initiative personnelle dans un environnement légal relativement simple, une administration frugale et un système social léger. Il s’en est suivi que le revenu moyen annuel d’un Français est passé de 9900 euros en 1960 à 19 300 euros en 1980, et ce malgré la crise de 1973, ce qui revient quasiment à un doublement.

              De 1980 à 1990, période bénie des socialistes où les codes de lois se dilateront, les interventions de l’État furent épiques, et le système social enflera en importance et en ponctions de tous les côtés, ce même revenu n’a progressé que de 8 % (pour passer à 20 900 euros) ce qui est tout sauf phénoménal. Les 14 années suivantes, qui virent notamment l’introduction des 35 heures et d’un monceau d’autres âneries du même acabit, permirent d’atteindre 22 900 euros ; la progression est tout sauf fulgurante.
              ...
              Soyons clairs : non, personne n’envie vraiment le système social français qui a tout d’un village Potemkine. Il fait rêver ceux qui ne le connaissent pas, ceux qui ne le financent pas, ceux qui en profitent, mais fait cauchemarder ceux qui le payent, ceux qui le subissent et ceux qui en sont victimes.
              ...
              https://www.contrepoints.org/2020/05/29/372410-40-ans-de-choix-pourris

              Conclusion:

              La seule vraie question est maintenant de savoir si l’on doit ou non conserver ce système, celui qui consiste à collectiviser tout ce qui peut l’être, qui consiste à monopoliser par le public ce que le privé sait faire en concurrence, qui consiste à retirer progressivement mais inexorablement la responsabilité de chacun pour la remettre à d’obscures administrations qui décideront de tout par des processus bureaucratiques de plus en plus complexes.

              Comme, manifestement, il ne sera jamais question de revenir en arrière, le choix de conserver ce système sera donc fait. Soit. Dans ce cas, tout le monde devra assumer : comme à chaque fois lorsque la bureaucratie gagne, les choses iront de pire en pire. Mordez votre chique et n’en parlons plus.

              Si, en revanche, ce choix n’est pas assumé mais subi, si, tous, nous nous faisons endormir par les subventions, les aides et les promesses, bref, les carottes faciles, la peur des PV et des sanctions, les coups de LBD dans la figure, bref, les bâtons habituels, alors la question suivante est : comment voulez-vous que tout ceci se termine bien ?

              un mois plus tard

              Et la gabegie continue, alors même que le tribunal allemand constitutionnel de Karlsruhe alerte sur les dérives à répétition du système européen ...

              https://www.upr.fr/actualite/une-information-essentielle-passee-sous-silence-dans-les-medias-francais-le-nouveau-programme-de-rachats-dactifs-de-la-bce-le-pepp-est-a-son-tour-attaque-devant-le-tribunal-de-karl/

              Le fait politique essentiel est que le Tribunal constitutionnel de Karlsruhe va donc avoir maintenant à juger le PEPP, comme il l’a fait le 5 mai dernier pour le PSPP.

              Or, les juges allemands ne disposent quasiment d’aucune marge de manœuvre.

              Compte tenu des critiques virulentes qu’ils ont déjà faites au PSPP et de l’ultimatum qu’ils ont lancé à la BCE, on voit mal comment ils pourraient prononcer autre chose qu’un jugement encore plus sévère pour le PEPP. Et peut-être même, cette fois-ci, une interdiction immédiate faite à l’Allemagne de participer à ce PEPP qui piétine allègrement les deux garde-fous du plafond de 33% de dettes et de la clé de capital rappelés supra.

              Ami du sport, voilà qui promet d'être passionnant !