[supprimé] . La France ne tient que par ses fonctions publique et territoriale,
LOL !
ça fait longtemps que t'es pas venu visiter la terre apparemment.
[supprimé] . La France ne tient que par ses fonctions publique et territoriale,
LOL !
ça fait longtemps que t'es pas venu visiter la terre apparemment.
filochard Les fonctionnaires n'ont aucune culture du résultat.
Dans les grosses boites, dans les niveaux hiérarchiques intermédiaires, non plus! La culture du processus est devenue la règle.
Un manageur doit vérifier que ces gars sont bien aller chier tous les jours mais en aucun cas il ne s'attache à savoir si cela s'est bien passé; son indicateur de processus passe au vert dès qu'ils sont tous allés à la selle!
Ah. Ca y est. Les cocos syndiqués, confinés en retrait, qui en branlent pas une, l'ouvrent.
Les dividendes, en principe, c'est pour l'année dernière. S'ils ont fait des méga-bénéfs : ils ont sacrément intérêt à me verser les dividendes qu'ils me doivent.
Ou alors le patron, il se fait foutre à la porte un coup de pied là où je pense (et le suivant est prié de corriger le tir).
Rien à cirer du Covid19. Déjà que les actions ont baissé de façon outrancière... et que le confinement-future dette va me coûter un max de la faute de ce gvt d'incapabales. Il manquerait plus qu'on ne me verse pas mes dividendes dues.
Esscobar Tant que tu n'ouvres pas le capital à d'autres, tu as une entreprise et pas d'actions
Pour associer capital et travail, il faut être au moins deux...
Une société par actions peut fonctionner avec deux associés. Tu confonds société ouverte et société fermée, la première s'ouvrant à l'épargne publique par l'émission d'actions que l'on peut acheter ou vendre. Mais même dans une société fermée, où l'agrément des autres actionnaires est nécessaire pour entrer dans la société, les porteurs de parts vont exiger une rémunération de leur apport.
Toutes les entreprises capitalistes fonctionnent sur le principe de la rémunération du capital investi.
James Mais pourquoi écris tu des trucs pareils ???
Parce que je sais faire la différence entre ce qui compte et les détails, et que j'ai précisé juste avant qu'il y a quand même des missions très spécifiques que je n'incluais donc pas dans cette généralité, je pense aux forces de l'ordre, à l'armée.
Pour le reste ce qui compte c'est que ce sont des constructions humaines, et dans toute construction humaines il y a des constantes, public ou privé ne change rien. Vous n’êtes pas des martiens, ce qui marche dans le privé a de bonne chances de marcher dans le public. L'inverse est vrai tu me diras, sauf que dans le privé il existe un Darwinisme qui n'existe pas dans le public ce qui fait que les monstres administratif ou les voies sans issus ont tendance à disparaitre contrairement au public.
Toute structure humaine se dégrade en marchant, et doit donc être réparée constamment, en marchant. Le public ne sais pas faire ça, du moins en France, la faute au status, à des syndicats pourris, çà une mentalité de plus en plus mauvaise, à des politiques lâches et eux mêmes fonctionnaires de toute façon, ils ne connaissent que ça.
sangtriste Dans les grosses boites, dans les niveaux hiérarchiques intermédiaires, non plus! La culture du processus est devenue la règle.
C'est vrai. C'est pour ça que je me suis cassé de la grosse boite ou je bossais.
Ce n'est pas un signe de bonne santé de l'entreprise.
... De toute façon, pas la peine de chipoter, en cas de besoins impérieux il y aura toujours des réquisitions (ça a toujours été comme ça partout).
filochard LOL !
ça fait longtemps que t'es pas venu visiter la terre apparemment.
Il fait partie des gens qui croient que les poutres tiennent d'elles-mêmes, sans besoin de poteaux.
[supprimé] ... De toute façon, pas la peine de chipoter, en cas de besoins impérieux il y aura toujours des réquisitions (ça a toujours été comme ça partout).
Besoins impérieux crées par le gouvernement lui-même. C'est l'autosuffisance qui exige qu'on l'aide.
Donc en gros, on doit se démerder soi-même faute de facilités en haut lieu, et même avec interdiction d'en avoir, et par contre, il faut en plus qu'on porte secours au même pouvoir d'incapables. Triple punition.
Faudra les baisser bien bas pour arriver à l'atteindre.
JeannotLapin Besoins impérieux crées par le gouvernement lui-même.
... C'est comme ça dans tous les pays démocratiques (qui se soucient d'autrui) ... sinon il faut que tu votes pour un parti Pro-Oligarchie (ou Pro-UE, c'est le tremplin).
C'est drôle que ce sujet qui devait parler des dividendes du CAC 40 dérive autant sur la fonction publique.
La névrose. Ses chemins souffrent d'ornières profondes.
James C'est drôle que ce sujet qui devait parler des dividendes du CAC 40 dérive autant sur la fonction publique.
Il s'agit d'un sujet sur la jalousie donc rien de bien anormal!
sangtriste Il s'agit d'un sujet sur la jalousie
Que dire alors des fonx qui sont actionnaires de sociétés du CAC40 ?
L'état pour financer sa gabegie en est à emettre des "dettes perpétuelles", en gros des dettes qu'on ne rembourse jamais, mais dont on verse les intérêts.
ça ressemble furieusement aux actions non ?
L'imagination de cet état pour perpétuer sa décadence est remarquable.
sangtriste Il s'agit d'un sujet sur la jalousie donc rien de bien anormal!
Tout différentiel est potentiellement sujet à jalousie légitime ... et si les différentiels sont abyssaux, la jalousie est légitimement plus forte encore. C'est du factuel.
Dans une même espèce et d'autant plus en tant que concitoyens, certains ne peuvent pas mourir de faim pendant que d'autres sont toujours dans l'opulence (à moins d'être atteint de misanthropie et de se soustraire de l'espèce)
James affirmer qu'il n'y a pas de politique RH dans la fonction publique
Ne jouez pas sur les mots, vous avez très bien compris où je veux en venir. Il ne peut pas y avoir de management RH sans un système crédible de sanctions/récompenses, qui est ~ absent pour les fonctionnaires. Je ne développe pas, vous le reconnaissez plus haut.
Par ailleurs je ne partage pas votre avis sur les missions et le statut. Aujourd'hui pour l'essentiel le problème n'est pas les missions, mais le statut et les privilèges qui y sont associés. Comment voulez-vous assurer quelque mission que ce soit, avec 18% d'absents chaque jour, et des boulets invirables qui ne font même pas leurs 35h effectives??
On peut pleurnicher tant qu'on veut sur l'effritement du service public, mais le manque de moyens n'est certainement pas en cause : l'Etat est le tonneau des danaïdes, dans lequel nous deversons à fonds perdus pour tenter de pallier les carences de sa gestion. Le problème est bien le statut, obsolète, contre-productif voire nuisible. A lui seul, il explique une part non négligeable de l'impotence de l'Etat, de la dérive des prélèvements obligatoires avec toutes ses conséquences funestes.