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Différents pays sont passés au large du virus. La Corée du Sud, Singapour, Taïwan, Hong-Kong, etc. Pourquoi ? Parce qu’ils ont appliqué, dès l’annonce de la découverte du virus, un principe simple. L’on soigne ceux qui sont malades, et l’on empêche les autres, les non malades, de contracter le virus et de devenir malades à leur tour. Ce qui est la base de l’enseignement du professeur Rouault. Si l’on a soigné les malades avec des produits efficaces, et si l’on empêche les non malades de le devenir, le problème est réglé.
Ce virus est extrêmement contagieux. Il se transmet essentiellement, pour ce que l’on en sait actuellement, par contacts physiques ou aérosols entre individus.
Si l’on prend en compte la totalité d’une population, certains sont déjà infectés mais ils en ont éprouvé les symptômes et ils le savent. D’autres le sont également mais ne le savent pas encore, parce que ce virus a des formes légères, voire ne se manifeste par aucun symptôme du tout durant une première phase. En l’absence de la réalisation d’un test, ils ignorent qu’elle est réellement leur situation vis-à-vis du virus. Mais durant cette phase ces patients sont déjà contagieux sans le savoir. Ce sont des porteurs sains. Seul le test peut déterminer s’ils sont porteurs sains du virus, mais ils sont tout autant contagieux. Et il y a là tout de même les autres, la majorité de la population qui n’est pas atteinte par le virus. Ou pas encore.
En outre, ce n’est pas le virus qui tue les patients. Ce sont les atteintes au système immunitaire, ou les manifestations d’autres pathologies déjà présentes chez le patient, et que le virus déclenche ou excite. Plus particulièrement les atteintes pulmonaires.
Il faut donc déterminer au préalable qui est porteur du virus et qui ne l’est pas. Et traiter ceux qui sont porteurs du virus. Il faut donc appliquer le test à tous les individus qui ne sont pas porteurs connus, sans distinction de situation.
Dans que le virus est dans l’environnement, tous les porteurs sains sont traités à la Chloroquine, dont l’on connaît depuis des décennies l’action sur les virus. Et les porteurs confirmés reçoivent en plus un antibiotique efficace sur les pneumocoques, principaux agents des affections pulmonaires, en l’occurrence l’Azithromycine.
Après cette mesure, ne restent plus « en liberté » que :
- des individus non infectés,
- des individus infectés au premier stade, porteurs sains, mais qui étant traités à la Chloroquine ne développeront pas davantage la maladie,
- des individus en phase active de développement de la pathologie, mais qui étant traités à la Chloroquine et à l’Azithromycine, vont guérir pour la plupart. À ce niveau le pourcentage de décès est de moins de 1% des patients traités.
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Et il n’y a plus de malades dans la population concernée. Comme à Singapour.
C’est le système prôné et appliqué depuis des décennies par le professeur Rouault, dans le cadre de ses interventions contre différentes bactéries ou virus à l’origine d’épidémies diverses, en Afrique noire, en Asie, ou ailleurs. E le système utilisé par les régions qui n’ont pas eu, ou n’ont plus, de coronavirus.
La grande majorité des spécialistes sont parfaitement d’accord avec cette analyse, même si certains tentent de proclamer le contraire dans les médias. Soit lorsqu’il s’agit d’un règlement de compte personnel entre spécialistes. Surtout pour ce qui concerne le plus virulent d’entre eux dans les médias, qui il y a quelques années, a eu l’occasion de publier un ouvrage que Rouault a descendu en flammes en montrant que ses thèses étaient fantaisistes. Soit parce que les principaux mandarins sont nommés directement ou indirectement par l’État, et qu’ils ne veulent pas mettre en péril leur statut professionnel.