Le chef de l'Etat a toutefois tenu à souligner qu'il ne visait pas les musulmans mais ceux qui s'affranchissent des règles de la République, affirmant qu'il ne s'agit pas de **faire «un plan contre l'islam. Ce serait une faute profonde».
Donc critiquer l'islam serait une faute profonde. Dire que l'islam est une idéologie totalitaire serait une faute profonde, dire que le coran incite à tuer serait une faute profonde, ....
Conclusion, l'islam pourra continuer à nuire sans souci.