[supprimé]
Tout ce cinéma pour faire du Marine avant les élections municipales.
Ca m'étonnerait qu'il applique son blablabla.
Tout au plus, sans agir, il fera trainer jusqu'en 2022 s'il se représente
Lutte contre le « séparatisme islamiste » : Le point sur les mesures annoncées par Emmanuel Macron
Publié le 18/02/20 à 19h11 — Mis à jour le 18/02/20 à 19h42
« Notre ennemi est le séparatisme » mais « un plan contre l’islam serait une faute profonde », a débuté le président français, avant d’ajouter : « Dans la République, on ne peut pas accepter qu’on refuse de serrer la main à une femme parce qu’elle est femme ; dans la République, on ne peut pas accepter que quelqu’un refuse d’être soigné ou éduqué par quelqu’un ; dans la République, on ne peut pas accepter la déscolarisation ; dans la République, on ne peut pas exiger des certificats de virginité pour se marier ; dans la République, on ne doit jamais accepter que les lois de la religion puissent être supérieures aux lois de la République, c’est aussi simple que ça ».
Emmanuel Macron, qui s’est exprimé lors d’un discours devant des responsables locaux et des habitants du quartier de Bourtzwiller, a annoncé vouloir « lutter contre les influences étrangères », « favoriser l’organisation du culte musulman » et « lutter contre toute manifestation du « séparatisme » islamiste ».
Fin des « imams détachés »
Emmanuel Macron a expliqué que la France allait progressivement cesser d’accueillir des « imams détachés » envoyés par d’autres pays, comme la Turquie et l’Algérie, en augmentant parallèlement le nombre d’imams formés en France. « Nous allons progressivement sortir de ce dispositif », a-t-il déclaré, sans toutefois donner de date précise. Outre ces 300 imams détachés, le chef de l’Etat a également annoncé la fin de l’accueil des quelque 300 « psalmodieurs » reçus chaque année durant la période du ramadan.