@liberté#4428649 En France, le blasphème n'est pas un délit.

Mais pour l'idéologie islamique, si. L'islam est un état dans l'état et sa loi, la charia, dit que cette jeune femme a blasphémé.
L'islam devient de plus en plus fort en Occident et on sait que son unique but est d'imposer sa loi.

Cette jeune Mila est le symbole complet du cloaque social et associatif qui la condamne à mort. Même les néo féministes préfèrent les fous d'Allah aux droits démocratiques de la liberté d'expression.

C'est de ce genre de personne que peut surgir une divine surprise qui arracherait nos jeunes lobotomisés à leur léthargie suicidaire.

    maryvette Tant qu'il n'y aura pas de drame, les lobotomisés comme tu les nommes, ne bougeront pas. Samuel Paty a ébranlé quelques certitudes mais le tremblement de terre passé, la vie a repris son mauvais cours!

        katou
        Vous avez raison: C'est le mythe qui importe. D'ailleurs, les guerres du VIIe siècle arabe étaient plus des escarmouches que de véritables guerres. En fait, des bandes armées pillant des caravanes.

          sangtriste
          Des drames on en a déja eu. On n'a cessé de céder, par exemple quand la justice a renvoyé au tribunal les journalistes de Charlie dans l'affaire des caricatures. Il fallait prononcer le non lieu dès le début. D'autant que les plaignants étaient des Frères Musulmans. Le but initial était sans doute de ruiner le journal en frais de procédure. Il suffisait d'appliquer la loi. Aucun délit, pas de procès. Par contre, n'inculper que 13 personnes quand on a 100 000 délits, c'est pas mieux. C'est une autre façon d'encourager le terrorisme.
          On aimerait bien aussi savoir combien de profs ont du renoncer à enseigner certaines disciplines à cause des menaces islamiques. Samuel Paty, c'est juste la partie émergée de l'iceberg.

              Poufpouf Des drames on en a déja eu.

              Je pensais à une personne qui s'immole par le feu pour interpeler le peuple sur un problème! 8-0

                Pour amener un peu de légèreté et rester dans le ton:

                Afin de soutenir Mila, le slogan "Je suis Mila" serait ringard et éculé, et même si "être" est plus important qu' "avoir", je propose le slogan "Je l'ai, Mila"! 😀

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                • Message #1624

                Ce qu'il faudrait plus inculquer aux musulmans, c'est qu'ils se comportent le plus possible comme leur Dieu qui est qualifié de très miséricordieux. La miséricorde est une valeur qui devrait plus être enseignée en Islam avec son corollaire, le pardon. Et appliqué dans la situation de Mila en l'occurrence. Je dis ça car c'est le rôle des imams de lever la voix sur leur communauté en France pour faire cesser ce harcèlement à l'encontre de cette jeune fille. Les musulmans peuvent même considérer que je suis leur imam et leur demande de faire oeuvre de miséricorde et de pardon dans le cas de Mila.

                katou « Tout le monde devrait faire bloc pour que Mila ait une vie normale »

                Propos homophobes!

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                    • Message #1626

                    sangtriste

                    Qui sait ? Elle va peut être avoir le syndrome de Stockholm et se convertir à l'Islam cette Mila ?

                        • [supprimé]

                        • Message #1628

                        sangtriste

                        Je sais pas si tu plaisantes ou non, mais il n'est pas rare que des personnes pris en otage par des islamistes deviennent musulmans après. Il y avait un exemple français d'otage en Afrique comme ça.

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                            [supprimé]
                            L'otage, c'est Madame Pétronin, qui est rentrée voilée, au grand dam des autorités françaises qui avaient payé pour sa libération. A mon avis, ils auraient gardé leurs sous s'ils avaient deviné la fin de l'histoire.

                                sangtriste Mila ne serait pas malheureuse dans un harem...

                                Sauf si elle refuse le maître du harem.

                                  Procès de l’affaire Mila : « Comment se fait-il que le ministère public n’ait pas fait le choix d’harceleurs parisiens ou banlieusards. A-t-on voulu s’assurer la paix sociale ? Avec un public très calme ? », note l’avocate d’un prévenu.

                                    katou
                                    Ce qui est encore plus surréaliste, c'est qu'on ait choisi les inculpés. Sur quels critères? Un tirage au sort? Toutes les personnes jugées n'ont pas proféré de menaces de mort. Pourquoi juger de simples harceleurs quand des gens menaçants ont été laissés de côté? A priori, il eut été pertinent de choisir les pires, pas un échantillonnage dans chaque catégorie. Ce procès ne respecte pas le droit. On juge des boucs émissaires pour faire peur aux autres. C'est du n'importe quoi.