[supprimé] C'est justement ce qu'on vous reproche : D'être une caricature du prof de l'EN !!!
Comment expliquer la décadence de l'Education nationale?
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[supprimé] Vous êtes dans les 70%
J'emploie néanmoins une femme de ménage, ça mérite bien quelques points de pourcentage supplémentaires. Par ailleurs je possède une automobile, donc les histoires d'essence et d'accidents ça me connait.
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Pour dire la vérité, quand on parle de prépa, il me vient à l'esprit les grandes prépas, les écoles connues de tous, pas les prépas qui ne sont connues que des élèves du quartier, ou du lycée en question. N'étant pas au contact de la réalité, comme vous, je peux effectivement me faire des illusions.
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omega95 D'être une caricature du prof de l'EN !!!
C'est curieux tant mon statut y est marginal et ma personnalité au moins autant.
Mais nous connaissons vos capacités d'analyse.
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af90 il me vient à l'esprit les grandes prépa, les écoles connues de tous, pas les prépa qui ne sont connus que des élèves du quartier, ou du lycée en question.
Elles sont très minoritaires.
Il y a 87 000 gus et gusses en prépa, en ce moment en France.
Quand j'y étais, comme quasiment tout le fopo, on devait être 3000.
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[supprimé] C'est curieux tant mon statut y est marginal et ma personnalité au moins autant.
Mais nous connaissons vos capacités d'analyse.
Négationniste et aveugle en plus...
Faut pas cracher dans la soupe comme ça...
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omega95 Négationniste
Le gus à l'aise avec le vocabulaire.
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Effectivement, j'étais loin d'imaginer qu'il y avait 87 000 élèves en prépa en France : une vision déformée de la réalité, je le reconnais.
Il faudrait aussi analyser le discours établi. N'est-il pas question de l'égalité des chances ? Il y a deux choses à répondre : 1- la bonne égalité des chances existe déjà : que chacun puisse aller à l'école, participer à la course si l'on résume sommairement ; 2- conflit entre justice commutative, et justice distributive : répondre par la distributive, traiter chacun selon ses qualités, et non traiter les individus comme étant des unités égales, une négation des différences entre individus. Cette conception de la justice n'est pas propre à l'école, n'est – elle pas celle que la cité entend appliquer indifféremment à tout objet ?
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Parfaitement, oui ! (en plus en l'écrivant j'étais certain de vous redéclencher... c'est trop facile!!!)
Comme vous semblez un peu mal à l'aise avec les mots compliqués, je veux bien vous aider un peu à comprendre :
"Le négationnisme consiste en un déni de faits historiques, malgré la présence de preuves flagrantes rapportées par les historiens, et ce à des fins racistes ou politiques." Vous niez le fait historique que l'EN est en déliquescence (constaté par les tests périodiques PISA par exemple) en vous gargarisant de vos propres (pseudo) connaissances...
Tout le monde le sait, le constate, mais , vous, vous le niez...
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af90 Il faudrait aussi analyser le discours établi. N'est-il pas l'égalité des chances ? Il y a deux choses à répondre : 1- la bonne égalité des chances existe déjà : que chacun puisse aller à l'école, participer à la course si l'on résume sommairement ; 2- conflit entre justice commutative, et justice distributive : répondre par la distributive, traiter chacun selon sa nature, ou ses qualités, et non traiter les individus comme étant des unités égales, une négation des différences entre individus. Cette conception de la justice n'est pas propre à l'école, n'est – elle pas celle de la cité, appliquée à l'école justement ?
La société juste est élitiste.
Toute société égalitariste est une fabrique de mécontents.
Avec un seul étage d'habitation les gus avisés sont entravés par les idiots, les idiots y sont moqués par les malins.
Faut des strates, avec des accès filtrés les séparant.
Remarquez à quel point je suis gauchissssss.
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omega95 Parfaitement, oui ! (en plus en l'écrivant j'étais certain de vous redéclencher... c'est trop facile!!!)
Comme vous semblez un peu mal à l'aise avec les mots compliqués, je veux bien vous aider un peu à comprendre :
"Le négationnisme consiste en un déni de faits historiques, malgré la présence de preuves flagrantes rapportées par les historiens, et ce à des fins racistes ou politiques." Vous niez le fait historique que l'EN est en déliquescence (constaté par les tests périodiques PISA par exemple) en vous gargarisant de vos propres (pseudo) connaissances...
Tout le monde le sait, le constate, mais , vous, vous le niez...
Calmez-vous et descendez de la pile de dictionnaires. Ils ont déjà causé votre chute, rappelez-vous.
Ce que vous ne comprenez pas, cher théoricien du Smic, c'est qu'il n'y a pas une EN, mais plusieurs.
Celle qui accueille votre descendance et celle qui instruisit la mienne n'ont pas grand chose en commun.
C'est un peu comme vos accès à la langue, et les miens. Nous sommes français tous les deux, mais un seul le parle et l'écrit couramment.
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Et maintenant, je vous remets à la mer.
Pas de quoi tailler un filet.
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omega95 point de vu
Point de su.
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af90 Je crois au contraire qu'il nous faut une justice corrective. Les inégalités de QI sont injustes et doivent être compensées financièrement. En tant que membre des 70%, j'exige mon dû.
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[supprimé] Je crois au contraire qu'il nous faut une justice corrective. Les inégalités de QI sont injustes et doivent être compensées financièrement.
Oméga va enfin changer de voiture.
[supprimé] C'est un peu comme vos accès à la langue, et les miens. Nous sommes français tous les deux, mais un seul le parle et l'écrit couramment.
Il ne faut pas être trop dur avec vous même, vous n'êtes qu'un produit d'une institution incapable de se remettre en question... Vous avez été programmé pour ne pas douter de votre supériorité, et je peux comprendre que de vous confronter à la dure réalité de votre condition soit perturbant pour vous...
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1- Je dirai hiérarchisée plutôt que élitiste : l'élite n'est jamais que le sommet de la hiérarchie.
Je corrige mon précédent post. L'idée d'égalité des chances est en fait un détournement de l'idée de justice distributive : plutôt qu'accorder à chacun selon ses qualités, ou ses mérites, que l'inégalité politique suive l'inégalité naturelle, par le privilège ; réaliser l'inverse, accorder à chacun selon ses défauts, handicaps, ou démérites, que l'inégalité politique compense l'inégalité naturelle, par le privilège, le tiers-temps dans votre exemple, afin de parvenir à une égalité arithmétique entre les individus.
2- Nous avons déjà dit que l'école "publique" ou "étatique" ne s'envisage que relativement à la société dans laquelle elle se trouve. Poursuivons, en ordonnant les questions, car les critiques adressées aux écoles qui dépendent de l'Education nationale partent un peu dans tous les sens :
a - Quelle école doit exister : seulement l'école "publique" ou "étatique" ? Liberté d'enseignement dans une société ?
Le terme utilisé est imprécis car nous naviguons en eaux troubles à ce sujet : la liberté d'enseignement existe, mais est définie comme la possibilité de choisir son école, plutôt que son enseignement. L'Etat est ainsi garant de la liberté, tout en disposant d'un quasi-monopole sur le contenu de l'enseignement dispensé en France, par le contrat avec la grande majorité des écoles privées.
b- Quelle est la fin de cette école ? instruire ou éduquer ? Par exemple, le contenu de certaines matières relativement à la fin que l'on se propose. Il peut aussi être question d'idées que l'on tient pour vraies dans certaines matières et qui ne le sont peut-être pas : la qualité du contenu, même si l'on ne souhaite qu'instruire.
c- les compétences attribuées à cette école relativement à la société dans laquelle elle s'inscrit, et à sa fin. Exemple : qui doit dispenser l'enseignement professionnel ? Dans une société qui admet des corporations, pas la nôtre, vous l'aurez compris, l'enseignement professionnel peut relever de leurs attributions. Je l'indique seulement afin d'illustrer mon propos.
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[supprimé] En tant que membre des 70%, j'exige mon dû.
/////Propos en appelant au meurtre de masse.
af90 Effectivement, j'étais loin d'imaginer qu'il y avait 87 000 élèves en prépa en France : une vision déformée de la réalité, je le reconnais.
Attention, c'est tout combiné, ce n'est pas par classe d'age. Et puis il y a Grande Ecole et puis ce que j'appellerai Ecole pour les Grands.
En fait les études secondaires se sont tellement ramassées par le nivellement par le bas, que les études post-baccalauréat françaises en pâtissent beaucoup sont un niveau en dessous du top des standards mondiaux. Et puis, comme on se bat plus pour venir faire une carrière de haut niveau en France, la France ne bénéficie même pas des meilleurs élements étrangers, comme les USA, le Royaume-Uni ou l'Allemagne. C'est même l'inverse : les meilleurs partent volontiers étudier dans ces pays. Du coup, ceux qui se battent pour des places dans les grandes écoles, c'est plutôt pour finir sur un bon poste garanti, de rond de cuir, en bout de cursus.
Donc si vous cherchez quoi que ce soit dans tout ce système éducatif, qui permette à la France de revenir au sommet de l'élite mondiale, par les connaissances et l'esprit d'entreprise, vous trouverez rien. Par contre pour les français qui partent finir leurs études à l'étranger, tout est permis... sauf que ce qu'ils ne savent pas, ce que nul n'est maître comme chez lui en terre étrangère : on préférera toujours un autochtone pour une poste à responsabilités.