france2100 Dans la foulée de l'action les jacobins ont su faire preuve d'opportunisme pour éliminer leurs opposants politiques.
Les girondins faisaient de même à l'époque de la révolution, et puis fois voir que l'opposition n'était pas fair play.
france2100 Le contrat d'un mariage est supposé reconnaître des sentiments pré-existants et non les engendrer.
C'est pour ça que j'ai choisi cet exemple.
france2100 Vous détournez l'attention : la question des dettes et des banques n'a rien à voir avec la question de la fondation du pays (contrat nélolibéral ou nation organique).
Et la souveraineté monétaire c'est pour les chiens?
france2100 Je ne faisais que pointer votre erreur d'expression : en proposant de "déséconomiser la politique" vous plaidiez en fait pour la non-intervention économique. Et ne vous en déplaise la minarchie n'intervient pas dans l'économie au-delà du seul respect de la propriété (et encore).
Tout le monde sait que la minarchie c'est la liberté du renard dans le poulailler ou du loup dans la bergerie.
france2100 Je ne dis pas que Français et immigrés veulent la guerre (mais de plus en plus), je dis qu'ils ont des désirs mutuellement exclusifs pour la France. C'est donc bien un conflit.
Parce-qu'on leur vend une France qui ne saurait être réelle, aux "nègres blancs", comme à la gôôche californienne importée, comme à l'immigré.
france2100 Une contradiction (contre_dire_) se rapporte à la seule expression d'un désaccord. Or c'est bien un conflit politique, avec deux visions radicalement différentes de ce que doit être la France.
Vous avez mal compris, je suis dialecticien, le conflit est pour moi une contradiction qui a dégénérée, par exemple, l'employé et l’employeur ont des désirs mutuellement exclusifs, il y a un écart entre ce que l'employeur impose via le lien de subordination et l'employé qu'on appelle angle alpha, le salaire et profit sont aussi antagoniques, capital et travail entre dans une contradiction de type antagonique. c'est bien un problème politique, mais on ne parle de conflit que quand la lutte est menée activement, le conflit est le résultat de la contradiction. sont expression quand cette dernière ou est devenue antagonique.
france2100 Montrez-moi quelles idées féministes vous défendez, et je suis certain d'y trouver de l'androphobie par tartines.
Ha moi je veux bien que vous passez à l'inspection, chez nous c’est le féminisme social et non sociétal.
Parlons de l'accès au travail pour les femmes :
Si pour des sujets comme le corps des femmes il est bien évident qu'on ne va pas laisser de vieux sénateurs réac choisir à la place de femmes de ce qu'elle doivent faire de leur vagins.
Nous somme aussi contre le faîte qu'une petite partie de la bourgeoisie choisissent de parler à la place des femmes, sur ce sujet.
Il est absolument scandaleux que des femmes de la haute et petite bourgeoisie viennent donner des leçons aux femmes prolétaires, sur l'épanouissement au travail, quand ces dernières sont souvent condamnées à des tâche lourde abrutissante et répétitives. Il est parfois bien plus agréable pour ces femmes là, d'élever leur enfant en bas âge que d’accepter des boulots dégradent.
Nous faisons la promotion de l'acceptation du corps de la femme, contrairement au féminisme bourgeois, qui en fait la négation.
(Pour ça que je parle dans les "délires" sur le genre de mettre le genre sexué au second plan par rapport au genre humain....)
Mais sans allez dans un naturalisme ahurissant et païen, où il faudrait laisser faire la nature biologique.
On fait une synthèse comme dirait Hegel, fait pour maximiser dans la limite du possible la liberté de l’esprit humain, nous ne somme pas dans le néokantisme qui nous réduirait à un corps. L'acceptation du corps de la femme vient marquer une limite au "délire".
Car tout le mouvement féministe a été fait dans un refus du corps de la femme, qui va de pair avec le mouvement progressiste de s'opposer à la nature extérieure, mais c’est se poser en s'opposant c'est aller dans l'absurde.
Et comme l'ado qui se pose en s'opposant pour ensuite se réconcilier partiellement avec ses parents, nous réconcilions partiellement la femme avec son corps.
Car oui pour le moment l'homme reste (en moyenne) plus fort que la femme et il y a beaucoup de boulots, fatiguant physiquement.
Nous considérons que les allocations familiales sont le salaire du conjoins/conjointe ua foyer.
Le patriarcat dénoncé par nous est le suivant : C'est un patriarcat intimement lié au capitalisme, lié à la division technique du travail, comme dit avant, ça prends appuie sur la division biologique des sexes, pour ça que l'homme est physiquement plus fort etc etc etc..
Mais ça va s’aggraver avec la révolution néolitique, au départ la femme est vénéré comme figure mère et nourricière, ce sont des sociétés matriarchistes (ne dîtes pas que je fétichise ces sociétés loin de là..), mais les statuette de déesses mères vont rapetisser et la figure du taureau va s’agrandir. même si on reste dans des société au le communisme primittif existe encore sousune forme plus organisé et structurés et que souvent les terres appartiennent à de grand empire agraire et non aux personnes qui la cultive, il y a la possibilité d'accumulation et d’appropriation d'usage privée, la femme qui autrefois s'occupait des tâches sédentaires (faut pas déconner non, plus le truque des chasseuses c'est surtout chez néandertale et ils se sont éteints pour une bonne raison..), se voit relégué à la maison dans beaucoup de sociétés (pas toutes) ce sont les hommes qui assurent la garde du troupeau et gagne en prestige social et politique (les femmes s’occupent encore des champs) mais le patrimoine revient aux hommes (pas dans toutes les sociétés mais la grande majorité) donc le contrôle de l'héritage revient aux hommes (éviter qu'il ya ait des bâtards tout ci tout ça..)
bon en avant :
Arrivé à la révolution Française Olympe de Gouges aura l’amabilité de nous rappeler ceci :
Femme de lettres et femme politique, Olympe de Gouges est considérée comme une pionnière du féminisme. Très investie dans la révolution française, elle rédige en 1791 une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, qu'elle adresse à la reine Marie-Antoinette, en écho à celle de 1789. Elle lutte pour l'émancipation de la femme, pour la reconnaissance de sa place sociale et politique. Elle milite également pour l'abolition de l'esclavage. Proche de Condorcet, elle rejoint les Girondins en 1792. Condamnée par le Tribunal révolutionnaire, elle est guillotinée le 3 novembre 1793.
À décréter par l'Assemblée nationale dans ses dernières séances ou dans celle de la prochaine législature.
Préambule
Les mères, les filles, les sœurs, représentantes de la nation, demandent d'être constituées en Assemblée nationale.
Considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de la femme, sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, les droits naturels inaliénables et sacrés de la femme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs, afin que les actes du pouvoir des femmes, et ceux du pouvoir des hommes, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés, afin que les réclamations des citoyennes, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution, des bonnes mœurs, et au bonheur de tous.
En conséquence, le sexe supérieur, en beauté comme en courage, dans les souffrances maternelles, reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Être suprême, les Droits suivants de la Femme et de la Citoyenne.
Article premier. La Femme naît libre et demeure égale à l'homme en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Article 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de la Femme et de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et surtout la résistance à l'oppression.
Article 3.
Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation, qui n'est que la réunion de la Femme et de l'Homme : nul corps, nul individu, ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Article 4.
La liberté et la justice consistent à rendre tout ce qui appartient à autrui ; ainsi l'exercice des droits naturels de la femme n'a de bornes que la tyrannie perpétuelle que l'homme lui oppose ; ces bornes doivent être réformées par les lois de la nature et de la raison.
Article 5.
Les lois de la nature et de la raison défendent toutes actions nuisibles à la société ; tout ce qui n'est pas défendu pas ces lois, sages et divines, ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elles n'ordonnent pas.
Article 6.
La loi doit être l'expression de la volonté générale ; toutes les Citoyennes et Citoyens doivent concourir personnellement ou par leurs représentants, à sa formation ; elle doit être la même pour tous : toutes les Citoyennes et tous les Citoyens, étant égaux à ses yeux, doivent être également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leurs capacités, et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents.
Article 7.
Nulle femme n'est exceptée ; elle est accusée, arrêtée, et détenue dans les cas déterminés par la loi : les femmes obéissent comme les hommes à cette loi rigoureuse.
Article 8.
La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit et légalement appliquée aux femmes.
Article 9.
Toute femme étant déclarée coupable ; toute rigueur est exercée par la Loi.
Article 10.
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions mêmes fondamentales, la femme a le droit de monter sur l'échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune ; pourvu que ses manifestations ne troublent pas l'ordre public établi par la loi.
Article 11.
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de la femme, puisque cette liberté assure la légitimité des pères envers les enfants. Toute Citoyenne peut donc dire librement, je suis mère d'un enfant qui vous appartient, sans qu'un préjugé barbare la force à dissimuler la vérité ; sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
Article 12.
La garantie des droits de la femme et de la Citoyenne nécessite une utilité majeure ; cette garantie doit être instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de celles à qui elle est confiée.
Article 13.
Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, les contributions de la femme et de l'homme sont égales ; elle a part à toutes les corvées, à toutes les tâches pénibles ; elle doit donc avoir de même part à la distribution des places, des emplois, des charges, des dignités et de l'industrie.
Article 14.
Les Citoyennes et Citoyens ont le droit de constater par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique. Les Citoyennes ne peuvent y adhérer que par l'admission d'un partage égal, non seulement dans la fortune, mais encore dans l'administration publique, et de déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée de l'impôt.
Article 15.
La masse des femmes, coalisée pour la contribution à celle des hommes, a le droit de demander compte, à tout agent public, de son administration.
Article 16.
Toute société, dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution; la constitution est nulle, si la majorité des individus qui composent la Nation, n'a pas coopéré à sa rédaction.
Article 17.
Les propriétés sont à tous les sexes réunis ou séparés : elles ont pour chacun un droit lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Postambule
Femme, réveille-toi ; le tocsin de la raison se fait entendre dans tout l'univers ; reconnais tes droits. Le puissant empire de la nature n'est plus environné de préjugés, de fanatisme, de superstition et de mensonges. Le flambeau de la vérité a dissipé tous les nuages de la sottise et de l'usurpation. L'homme esclave a multiplié ses forces, a eu besoin de recourir aux tiennes pour briser ses fers. Devenu libre, il est devenu injuste envers sa compagne. Ô femmes ! Femmes, quand cesserez-vous d'être aveugles ? Quels sont les avantages que vous recueillis dans la révolution ? Un mépris plus marqué, un dédain plus signalé. Dans les siècles de corruption vous n'avez régné que sur la faiblesse des hommes. Votre empire est détruit ; que vous reste t-il donc ? La conviction des injustices de l'homme. La réclamation de votre patrimoine, fondée sur les sages décrets de la nature ; qu'auriez-vous à redouter pour une si belle entreprise ? Le bon mot du Législateur des noces de Cana ? Craignez-vous que nos Législateurs français, correcteurs de cette morale, longtemps accrochée aux branches de la politique, mais qui n'est plus de saison, ne vous répètent : femmes, qu'y a-t-il de commun entre vous et nous ? Tout, auriez-vous à répondre. S'ils s'obstinent, dans leur faiblesse, à mettre cette inconséquence en contradiction avec leurs principes ; opposez courageusement la force de la raison aux vaines prétentions de supériorité ; réunissez-vous sous les étendards de la philosophie ; déployez toute l'énergie de votre caractère, et vous verrez bientôt ces orgueilleux, non serviles adorateurs rampants à vos pieds, mais fiers de partager avec vous les trésors de l'Être Suprême. Quelles que soient les barrières que l'on vous oppose, il est en votre pouvoir de les affranchir ; vous n'avez qu'à le vouloir. Passons maintenant à l'effroyable tableau de ce que vous avez été dans la société ; et puisqu'il est question, en ce moment, d'une éducation nationale, voyons si nos sages Législateurs penseront sainement sur l'éducation des femmes.
Les femmes ont fait plus de mal que de bien. La contrainte et la dissimulation ont été leur partage. Ce que la force leur avait ravi, la ruse leur a rendu ; elles ont eu recours à toutes les ressources de leurs charmes, et le plus irréprochable ne leur résistait pas. Le poison, le fer, tout leur était soumis ; elles commandaient au crime comme à la vertu. Le gouvernement français, surtout, a dépendu, pendant des siècles, de l'administration nocturne des femmes ; le cabinet n'avait point de secret pour leur indiscrétion ; ambassade, commandement, ministère, présidence, pontificat, cardinalat; enfin tout ce qui caractérise la sottise des hommes, profane et sacré, tout a été soumis à la cupidité et à l'ambition de ce sexe autrefois méprisable et respecté, et depuis la révolution, respectable et méprisé.
Bon on va faire une élipse, avec l'arrivée du capitalisme les femmes de la bourgeoisie se voit ouvrir la possibilité de devenir des exploitants, cependant des siècle accumulé de réaction surtout en réaction à la monté du pouvoir des femmes, est encore plus féroce qu'à la renaissance. Les femmes de la bourgeoisie se voit encore condamné à être des objets de désir là pour donner des héritiers, c'est un retour vers "ce sexe méprisable et respecté". C'est dans la bourgeoisie que le pater familias impose cet ordre patriarcal qui fait de la femme : ce sexe méprisable et respecté, car elle n'a pas le choix. Pour rappelle en France en Espagne et dans beaucoup de pays jusqu'à récemment les femmes n'avais pas le droit d'avoir un carnet de chèque. Celà confirme la théorie. Ajoutez à ça la polygamie officieuse dans les pays chrétien (il n'ya pas si longtemps encore) et officiel dans le pays musulmans pour les hommes, et la monogamie pour les femmes
Pour la prolétaire, c'est 3 mots seulement : "Tout sauf l'usine."
Les capitalistes créent des catégories démographiques que l'ont peut sous payer, les femmes et les enfant en font parti.
La femme est le prolétaire du prolétaire, mais tous les exploités ont intérêt à lutter contre ce patriarcat perpétué de nous jours par le marché du désir dans le cadre de la bourgeoisie, et maintenu l'héritage privé des grand moyens de production, qui participe à la reproduction sociale.
Nous ne haïssons pas les hommes prolétaires la moitié de la femme, car pour la répartissions de tâches ménagères, ça ne se fait pas juste avec de la bonne volonté.
Ce sont les féministe civilisationnelles comme Katou qui font de l'andrisme pas nous.
Là je vais manger et j'éditerai car j'en ai pas fini de parler de l'andrisme du féminisme bourgeois
RE, alors sur le mouvement me too et balance ton porc :
S'il est louable de dénoncer toute forme de harcèlement sexuel dans les deux sens...
Nous réjouissant du fiasco de balance ton porc, la campagne balance ton porc est profondément réactionnaire, elle n'a aucun contenue progressiste, les hommes sont présentés comme des porcs des prédateurs point final.
Ce mouvement utilise le terme de harcèlement voir d'agression sexuel(le) pour tout et n'importe quoi.
Ce qui caractérise le féminisme progressiste c'est le contenue égalitaire et démocratique.
Et donc contre le capitalisme ça va de soi.
Les progressistes s’attardent sur les cases sociales des problèmes soulevés.
Et la base social de me too et balance ton porc, c'est la petite bourgeoisie et le haut des couches moyennes... Et les femmes les plus souvent victime de viols sont issues des couches ouvrières.
Retour au féminisme civilisationnel, le féminisme qui nous fait la promotion de l'OTAN et qui nous dit que bombarder l'Iran c'est féministe (Katou a écrit un sujet là-dessus).
SI nous sommes les premiers à dénonce le voile comme un identité factice :
Les filles d’aujourd’hui, c’est une généralité et surtout pas un propos universel, fort heureusement - à chacun de cerner la distinction, s’appellent presque toutes Manon, Chloé ou Julie… elles sont étudiantes en sciences molles, pensent que fumer est encore un signe de rupture avec le conformisme (elle ne connaissent pas Berneys, pardonnez-les, pauvre pêcheresses…), elles se créent des masques quelque soit les noms de ceux-là : chirurgie, sur-maquillage ou burqua… A la quête d’une identité qu’elles n’ont pas, qu’elles ne peuvent avoir… elles se veulent et se voient femmes, femmes-enfants, mère, directrice et prostituée à la fois. Difficile de tenir tant de rôles, d’autant plus lorsque l’on croit qu’au moindre lâcher-prise c’est une forme de domination masculine qui s’empare de vous.
Elles se veulent rebelles et libérées, plus que jamais, elles sont conformistes et aliénées… au marché, à la fausse subversion, à leur libido contrariée et renversée qui prétend s’étendre (notamment sur les réseaux sociaux) et fait croire à ce qu’il n’est pas en réalité… ça demande à baiser, mais ça ne baise pas, parce que c’est trop nobles pour cela…
les femmes d’aujourd’hui ont la vie difficile, et je le dis le plus sincèrement du monde, une vie de dominé à qui il a été dit qu’il pouvait devenir dominateur - mais si dans la sphère privée c’est arrivé, pour le plus grand mal, dans la sphère sociale, les femmes ne sont plus femmes… des machines, quand ce n’est pas des machins-objets sexuels ou pure marchandises d’entreprises, bureaucrates idolâtres.
Le constat est triste et difficile, surtout lorsqu’on a 20ans, qu’on est à Science po, qu’on est belle et qu’on pense encore que ce n’est pas par la cuisse qu’on va y arriver.. Et pourtant…
Le constat est triste pour les femmes, il l’est aussi pour les hommes, mais surtout pour les relations des uns avec les autres… Jamais nous ne nous étions vraiment compris, mais aujourd’hui, tout est rompu… J’entends : « c’est mal fait… », simplement parce que ce n’est pas fait, ce serait plus simple sinon, mais c’est à nous de le faire… Alors heureusement, comme le propos est général et non universel, certains sauvent leur épingles du jeu. Quel force il faut avoir et quel courage il faut pour être deux et comprendre que ce que l’idéologie dominante appelle conformisme est en fait révolution en ces temps d’inversions de toute valeur…
A trop chercher l’amour, là où on l’a détruit nous en perdons la liberté, mais à créer un amour sincère, nous la retrouvons...
daniel ariasil y a 3 mois
Si le foulard manifeste la soumission, la lutte réactionnaire contre le foulard est une soumission raciste, supériorité de la culture européenne contre la culture des colonisés.
Ayant grandi dans un quartier d'immigrés en province. Les sœurs de mes amis musulman étaient très exceptionnellement voilées voire jamais.Ce n'est que ces dernières années que le phénomène c'est amplifié. Pendant ce temps le racisme ordinaire a refusé l'intégration des fils de musulmans dans la société, ségrégation professionnelle, dans les lieux festifs bars, boîte de nuits et autres. Petites phrases du racisme ordinaire quotidiennes dans les média de masse et dans une partie non négligeable de la population ordinaire. Finalement qu'une partie de la jeunesse issue de cette immigration ait choisi de s'affirmer par le foulard semble compréhensible. Le but ultime étant de favoriser un communautarisme favorable au capitalisme, jusque peut être former un parti communautariste pour diviser cette partie du peuple opprimé.
Le socialisme serait une manière de dépasser ce problème, laissant la pratique religieuse privée, et inspirant une motivation pour le progrès social à l'ensemble de la population.
L'URSS a permis de grands progrès sociaux dans une union multiculturelle avec des valeurs socialistes universelles paix et progrès.
Moi dans mon coin :
Burkini surmaquaillage, au final ce sont des identités artificielles... Des masque que portent les femmes. Si s’attaquer aux symboles c'est dérisoire dans un premier temps un jour il faudra un jour développer une culture où les femmes devront apprendre à être elle même.
A quoi l'intervenant précédent répond :
J'ai entendu qu'au Kazakhstan soviétique, les femmes avec leur intégration au monde du travail et dans le système scolaire abandonnaient sans contrainte le foulard.
Le développement de la science fait reculer les mythes et ceci depuis au moins Thalès, reste à repousser le mythe dominant du capitalisme et de sa définition de la liberté.
Libéré des prescriptions religieuses et mercantiles chaque être humain peu importe son genre pourra s'épanouir.
Mais nous rappelons ce principe de Lénine :
Qu’opposer à la religion un athéïsme réactionnaire fait plus de mal que de bien et est un détriment à la lutte contre l'obscurantisme.
Le féminisme civilisationnel de Katou, n'a pas retenue cette leçon et dans ce sens il n'est pas si éloigné de balance ton porc, c'est ce féminisme qui explique aux femmes ayant des origines plus ou moins anciennes remontant à des pays en voie de développement, que leur hommes sont forcément des violents et des violeurs en puissance.
Ce féminisme civilisationnel développe en toute impunité et insouciance, un racisme respectable (loin de moi l'idée de ne pas dénoncer les viols de personnes d'origine immigré, quoique les médias sont ultra lourdingues concernant ce sujet)
Ainsi certaines féministes se permettent d'affirmer que le foulard est une insulte à la laïcité (come vous le savez j'ai du mal avec la notion d'ostentatoire dans le cadre l'égal, dans le cadre philosophique et moral je veux bien, mais dans le cadre et légal et publique de quoi je me mêle...?) et à al dignité des femmes, un signe de leur oppression et qu'elle doivent être prête à s'émanciper en arrachant leur foulard (on ne parle pas de burka, là ! Est-ce que c'est compris?).
Et donc au lieu de s'intéresser au violences réelles subites par les femmes on s'intéresse aux symbole comme les féministes type balance ton porc s'intéresse au manspreading, parce qu'on le sait bien une femme battue non voilée est moins opprimé qu'une femme voilée pas battue par son mari.
C’est la contre révolution néolibérale réactionnaire qui a introduit la polémique du voile, pour détourner l'attention.
La preuve, c'est cette attitude punitive qui appelle à la sanction et à la correction, plutôt qu'à la curation du problème, qui est justement le développement des forces productives, leur libération du carcan capitaliste et le développement de la culture pour tous.
Et je tiens à prendre pour exemple le burkina faso de thomas sankara qui a arrêté l'excision.
Ou Kadhafi qui avait légalisé le non port du voile.
Le féminisme pour l'égalité social culturelle salariale et politique, est compassionnel envers les hommes au foyers ou qui travaillent durs pour nourrir la famille.
Le féminisme bourgeois narcissique ou civilisationnel voir le matriarchisme, sont des idées réactionnaire qui comme vous prennent les problèmes par leur symptôme et non les racines.