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Cardinal-Protodiacre c'est vrai aussi .

C'est vrai aussi, mais l'un ne dédouane pas de l'autre.

Oui, mais on ne parle, de façon récurrente, que de ces ouvertures. Qui ne représentent qu'environ 0,1 % des pertes d'eau. Pour le reste, c'est silence radio. C'est principalement de la responsabilité des élus. Alors, on laisse courir !

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    Sylvanus

    Quel est le sujet ? Le vandalisme des bouches à incendie ou l'état du réseau de distribution d'eau ?

    Illustration pédagogique à l'intention de nos concitoyens sourds et malentendants naturellement hâlés.

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      Vous savez bien que tout est bon pour certains , pour dédouaner leurs protégés .

      Sylvanus Oui, mais on ne parle, de façon récurrente, que de ces ouvertures. Qui ne représentent qu'environ 0,1 % des pertes

      T'as pas compris ou tu fais semblant, c'est une question de sécurité, quand on ouvre une de ces vannes on neutralise les autres. Les pompelards ne peuvent plus intervenir dans un autre périmètre en cas d'incendie.
      Les connards qui ouvrent ces vannes devraient êtres foutu en taule et reconduit dans leur pays respectif.

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        Sylvanus Oui, mais on ne parle, de façon récurrente, que de ces ouvertures.

        ... C'est d'autant plus grave durant les canicules, peu importe le pourcentage, le pourcentage ça ne se boit pas (ça prive d'eau des familles entière avec bébés et enfants) ... non ?
        Je ne comprends pas votre déni, ni votre relativisme sur ce sujet.

        Street-pooling à Saint-Denis : «J’ai vu le petit projeté en l’air»

        Le trottoir a séché, la bouche à incendie est close. Mais l’émotion est encore vive, à Saint-Denis, après l’accident dramatique survenu jeudi soir. Vers 19 heures, un petit garçon de six ans a été projeté en l’air par le geyser d’eau d’une bouche à incendie, boulevard Marcel-Sembat, face au square De Geyter. Transporté inconscient à l’hôpital, il semblait hors de danger ce vendredi matin.

        Saint-Denis, mercredi 26 juin. Un geyser sauvage rue Gabriel-Péri. DR
        « J’ai vu le petit projeté en l’air, raconte Céline, jeune mère de famille du quartier. Des ouvertures de bouches à incendie, ça arrive tous les jours à Saint-Denis quand il fait chaud… Celle-ci, il y a de la puissance, l’eau monte très haut. » Son petit garçon, Yallace, approuve : « Ça fait un arc-en-ciel ! »

        « Il saignait au niveau de l’oreille »
        Ce jeudi, Céline était au square avec ses enfants, quand elle a vu le geyser s’élancer à plusieurs mètres de haut. « Il arrivait presque au toit de l’immeuble. Des petits enfants, de l’âge de mes filles [NDLR : deux et trois ans] jouaient tout autour, en s’allongeant par terre. Et puis ce petit s’est approché, il a joué à mettre son pied sur le jet, et puis il s’est fait projeter en l’air et il est retombé. Ça a été très rapide. Ses parents sont arrivés juste après, ils étaient paniqués. Ils l’ont pris dans leurs bras, ils essayaient de le réveiller. Il avait une grosse bosse sur la tête, et il saignait au niveau de l’oreille… »

        L'article en entier

          S'envoyer en l'air à 6 ans... le gosse est précoce.

          corsica Je n'étais pas le premier à parler du gaspillage de l'eau sur ce fil de discussions. Je voulais juste signaler, à propos de ce gaspillage, qu'il y a un problème important lié à la mauvaise gestion des conduits d'eau. En moyenne 20 % de l'eau potable est perdue, ce n'est pas négligeable, contrairement à ce que disent certains. Profitant de ce fil, je voulais juste rappeler ce chiffre.
          Mais qu'ai je donc osé dire.

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          Le rappeur Youssoupha Mabiki cible la jeunesse basanée : honteux délit de faciès, discrimination, racisme, voire xénophobie, etc. ?

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          cris
          Et on doit verser une larme ?

          • cris a répondu à ça.
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            cheshire-cat Il faut des coupables.

            ... Il faut surtout et avant tout une chaîne de responsabilités.

            [supprimé] Et on doit verser une larme ?

            Chacun fait comme il veut.
            Je n'en ai pas versé.
            Le 93 n'est plus la France.