Nymo Les talibans afghans offrent l'asile à ceux qui veulent fuir la dictature macronienne.
En ce qui me concerne, je suis bien heureux que Macron dirige ce pays. Et suis très satisfait des mesures qu'il prend pour juguler les très graves crises qui se suivent et qui assaillent entre autres pays, la France.
Que dire de la dictature macronienne.....Elle a tout bonnement fait pschitt devant des gilets jaunes et à l’endroit desquels Macron a affiché le plus grand des mépris, entre autres mauvais citoyens qui n’avaient pas voté pour lui.
Le grand élu qu’on a vu pavoiser parmi la société des prétendus élites et assimilés, après s’être payé le luxe de la suffisance dans ses jugements de valeur de classe, a eu la peur de sa vie face à ces gens de « rien » qu’il a voulu mater par la violence, et dont il a finalement acheté le silence afin de justifier sa compassion présidentielle pour le petit peuple des oubliés. Il n’avait juste pas les tripes du petit autocrate qu’il se destinait à incarner...
Les Français ont vu, à partir de là, que l’Elysée n’hébergeait pas l’auguste personnage que les médias, avec un zèle de lèche-bottes, avaient baptisé Jupiter, tout simplement parce qu’il fallait séduire ce nouvel arrivant élu et plastronnant sur les ruines d’un vieux monde auxquels ils avaient participé...
Ce petit prince-là n’en est plus à demander à ses visiteurs du soir, de lui dessiner un mouton.
Même eux se sont crashés. Il faut dire qu’ils volaient tellement bas...
Il reste néanmoins à cet enseigneur de bonnes manières, un petit cheptel qui, à force de brouter et ruminer sa rancoeur, est devenu un troupeau aigri mais pitoyable devant le constat évident d'une France mal gouvernée qui n’a plus les moyens de cacher les faiblesses de ses gouvernants avec de la condescendance, du dédain, de la haine ordinaire et une verbosité aussi ridicule que leur présomption encore affichée à vouloir toujours régner sans le mérite qu’on accorde exclusivement aux gens compétents.
De deux choses, l’une....Des brebis convaincues, bêlantes et dociles qui, quoi qu’il leur en coûte de déconvenues et d’illusions perdues, suivront d’instinct jusqu’au bout de son quinquennat, un berger mondain sensible à l’apparat
des tapis rouges et à la pompe des rendez-vous officiels sans lendemain...
...ou bien alors, avec le brin de sagacité qui pourrait peut-être caractériser le peu de grande qualité démocratique qu’il leur reste, et en dehors d’une monomamie obsessionnelle, n’osent-ils pas reconnaître qu’eux aussi, se sont fait endauffer par un manipulateur.