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jack127 Van Art est capable de tout faire. C’est la première fois dans l’histoire du cyclisme qu’un gars est capable de gagner une étape contre la montre, une étape en montagne, un sprint massif.

Tenez, par exemple ce brave homme qu'est ce Jack, qui croit en tout ce qu'il ne voit pas, mais jamais en ce qu'il voit, il reproduit des propos peu honnêtes. San vouloir rappeler des évidences, comme par exemple que l'eau bénite mouille, il me semble qu'Alaphilippe a gagné sur le Tour au Grand Bornand, puis à Bagnères de Luchon. C'est en montagne non ?
Mais il a aussi gagné sur le Tour le CLM de Pau, et des sprint massifs dans des monuments et notamment en réglant Viviani et Cimolai, excusez du peu...

Je suis personnellement plus étonné par le parcours d'Alaph, et jadis Jalabert, que par celui de Van Aert et Armstrong, les cyclistes parfaits.

    hubert Je vais pas non plus me braquer à propos des braquets (lol), mais ça n'intéresse personne,

    Ben si, moi
    Et je trouve dommage que dès lors que l'on tente de vous extirper de vos sempiternelles chroniques pesantes de vide, ce soit ce même vide qui s'en retourne.

    Van Aert tire un 58 x 11, avec 11 m au développé. Ca renseigne sur l'état de sa gambette.

    Morbleu
    Et toujours les insultes, le vide, c'est vous, et je vous laisse avec lui !
    Un forum dirigé par un type avec votre état d'esprit ne peut que créer le vide autour de lui !
    Le problème, c'est que vous êtes tellement infatué de votre très petite personne, que vous n'en avez plus conscience !
    Mais restez comme vous êtes, on vous aime !
    Sincèrement
    hub'

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    Une nouvelle fois, évitez la mesquinerie redondante chez vous qui consiste à vous planquer derrière le statut de votre interlocuteur présent. Quand il s'adresse à vous en caractères normaux, il n'en a d'ailleurs aucun.
    Répondez sur le fond du du sujet et tout ira bien. Et décrire vos propos comme des contorsions du vide n'est en rien une insulte mais un fait prégnant. Quel que soit le sujet, on se coltine vos "impressions", entrecoupées de poussées narcissiques. Il se trouve que sur certains sujets, auxquels tout le monde a le droit de participer, quelle que soit la position en ce forum, un parcours argumentaire est apprécié. Nous n'en sommes pas ici à commenter jour après jour la couleur de la chemise de Macron.
    Parlons cyclisme, si vous voulez bien. Mais avec des arguments. Quand on veut jouer sur le grand plateau, vaut mieux avoir quelques sorties dans la musette avant.

    Diantre
    Arrêtez de donner des leçons, monsieur le professeur d'opérette
    Mais vous vous prenez pour qui ?
    Vous me fatiguez vraiment à présent !
    Sincèrement
    hub'

    Retour au sujet.

    Bonjour,

    Je n'aime pas le vélo c'est trop lent et fatiguant. Je préfère les courses de moto à près de 300 km/h. Pour les chutes à moto je suis surpris de voir que les types s'en sortent généralement assez bien. Par contre rien ne me paraît plus comique que de se casser un bras lors d'une chute de vélo. Le truc vraiment stupide à vélo c'est le coureur qui meurt en direct de son dopage.

    Cordialement.

      Bigre
      Je crois que vous avez raison, Zenon !
      Voilà qui apporte de la valeur ajoutée à notre forum, où il devient plus prudent de descendre de vélo pour se regarder pédaler, pour rester dans le sujet, et pour respecter les participants, et l'esprit d'une tribune haut de gamme !
      Le bras cassé, en vrai comme au figuré, c'est à éviter, je suis ok !
      Car le problème, c'est bien lui, mais à l'insu de son plein gré, et à l'évidence !
      Malheureusement (et cordialement)
      hub'

      jack127 Bonjour,

      Vous dîtes cela du haut de votre vélo en pédalant ?

      Cordialement.

      Ce sujet est consacré aux passionnés de vélo, merci de ne pas en faire n'importe quoi.
      Tout le monde sait que le dopage existe, tout le monde peut faire des blagues pourries sur tout et n'importe quoi.
      Mais laissez ce topic propre.

      Sur la Vuelta, victoire aujourd'hui de l'espagnol Jesus Herrada dans la septième étape Camargo - Cistierna. Le maillot de leader, conquis hier par le belge Evenepoel à l'issue d'une belle échappée dans les derniers kms avant l'arrivée à Bilbao où s'est imposé le jeune australien Jay Vine, ne change pas de titulaire.

      La neuvième étape de la Vuelta (Villaviciosa-Les Praeres, étape de montagne) a été remportée en solitaire par le Sud-Africain Louis Meintjes. Le Belge Remco Evenepoel garde le Rojo.

      4 mois plus tard

      "la légende du Tour de France"

      Diffusé en ce moment sur Planète +
      Narré par un dussolier enjôleur, les années Louison-Fausto ou les débuts du Jacques.

        Journaliste à Anquetil :
        "que répondez vous à ceux qui disent que vous êtes plus une caisse enregistreuse qu'un coureur?"

        "Certains disent que vous courez uniquement pour ce qu'il y a à rafler à la fin de la course. Pourriez vous courir pour une médaille?"

        Réponse du Jacquot : "ah non, les efforts du cyclisme sont trop durs pour courir seulement pour des médailles".

        Déjà, cette France moderne se scindait en deux. Les partisans du calcul et de la précision pour Anquetil, les amoureux de la passion et de l'humilité pour le Poupou.

        Dussolier est un bon conteur (toujours ça)

          Nymo le Poupou

          Il n'y avait pas pire mercantile que Poulidor.
          N'importe qui ou m'importe quelle marque pouvait l'acheter, à condition d'y mettre le prix.
          Lorsque Genet décéda en 2005, lui qui était le "coéquipier préféré" de Poulidor durant cinq années chez Mercier, il refusa de se rendre aux obsèques pour honorer un contrat dans un hypermarché mammouth du 92.

          De plus si Poulidor était un bon coureur, avec une résistance peu ordinaire, il était aussi totalement stupide sur sa selle, incapable de comprendre la moindre tactique. Pas bien malin non plus une fois descendu de vélo. Un Quintana, en plus pince. Poulidor n'était pas humble, il était simplement bête et cupide. Il se foutait de la gloire, il lui préférait les biftons.
          «Poulidor aimait plus l'argent que les hommes», un très bon écrit de Duboux qui le résume. A lire.

          Anquetil était un coureur brillantissime, doté d'un sens tactique inégalé. Aussi fort dans l'analyse de la course, il n'y a eu qu'Armstrong dans l'histoire de ce sport.

          Tout le reste est du baratin populacier.

            Faut-il ajouter que tous ceux qui ont pu avoir le privilège d'écouter Anquetil commenter le Tour en direct durant de trop peu nombreuses années (il est décédé en 87) ont pu mesurer à quel point cet homme voyait plus loin et plus vite que tout le monde. De nombreux coureurs amateurs de la période ont appris le vélo en écoutant Chapatte-Anquetil, le premier vouant une admiration sans borne pour le second, confiant même qu'il avait toutes les peines du monde à le tutoyer hors antenne, persistant à l'appeler "Maître". On ne tapait pas sur l'épaule d'Anquetil, on n'osait pas non plus l'aborder. Il était très secret, presque timide aussi. Mais dans ses yeux il y avait cette lueur si particulière qui reste gravée en tous ceux qui l'ont croisé. Quel Monsieur !

            Poulidor commenta une année le Tour en direct, suite au décès d'Anquetil, justement. La chaîne ne renouvellera jamais l'expérience. On en était presque gêné pour lui, en l'écoutant débiter des contresens tactiques, entre deux pensées creuses.

            Il y avait encore des Mammouth en 2005 ?
            Celui de Manosque a baissé pavillon dans les années 90 (Continent puis Auchan).

              Nymo Fausto ou les débuts du Jacques

              Fausto, coureur romantique s'il en est, Campionissimo qui est rejoint aujourd'hui par Pelé, comme il le fut hier par Mohamed Ali, avait rencontré en compétition Anquetil au trophée en 54, où il le battit, associé à Louison Bobet, lui même courant avec Filippi, le rouleur champion du monde amateur.
              Anquetil était arrivé sur la course deux heures avant le départ, ayant conduit lui-même sa voiture dans la nuit de Paris à Bergamo. Bobet étant sur place depuis une semaine pour reconnaître le parcours mètre après mètre. Et c'est Anquetil qui pourtant avec sa classe extraordinaire fit l'essentiel du boulot sur les 100 km, manquant à plusieurs reprises de sortir Bobet de sa roue.

              Mais déjà en 53 Coppi avait invité chez lui, à Novi Ligure, Anquetil qui fêtait ses 19 ans et venait de réaliser des prodiges au Grand Prix des Nations. Coppi le voulait dans son équipe, la Bianchi. Il lui proposait un salaire faramineux pour l'époque. Anquetil refusa, il ne voulait pas s'astreindre aux conditions quasi monacales qui étaient le quotidien de Coppi, il aimait trop le champagne et sa liberté.
              A Coppi à qui l'on demanda pourquoi un tel maître s'intéressait d'aussi près à ce gamin insouciant, il répondit : parce que c'est lui seul, ce "normand volant" qui un jour me chassera de mon trône.
              Coppi n'avait jamais vu une telle puissance dans la jambe, et il savait de quoi il parlait.

              Anquetil est et restera longtemps le plus formidable coureur contre la montre. Il est dans la cour des Coppi, donc, des Merckx d'Hinault et dans celle d'Armstrong. Indurain frappe à la porte et personne ne lui ouvre.
              Alors, pensez, Poulidor...