merl1
Il n'est même pas sûr que les sales cons, héros de ce fil, mesurent toutes les conséquences de leur bêtise intrinsèque...

les Naboléon, Lepoilu, Jeannot le Nazbroque et tutti quanti...

et quand on pense que certains d'entre eux s'imaginent en sauveurs de l'Occident, ce serait à se tordre de rire s'ils étaient aux premières loges

Dans sa logique stalinienne, cemab continue à qualifier tous ceux qui ne pensent pas comme lui de nazis.

    Les Français et l’euthanasie

    Aujourd’hui, plus de neuf Français sur dix (92%) soutiennent la légalisation de l’euthanasie, c’est-à-dire l’autorisation faite aux médecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie des personnes atteintes de maladies insupportables et incurables si elles le demandent. Seuls 8% se déclarent contre cette pratique (+2). Dans la continuité des résultats mesurés en août 2011, on observe que si 44% des Français sont favorables à ce que la loi française autorise l’euthanasie dans tous les cas (-5 points depuis août 2011), 48% souhaitent que cette autorisation ne vaille que dans certains cas (+3 points).
    Dans le détail des résultats, on observe que l’approbation de l’euthanasie est de plus en plus forte avec l’âge : si seuls 83% des 18-24 ans sont favorables à la fin de vie volontaire, cette proportion atteint 93% chez les 65 ans et plus. Par ailleurs, on enregistre des scores d’approbation légèrement moins élevés qu’en moyenne auprès des ouvriers (88%) et des habitants de l’agglomération parisienne (86%).

    https://www.ifop.com/publication/les-francais-et-leuthanasie-3/

      cheshire-cat Dans sa logique stalinienne, cemab continue à qualifier tous ceux qui ne pensent pas comme lui de nazis.

      Je qualifie de nazbroques, ou de petits nazillons les abrutis incultes qui ont servi en capitales grasses et noires l'excuse de la "mort miséricordieuse" mise en avant par les nazis.

      Je qualifie de grosses merdes les mêmes abrutis qui, informés par mes soins diligents et attentionnés, au lieu de fermer leur claque-merde et de la jouer profil bas sur un autre fil, ont préféré jouer aux crétins forts-en-gueule, avinés, des genres de baltringues de sous-préfectures qui en croyant que plus ils gueuleraient leurs insanités fort, mieux elles passeraient, se sont trouvé incapables de s'expliquer sur la question

      Et je vous qualifie de pauvre gland (le rêve) pour avoir essayé de mitonner un misérable rattrapage merdique en mettant en avant les autoroutes d'Hitler.

      Voyez, ce n'est pas une question de ne pas penser comme moi, c'est une question de penser comme vous.

      Le Nazbroque en chef, Jeannot, avait d'ailleurs couiné comme un rat à propos du contexte qui serait différent.

      Ça ne fait que 2 ou 3 semaines qu'on attend qu'il nous explique ça, mais ce corniaud enstavistaké préfère jouer au mariole ailleurs que sortir des arguments ici.

      De là à croire qu'il n'en a pas et que le contexte est le même, il n'y a qu'un pas à franchir, et sans Rubicon. Il y en a déjà assez dans ce fil où vous nagez dans la veulerie et la boue.

      Vous faites honte.

      Je sens que l'autre brute boche enrage, ça devrait pas tarder ;-)))

      Une mutuelle qui décide du droit de vie ou de mort ... le summum est atteint !

      j'ai failli pas vous reconnaître...
      le K m'a trompé

        Bon, je vous offre une question intermédiaire :
        Qui nous a-t-il quittés il y a environ 9 jours ? ( je n'ai pas regardé plus précisément)

          cheshire-cat Bon, je vous offre une question intermédiaire :
          Qui nous a-t-il quittés il y a environ 9 jours ? ( je n'ai pas regardé plus précisément)

          je ne sais pas et je m'en tape, il y a 9 jours, j'avais d'autres emmerdes en tête que le peuplement de fopo, donc ?

            au passage, "Qui nous a-t-il quittés " c'est pas français :

            "qui" est le sujet (également objet chez certains restaurateurs farceurs), "il" n'a donc rien à faire là.

            c'est pas comme "que nous-a-t-il fait ?" ou "que" est un COD et "il" le sujet

            mais je vous en prie, poursuivez

            Le “légume” était bien vivant

            Le 21 août 2018, le fils d’Eliza Arcaya, espagnole, a un grave accident de voiture. Les médecins lui expliquent que la connexion entre le cerveau et le cervelet a été endommagée :

            « Sa lésion est si grave qu’il n’y a rien à faire. Débranchez-le. […] Il ne va pas sortir de son lit et il ne va pas se réveiller : “Il sera un légume” ».

            Mais cette mère refuse d’abandonner son fils, quoi que les médecins en disent :

            « J’ai passé six heures dans un état de choc. Puis j’ai pensé : le pire est passé. A partir de maintenant, tout va bien se passer. »

            Elle décide de s’occuper de son fils. Progressivement il se remet. Le 6 septembre, un premier signe : « il a entrouvert un œil ». Et le 20 octobre, il ouvre les yeux et pleure. Sa mère, toujours confiante, n’a de cesse de l’encourager et de l’aider autant que possible. Son fils continue à s’améliorer grâce à de nombreuses heures de thérapies. Aujourd’hui, il arrive à marcher et est parfaitement lucide. Ses problèmes résident principalement dans ses facultés motrices et sa capacité à parler.

            Eliza Arcaya veut désormais raconter l’histoire de son fils au monde à travers un documentaire. Pour raconter comment il a survécu à cet accident qui aurait pu le tuer ou le paralyser pour le reste de sa vie. Et pour expliquer comment son amour pour son fils et sa foi en Dieu ont été ses moteurs pour prendre soin de son fils. Comment chaque vie mérite qu’on fasse des efforts pour elle.

            Sources: Aleteia (17/07/2019) - This courageous mother saved her son’s life when doctors told her to give up on him

              cheshire-cat Aujourd’hui, plus de neuf Français sur dix (92%) soutiennent la légalisation de l’euthanasie

              Les sondages ça monte ça descend suivant l'actualité, la tournure des questions, les instituts et ceux qui les publient...

              Sur un sujet comme l'euthanasie le truc et forcément biaisé, personne ne souhaite mourir à petit feu dans d'atroces douleurs pendants des années. Mais quand le cas se présente ? Quand il y a un doute ?
              Il est facile d'être favorable à la peine de mort par exemple, mais quand c'est son fils ?
              Il est facile d'être contre la peine de mort, mais quand quelqu'un viole, tue et brûle sa fille ?

              merl1 Le 21 août 2018, le fils d’Eliza Arcaya, espagnole, a un grave accident de voiture.

              (...) Le 6 septembre, un premier signe : « il a entrouvert un œil ». Et le 20 octobre, il ouvre les yeux et pleure. S

              J'ai déjà dit cela dans ce fil ou un autre : les lésions du type hématome cérébral peuvent guérir, éventuellement au bout de quelques mois quand l'hématome se résorbe. (pas toujours).
              Au delà, il 'y a plus d'espoir de ce côté là.
              C'est pourquoi il ne faut pas prendre de décision précipitée.

              Aujourd’hui, il arrive à marcher et est parfaitement lucide. Ses problèmes résident principalement dans ses facultés motrices et sa capacité à parler.

              Il reste handicapé mais pas légume.

                cemab
                il y a 17 minutes
                @cemab


                Vous vous "auto-interpellez" maintenant la mouette rieuse ?