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Je crois qu'il faut sérier les problèmes. Pour les gens du voyage, la pénurie de zones dédiées rend les expulsions difficiles à justifier, et les associations jouent incontestablement un role protecteur.
S'agissant des zones de trafic, la police refuse de s'y rendre. Elle aurait le choix entre se faire massacrer et commettre une bavure qui embraserait toute la région.
Enfin, s'agissant des squats en "zone civilisée", les évacuations d'immeubles déclenchent immanquablement de nouvelles occupations. Dans certains cas, comme celui d'immeubles appartenant à l'état et voués à la destruction, on préfère laisser faire. Rappel: Les foyers d'accueil pour SDF font cruellement défaut. Et on n'a pas de budget pour aménager ces bâtiments (casernes ou hôpitaux désaffectés, par ex.)
