Les peines encourues par les squatteurs ont aussi été triplées à l’initiative du rapporteur Guillaume Kasbarian (LREM) : trois années d’emprisonnement au lieu d’une, et 45.000 euros d’amende au lieu de 15.000.
Pourquoi faire les choses à moitié ?
Il suffirait d'augmenter cette peine à un niveau incompressible de deux ans, et cumul avec la violation de domicile, pour dissuader les candidats au vol de logement, et surtout permettre aux forces de l'ordre une arrestation immédiate + GAV des squatters.
Moyennant quoi, le propriétaire pourrait retrouver immédiatement la jouissance de son bien, dès constatation par PV du délit de squat.